Un match de football qui se termine très mal pour l'arbitre

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En 2013, un match amateur de football au Brésil tourna à l'horreur. L'arbitre expulsa un joueur, qui refusa de sortir du terrain et commença à l'agresser. L'arbitre le poignarda alors à mort. Après cela, des supporteurs attachèrent et lapidèrent l'arbitre, le décapitèrent et mirent sa tête sur un piquet au milieu du stade.


Commentaires préférés (3)

Je ne suis personnellement pas très fan de ce genre d'anecdote. Il y aurait effectivement de quoi largement alimenter le site de faits divers surprenants, mais je ne suis plus très sûr de me coucher moins bête.
Cela dit, la critique est aisée, je n'ai pas posté depuis un moment. Je vais m'y remettre pour être irréprochable

JMCEPLNH
(Je me coucherai effaré par la nature humaine...)

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Tous les commentaires (71)

Ceci n'est pas une anecdotes mais plutôt une mésaventure mortuaire

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Je ne suis personnellement pas très fan de ce genre d'anecdote. Il y aurait effectivement de quoi largement alimenter le site de faits divers surprenants, mais je ne suis plus très sûr de me coucher moins bête.
Cela dit, la critique est aisée, je n'ai pas posté depuis un moment. Je vais m'y remettre pour être irréprochable

Avec des faits divers on pourrait abondamment mettre des anecdotes sur le site

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JMCEPLNH
(Je me coucherai effaré par la nature humaine...)

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Au début en lisant vite j'ais crû lire "un match amical" et je me suis dit :
P**ain! Mais comment ça se passe dans les matchs officiels alors ?

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a écrit : Il manque 2 anecdotes là Je dirais même plus : il manque 3 anecdotes aujourd'hui !

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Je ne comprendrai jamais la violence au sein du football.
Qui pourrait d'ailleurs y trouver une quelconque logique... ?

Tel jour comme aujourd'hui, de 1969, prenait fin "la guerre de 100 heures", opposant le Salvador et le Honduras.
Ce conflit est également appelé, "la guerre du football", car c'est un match éliminatoire pour le Mondial de 1970, qui sera le catalyseur - la goutte d'eau qui fait déborder le vase - pour déclencher les hostilités.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Cent_Heures

Pour vous détendre, un peu de musique.
youtu.be/_lptROGOTNc

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a écrit : Qui a gagné? Dans ce genre de situations, le seul vainqueur est la connerie humaine

Mais du coup, le match a été interrompu ou pas? Ou on a laissé jouer (vu que là à dix joueurs ils allaient avoir du mal)?

a écrit : Je dirais même plus : il manque 3 anecdotes aujourd'hui ! Les samedis, dimanches et jours fériés il n'y a que 2 anecdotes....

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a écrit : Je ne comprendrai jamais la violence au sein du football.
Qui pourrait d'ailleurs y trouver une quelconque logique... ?

Tel jour comme aujourd'hui, de 1969, prenait fin "la guerre de 100 heures", opposant le Salvador et le Honduras.
Ce conflit est également appelé, &quo
t;la guerre du football", car c'est un match éliminatoire pour le Mondial de 1970, qui sera le catalyseur - la goutte d'eau qui fait déborder le vase - pour déclencher les hostilités.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Cent_Heures

Pour vous détendre, un peu de musique.
youtu.be/_lptROGOTNc
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Sans aucunement justifier la violence, elle se manifeste partout. Dans le football certes, mais aussi au volant, au travail, dans la rue, dans les familles, etc.

a écrit : Les samedis, dimanches et jours fériés il n'y a que 2 anecdotes.... Ok du coup il manque une anecdote quand même

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a écrit : Sans aucunement justifier la violence, elle se manifeste partout. Dans le football certes, mais aussi au volant, au travail, dans la rue, dans les familles, etc. Vaste sujet que tu abordes: la violence gratuite. C'est ( peut-être ) la finalité de cette anecdote.
La violence au volant : tous les pays qui ont imposé le permis à points, ont constaté une baisse sensible des accidents et des décès, ( en partie) due à une obligation du changement de comportement d'une frange de la population, par une peur accrue de la Justice, car l'éducation routière avait montré ses limites.

De même, dans le sport ( et plus particulièrement dans le football), le drame du Heizel (29 mai 1985) a également constitué un choc, un excès inacceptable, contraignant les Fédérations à repenser dans son ensemble, la gestion des publics, dont de savoir comment agir pour se débarrasser de la minorité Hooligans qui envenimait et hipothéquait le futur de ce sport.

Une autre forme de violence gratuite, est la violence conjugale.
Lors de la publication de l'anecdote sur la Fundación Mariscal de Madrid, expliquant l'usage de chiens dressés pour protéger les victimes, le débat qui en suivit, fut tout aussi intéressant et chargé d'enseignement.

Ces trois exemples me servent de point de départ pour penser que la lutte contre la violence, ne passe pas uniquement par plus de mesures de protection pour tout un chacun, mais aussi par une compréhension de ce qui pousse le violent à ce comportement et à l'action.

Récemment, j'ai eu une excellente conversation avec une Criminologue... Et j'ai compris que ma vision de sa profession était inexacte, tronquée.
Certes, une partie de son travail consiste à apporter des preuves permettant une résolution du crime et de rendre Justice. Mais il y a aussi toute une autre part: celle consistant à essayer d'apporter des idées, des arguments et des suggestions, pour qu'il soit légalement possible d'agir en amont du crime, afin de le fatal geste ne se produise pas.

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Amis du genre humain, ils sont devenus fous

La bêtise et la méchanceté humaine n’a pas de limite. Aujourd’hui on tue les chauffeurs de bus qui vous demande de porter un masque et on lapide les policiers juste pour ce qu’ils représentent, entre autre (liste non exhaustive), ...

a écrit : Vaste sujet que tu abordes: la violence gratuite. C'est ( peut-être ) la finalité de cette anecdote.
La violence au volant : tous les pays qui ont imposé le permis à points, ont constaté une baisse sensible des accidents et des décès, ( en partie) due à une obligation du changement de comportement d'u
ne frange de la population, par une peur accrue de la Justice, car l'éducation routière avait montré ses limites.

De même, dans le sport ( et plus particulièrement dans le football), le drame du Heizel (29 mai 1985) a également constitué un choc, un excès inacceptable, contraignant les Fédérations à repenser dans son ensemble, la gestion des publics, dont de savoir comment agir pour se débarrasser de la minorité Hooligans qui envenimait et hipothéquait le futur de ce sport.

Une autre forme de violence gratuite, est la violence conjugale.
Lors de la publication de l'anecdote sur la Fundación Mariscal de Madrid, expliquant l'usage de chiens dressés pour protéger les victimes, le débat qui en suivit, fut tout aussi intéressant et chargé d'enseignement.

Ces trois exemples me servent de point de départ pour penser que la lutte contre la violence, ne passe pas uniquement par plus de mesures de protection pour tout un chacun, mais aussi par une compréhension de ce qui pousse le violent à ce comportement et à l'action.

Récemment, j'ai eu une excellente conversation avec une Criminologue... Et j'ai compris que ma vision de sa profession était inexacte, tronquée.
Certes, une partie de son travail consiste à apporter des preuves permettant une résolution du crime et de rendre Justice. Mais il y a aussi toute une autre part: celle consistant à essayer d'apporter des idées, des arguments et des suggestions, pour qu'il soit légalement possible d'agir en amont du crime, afin de le fatal geste ne se produise pas.
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Pour ce qui est de la violence routière, j'avais lu un jour (il y a fort longtemps, impossible de donner une référence) un article qui parlait du "microcosme de l'habitacle".
Dans sa voiture, on est souvent seul, dans son monde, et l'on peut en toute impunité penser et dire du mal des autres, protégé par la carlingue...
Ce n'était peut-être pas les termes exacts de l'article mais c'est ce que je me souviens en avoir compris.

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