Suite au décès de sa propriétaire à 91 ans, un appartement parisien inoccupé depuis 77 ans a été découvert, abandonné depuis 1942, date à laquelle sa propriétaire avait fui Paris en guerre. A l’intérieur se trouvait un tableau du peintre Giovanni Boldini d’une valeur de 1,7 millions d’euros.
Commentaires préférés (3)
Il y a une (grosse) erreur dans l'anecdote. Cet appartement n'a pas été découvert en 2019, mais plutôt vers 2010 : cf la date de la dernière source, mais une rapide recherche sur internet vous le confirmera.
L'appartement n'est donc pas resté inoccupé pendant 77 ans. Ce n'est certe pas très grave, mais cela fausse une anecdote qui est réelle à l'origine.
Simple avis personnel : rien ne sert de faire du sensationnel avec de gros chiffres, dans une application comme celle-ci, seule la véracité des faits compte.
Les textes de ces anecdotes sont parfois peu précis en raison du nombre limité de caractères autorisés. Prenez la peine de lire les sources si le sujet vous interpèle et passez votre chemin si vous n'avez rien à apporter au débat.
Je suis très déçu que les efforts de certains à faire apparaitre des sujets d'intérêt soient dénigrés de la sorte pour des raisons qui me dépassent encore.
D'après d'autres sources, Solange Beaugiron, la petite-fille de Marthe de Florian, quitte Paris au moment de l’exode de guerre après son mariage avorté avec un Russe.
Elle aurait également possédé 5 autres immeubles dans Paris, avec son mari pharmacien, dont elle payait l'ensemble des charges largement couvert par les loyers. Personne ne sait pourquoi elle a gardé l'appartement fermé ou pourquoi elle ne l'a pas mis en location. Certains prétendent qu'elle avait honte du passé très sulfureux de sa grand-mère qui apparemment couchait avec le tout-Paris mondain : des présidents comme Poincaré ou Clémenceau, des hommes d'affaires comme Aristide Boucicaut le fondateur du Bon Marché ou Ernest Cognacq (la Samaritaine).
Pour l'anecdote, elle n'avait a priori pas d'enfant et l'héritier principal de ce joli pactole est l'épicier qui livrait Solange à domicile dans son village d'Ardèche.
Tous les commentaires (19)
Intrigante cette anecdote. On s'interroge pourquoi cette femme a continué à payer les charges de cet appartement lui appartenant sans y retourner ou le vendre.
Peut être tout simplement un changement de vie, et conserver en secret ce lieu chargé des histoires frivoles de sa jeunesse....
D'ailleurs la femme ayant servi de modèle pour le peintre n'est autre que la grand-mère de la propriétaire.
Il y a une (grosse) erreur dans l'anecdote. Cet appartement n'a pas été découvert en 2019, mais plutôt vers 2010 : cf la date de la dernière source, mais une rapide recherche sur internet vous le confirmera.
L'appartement n'est donc pas resté inoccupé pendant 77 ans. Ce n'est certe pas très grave, mais cela fausse une anecdote qui est réelle à l'origine.
Simple avis personnel : rien ne sert de faire du sensationnel avec de gros chiffres, dans une application comme celle-ci, seule la véracité des faits compte.
Quelques explications complémentaires sur l'occupante et l'histoire de cet appartement fr.m.wikipedia.org/wiki/Marthe_de_Florian
Les textes de ces anecdotes sont parfois peu précis en raison du nombre limité de caractères autorisés. Prenez la peine de lire les sources si le sujet vous interpèle et passez votre chemin si vous n'avez rien à apporter au débat.
Je suis très déçu que les efforts de certains à faire apparaitre des sujets d'intérêt soient dénigrés de la sorte pour des raisons qui me dépassent encore.
D'après d'autres sources, Solange Beaugiron, la petite-fille de Marthe de Florian, quitte Paris au moment de l’exode de guerre après son mariage avorté avec un Russe.
Elle aurait également possédé 5 autres immeubles dans Paris, avec son mari pharmacien, dont elle payait l'ensemble des charges largement couvert par les loyers. Personne ne sait pourquoi elle a gardé l'appartement fermé ou pourquoi elle ne l'a pas mis en location. Certains prétendent qu'elle avait honte du passé très sulfureux de sa grand-mère qui apparemment couchait avec le tout-Paris mondain : des présidents comme Poincaré ou Clémenceau, des hommes d'affaires comme Aristide Boucicaut le fondateur du Bon Marché ou Ernest Cognacq (la Samaritaine).
Pour l'anecdote, elle n'avait a priori pas d'enfant et l'héritier principal de ce joli pactole est l'épicier qui livrait Solange à domicile dans son village d'Ardèche.
Comment peut-on "découvrir" un appartement ? C'est dingue !
C'est bien les approximations dans les anecdotes qui me dérangent, les commentaires n'ont rien à prouver.
Je me souviens d'un temps où les anecdotes sur le site avaient un degré de confiance associé, il n'y est plus. C'est pourtant sympa de savoir en un coup d'oeil si on peut pleinement se fier à l'info donnée ou si elle est sujette à caution ou débat.
Il le semblait bien l'avoir déjà lu sur scmb photo (autopromo)
Certe SCMB est une application, et avant ça un site, qui n'a que pour vocation de faire partager des connaissances ou des informations, mais c'est justement par respect pour ce concept que l'on se doit de faire attention à ce que l'on veut transmettre aux autres.
Si on ne veut pas retrouver sur cette appli les mêmes problèmes que ceux qui nous faisaient rire enfants en jouant au téléphone "arabe", nous nous devons de vérifier nos sources, et l'exactitude de nos compléments. L'actualité est là aussi pour nous rappeler à l'ordre avec les fakes news : on ne peut se plaindre de nous faire manipuler, si nous ne faisons pas preuve d'un peu de méthode et de rigueur.
Après tout, qu'aurions-nous pensé d'un prof se trompant sur la date de la révolution?