Au Cortège des chats, on faisait du lancer de chats

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Tous les 3 ans, à Ypres en Belgique a lieu le "Cortège des chats". Après cette grande parade carnavalesque où défilent des chars sur le thème du chat, on jette des chats en peluche du haut de la tour de la Halle aux draps (70 mètres de haut). Jusqu'en 1841, ce sont des chats vivants qui étaient jetés dans le vide.

Les chats qui avaient été introduits massivement dans la ville pour protéger l'industrie drapière de la ville des rongeurs (qui se nichaient dans les draps) finirent par devenir très envahissants. C'est très probablement là l'origine du "Kattenstoet" (lancer de chats).


Commentaires préférés (3)

a écrit : En Suisse, certains cantons avaient la fête du chat, où les habitants mangeaient les chats errants afin d’éviter une trop grande prolifération. Je trouve ça moins violent que de jeter des chats afin qu’ils s’écrasent par terre... Mais ce n'était pas violent, les chats retombent toujours sur leurs pattes voyons...

Je copie - colle cet article car je le trouve assez cocasse. Des études très sérieuses sur la chute des chats ont été réalisées :

"La hauteur minimum requise pour que cela (ndlr : redressement du chat lors d'une chute) se produise sans risque chez la plupart des chats est aux alentours d'un mètre cinquante.

Grâce à leur réflexe de redressement, les chats peuvent souvent atterrir au sol indemnes. Cependant, ce n'est pas toujours le cas même lors d'une chute de très faible hauteur, par exemple d'un meuble d'une hauteur standard (84 cm). En effet, au cours de ce réflexe, le basculement latéral est mieux corrigé que le basculement antéro-postérieur, le chat pouvant ainsi tomber sur le menton ou le bassin et se les fracturer.

Dans une étude réalisée en 1987, publiée dans le Journal of the American Veterinary Medical Association, 132 chats ont été étudiés au New York Animal Medical Center après avoir chuté de bâtiments. Il a été constaté que les blessures atteignaient un maximum autour de sept étages de chute. Les analystes appellent ce phénomène le « syndrome du chat parachutiste ». Pour les chutes plus hautes que sept étages, le chat a suffisamment de temps pour se détendre et positionner ses membres à l'horizontale, ce qui augmente sa surface, réduisant ainsi sa vitesse et donc la violence du choc. En fléchissant les pattes, ils absorbent l'impact, comme un ressort. Les auteurs de l'étude pensent qu'il faut à un chat l'équivalent en hauteur de cinq étages pour atteindre sa vitesse maximale. Il peut alors se détendre et étirer son corps pour augmenter la résistance à l'air. Toutefois, une autre interprétation venant d'une discussion sur Internet serait que sur plus de sept étages, les chats connaîtraient un taux de létalité plus élevé qui dissuaderait le propriétaire du chat de lui faire faire des soins médicaux. Lors d'une étude, il a été montré qu'environ 90 % des chats survivent à une chute d'immeuble et les chats souffrant le plus tombent d'une hauteur de six à huit étages. La majorité des blessures sont au thorax tandis que celles d'un humain seraient plutôt des blessures à la tête ou aux jambes, entraînant plus de chutes mortelles. Le record est détenu par un chat américain ayant survécu à une chute sur le béton de 32 étages, soit environ 137 mètres. Le chat s'en est tiré avec une dent cassée. "

fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9flexe_de_redressement_du_chat

Bien qu'Ypres ne soit pas la seule ville où les chats ont été victimes de jeux populaires dans l'histoire, elle est l'une des rares ou ce rituel à encore lieu.

Au Moyen Âge, les chats étaient torturés et tués lors de multiples "Foire à chats", un peu partout en Europe. Lorsque le duc d'Anjou et le prince d'Orange visitent Bruges (en 1582), ils sont accueillis par un "splendide" spectacle : une sorte de navire à haut mât, dans lequel sont entreposés des feux d'artifices venant d'être allumés et... des chats vivants.

Il n'est pas facile de trouver une réelle raison à la torture et mise à mort de chats pendant des siècles, si ce n'est un mélange de réalité et d'imaginaire, de légendes et de faits. L'image du chat, fidèle compagnon de la sorcière et assistant du diable est alors très répandue. On pense que le diable ne supporte pas de voir un chat souffrir, et qu'il accepte alors les concessions.

L'Eglise considère le chat comme associé à la magie et au paganisme, et les hérétiques étaient souvent comparés à des chats. D'ailleurs au XVème siècle, les Templiers furent accusés de vénérer le diable sous la forme d'un chat noir.

Grâce à leurs coussinets, les chats se déplacent sans bruit et surgissent de nul part avec leurs grands yeux luisants. Aucun doute qu'au Moyen Âge et encore après, cet animal ait longtemps affolé les esprits superstitieux...

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Tous les commentaires (32)

En Suisse, certains cantons avaient la fête du chat, où les habitants mangeaient les chats errants afin d’éviter une trop grande prolifération. Je trouve ça moins violent que de jeter des chats afin qu’ils s’écrasent par terre...

a écrit : En Suisse, certains cantons avaient la fête du chat, où les habitants mangeaient les chats errants afin d’éviter une trop grande prolifération. Je trouve ça moins violent que de jeter des chats afin qu’ils s’écrasent par terre... Mais ce n'était pas violent, les chats retombent toujours sur leurs pattes voyons...

Je copie - colle cet article car je le trouve assez cocasse. Des études très sérieuses sur la chute des chats ont été réalisées :

"La hauteur minimum requise pour que cela (ndlr : redressement du chat lors d'une chute) se produise sans risque chez la plupart des chats est aux alentours d'un mètre cinquante.

Grâce à leur réflexe de redressement, les chats peuvent souvent atterrir au sol indemnes. Cependant, ce n'est pas toujours le cas même lors d'une chute de très faible hauteur, par exemple d'un meuble d'une hauteur standard (84 cm). En effet, au cours de ce réflexe, le basculement latéral est mieux corrigé que le basculement antéro-postérieur, le chat pouvant ainsi tomber sur le menton ou le bassin et se les fracturer.

Dans une étude réalisée en 1987, publiée dans le Journal of the American Veterinary Medical Association, 132 chats ont été étudiés au New York Animal Medical Center après avoir chuté de bâtiments. Il a été constaté que les blessures atteignaient un maximum autour de sept étages de chute. Les analystes appellent ce phénomène le « syndrome du chat parachutiste ». Pour les chutes plus hautes que sept étages, le chat a suffisamment de temps pour se détendre et positionner ses membres à l'horizontale, ce qui augmente sa surface, réduisant ainsi sa vitesse et donc la violence du choc. En fléchissant les pattes, ils absorbent l'impact, comme un ressort. Les auteurs de l'étude pensent qu'il faut à un chat l'équivalent en hauteur de cinq étages pour atteindre sa vitesse maximale. Il peut alors se détendre et étirer son corps pour augmenter la résistance à l'air. Toutefois, une autre interprétation venant d'une discussion sur Internet serait que sur plus de sept étages, les chats connaîtraient un taux de létalité plus élevé qui dissuaderait le propriétaire du chat de lui faire faire des soins médicaux. Lors d'une étude, il a été montré qu'environ 90 % des chats survivent à une chute d'immeuble et les chats souffrant le plus tombent d'une hauteur de six à huit étages. La majorité des blessures sont au thorax tandis que celles d'un humain seraient plutôt des blessures à la tête ou aux jambes, entraînant plus de chutes mortelles. Le record est détenu par un chat américain ayant survécu à une chute sur le béton de 32 étages, soit environ 137 mètres. Le chat s'en est tiré avec une dent cassée. "

fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9flexe_de_redressement_du_chat

Bien qu'Ypres ne soit pas la seule ville où les chats ont été victimes de jeux populaires dans l'histoire, elle est l'une des rares ou ce rituel à encore lieu.

Au Moyen Âge, les chats étaient torturés et tués lors de multiples "Foire à chats", un peu partout en Europe. Lorsque le duc d'Anjou et le prince d'Orange visitent Bruges (en 1582), ils sont accueillis par un "splendide" spectacle : une sorte de navire à haut mât, dans lequel sont entreposés des feux d'artifices venant d'être allumés et... des chats vivants.

Il n'est pas facile de trouver une réelle raison à la torture et mise à mort de chats pendant des siècles, si ce n'est un mélange de réalité et d'imaginaire, de légendes et de faits. L'image du chat, fidèle compagnon de la sorcière et assistant du diable est alors très répandue. On pense que le diable ne supporte pas de voir un chat souffrir, et qu'il accepte alors les concessions.

L'Eglise considère le chat comme associé à la magie et au paganisme, et les hérétiques étaient souvent comparés à des chats. D'ailleurs au XVème siècle, les Templiers furent accusés de vénérer le diable sous la forme d'un chat noir.

Grâce à leurs coussinets, les chats se déplacent sans bruit et surgissent de nul part avec leurs grands yeux luisants. Aucun doute qu'au Moyen Âge et encore après, cet animal ait longtemps affolé les esprits superstitieux...

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a écrit : Bien qu'Ypres ne soit pas la seule ville où les chats ont été victimes de jeux populaires dans l'histoire, elle est l'une des rares ou ce rituel à encore lieu.

Au Moyen Âge, les chats étaient torturés et tués lors de multiples "Foire à chats", un peu partout en Europe. Lorsque le
duc d'Anjou et le prince d'Orange visitent Bruges (en 1582), ils sont accueillis par un "splendide" spectacle : une sorte de navire à haut mât, dans lequel sont entreposés des feux d'artifices venant d'être allumés et... des chats vivants.

Il n'est pas facile de trouver une réelle raison à la torture et mise à mort de chats pendant des siècles, si ce n'est un mélange de réalité et d'imaginaire, de légendes et de faits. L'image du chat, fidèle compagnon de la sorcière et assistant du diable est alors très répandue. On pense que le diable ne supporte pas de voir un chat souffrir, et qu'il accepte alors les concessions.

L'Eglise considère le chat comme associé à la magie et au paganisme, et les hérétiques étaient souvent comparés à des chats. D'ailleurs au XVème siècle, les Templiers furent accusés de vénérer le diable sous la forme d'un chat noir.

Grâce à leurs coussinets, les chats se déplacent sans bruit et surgissent de nul part avec leurs grands yeux luisants. Aucun doute qu'au Moyen Âge et encore après, cet animal ait longtemps affolé les esprits superstitieux...
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Y'a aussi le fait que les chats sont nocturnes, et la nuit au moyen âge...

On clouait des chouettes sur les portes des granges pour éloigner le malin aussi, en cherchant un peu y'a plein de traditions qui nous paraissent absurdes, mais ma préférée, c'est : comment identifier une sorcière à coup sur, simple comme bonjour, suffit de lui attacher les mains et les pieds et de la balancer à la flotte, si elle remonte, c'est une sorcière, si elle se noie, ce n'en est pas une.^^

a écrit : Je copie - colle cet article car je le trouve assez cocasse. Des études très sérieuses sur la chute des chats ont été réalisées :

"La hauteur minimum requise pour que cela (ndlr : redressement du chat lors d'une chute) se produise sans risque chez la plupart des chats est aux alentours d'un
mètre cinquante.

Grâce à leur réflexe de redressement, les chats peuvent souvent atterrir au sol indemnes. Cependant, ce n'est pas toujours le cas même lors d'une chute de très faible hauteur, par exemple d'un meuble d'une hauteur standard (84 cm). En effet, au cours de ce réflexe, le basculement latéral est mieux corrigé que le basculement antéro-postérieur, le chat pouvant ainsi tomber sur le menton ou le bassin et se les fracturer.

Dans une étude réalisée en 1987, publiée dans le Journal of the American Veterinary Medical Association, 132 chats ont été étudiés au New York Animal Medical Center après avoir chuté de bâtiments. Il a été constaté que les blessures atteignaient un maximum autour de sept étages de chute. Les analystes appellent ce phénomène le « syndrome du chat parachutiste ». Pour les chutes plus hautes que sept étages, le chat a suffisamment de temps pour se détendre et positionner ses membres à l'horizontale, ce qui augmente sa surface, réduisant ainsi sa vitesse et donc la violence du choc. En fléchissant les pattes, ils absorbent l'impact, comme un ressort. Les auteurs de l'étude pensent qu'il faut à un chat l'équivalent en hauteur de cinq étages pour atteindre sa vitesse maximale. Il peut alors se détendre et étirer son corps pour augmenter la résistance à l'air. Toutefois, une autre interprétation venant d'une discussion sur Internet serait que sur plus de sept étages, les chats connaîtraient un taux de létalité plus élevé qui dissuaderait le propriétaire du chat de lui faire faire des soins médicaux. Lors d'une étude, il a été montré qu'environ 90 % des chats survivent à une chute d'immeuble et les chats souffrant le plus tombent d'une hauteur de six à huit étages. La majorité des blessures sont au thorax tandis que celles d'un humain seraient plutôt des blessures à la tête ou aux jambes, entraînant plus de chutes mortelles. Le record est détenu par un chat américain ayant survécu à une chute sur le béton de 32 étages, soit environ 137 mètres. Le chat s'en est tiré avec une dent cassée. "

fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9flexe_de_redressement_du_chat
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Pendant longtemps l'être humain s'est posé la question de comment un chat peut-il tourner dans l'air pendant une chute, ce qui est d'après nos connaissances en physiques impossible (une question de moment d'inertie)
Il a fallut attendre 1894 et l'invention de la chronophotographie (prendre plein de photo de suite, comme une video en gros) pour avoir une réponse et comprendre.
Les chats, très souple, fixe leur partie supérieure font pivoter l'arrière puis fixe l'arrière et font pivoter l'avant. Et c'est comme ça qu'on a compris que les chats n'étaient pas des êtres en dehors des lois physiques.

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Et dire qu'on laisse les Belges brasser pour nous la Mont des Cats :-)

a écrit : En Suisse, certains cantons avaient la fête du chat, où les habitants mangeaient les chats errants afin d’éviter une trop grande prolifération. Je trouve ça moins violent que de jeter des chats afin qu’ils s’écrasent par terre... Mais en Suisse ils devaient avoir moins à bouffer qu'en Belgique. Cela dit c'est une super idée, les chats proliférant en France et générant des dégâts écologiques. En plus c'est delicieux dit-on (comme du lapin).

a écrit : Mais ce n'était pas violent, les chats retombent toujours sur leurs pattes voyons... Et ils ne sont pas à une vie près, sauf qu'ils participent 6 fois à cette fête.

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a écrit : Pendant longtemps l'être humain s'est posé la question de comment un chat peut-il tourner dans l'air pendant une chute, ce qui est d'après nos connaissances en physiques impossible (une question de moment d'inertie)
Il a fallut attendre 1894 et l'invention de la chronophotographie (p
rendre plein de photo de suite, comme une video en gros) pour avoir une réponse et comprendre.
Les chats, très souple, fixe leur partie supérieure font pivoter l'arrière puis fixe l'arrière et font pivoter l'avant. Et c'est comme ça qu'on a compris que les chats n'étaient pas des êtres en dehors des lois physiques.
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C'est simplement que les chats sont très intelligents et connaissent les formules du théorème de conservation du moment cinétique.

En tout cas, on peut se rassurer un minimum en se disant que certains chats ont surement survécu à la chute de 70 m.

a écrit : Je copie - colle cet article car je le trouve assez cocasse. Des études très sérieuses sur la chute des chats ont été réalisées :

"La hauteur minimum requise pour que cela (ndlr : redressement du chat lors d'une chute) se produise sans risque chez la plupart des chats est aux alentours d'un
mètre cinquante.

Grâce à leur réflexe de redressement, les chats peuvent souvent atterrir au sol indemnes. Cependant, ce n'est pas toujours le cas même lors d'une chute de très faible hauteur, par exemple d'un meuble d'une hauteur standard (84 cm). En effet, au cours de ce réflexe, le basculement latéral est mieux corrigé que le basculement antéro-postérieur, le chat pouvant ainsi tomber sur le menton ou le bassin et se les fracturer.

Dans une étude réalisée en 1987, publiée dans le Journal of the American Veterinary Medical Association, 132 chats ont été étudiés au New York Animal Medical Center après avoir chuté de bâtiments. Il a été constaté que les blessures atteignaient un maximum autour de sept étages de chute. Les analystes appellent ce phénomène le « syndrome du chat parachutiste ». Pour les chutes plus hautes que sept étages, le chat a suffisamment de temps pour se détendre et positionner ses membres à l'horizontale, ce qui augmente sa surface, réduisant ainsi sa vitesse et donc la violence du choc. En fléchissant les pattes, ils absorbent l'impact, comme un ressort. Les auteurs de l'étude pensent qu'il faut à un chat l'équivalent en hauteur de cinq étages pour atteindre sa vitesse maximale. Il peut alors se détendre et étirer son corps pour augmenter la résistance à l'air. Toutefois, une autre interprétation venant d'une discussion sur Internet serait que sur plus de sept étages, les chats connaîtraient un taux de létalité plus élevé qui dissuaderait le propriétaire du chat de lui faire faire des soins médicaux. Lors d'une étude, il a été montré qu'environ 90 % des chats survivent à une chute d'immeuble et les chats souffrant le plus tombent d'une hauteur de six à huit étages. La majorité des blessures sont au thorax tandis que celles d'un humain seraient plutôt des blessures à la tête ou aux jambes, entraînant plus de chutes mortelles. Le record est détenu par un chat américain ayant survécu à une chute sur le béton de 32 étages, soit environ 137 mètres. Le chat s'en est tiré avec une dent cassée. "

fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9flexe_de_redressement_du_chat
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C'est ainsi qu'un inventeur malheureusement resté anonyme a mis au point le mouvement perpétuel. En utilisant la faculté qu'ont les chats de retomber toujours sur leurs pattes et en le combinant avec le principe de la loi de Murphy selon laquelle une tartine tombe toujours sur le côté beurré, il a déterminé qu'en collant une tartine de beurre sur le dos d'un chat et en jetant l'ensemble du haut d'un immeuble, on pouvait créer une rotation perpétuelle, la propension du chat à retomber sur ses pattes étant immédiatement contrebalancée par l'attraction du côté beurré vers le sol.
(merci à feu Marcel Gotlib de ne pas avoir laissé cette expression du génie scientifique sombrer dans l'oubli)...

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a écrit : C'est ainsi qu'un inventeur malheureusement resté anonyme a mis au point le mouvement perpétuel. En utilisant la faculté qu'ont les chats de retomber toujours sur leurs pattes et en le combinant avec le principe de la loi de Murphy selon laquelle une tartine tombe toujours sur le côté beurré, il a déterminé qu'en collant une tartine de beurre sur le dos d'un chat et en jetant l'ensemble du haut d'un immeuble, on pouvait créer une rotation perpétuelle, la propension du chat à retomber sur ses pattes étant immédiatement contrebalancée par l'attraction du côté beurré vers le sol.
(merci à feu Marcel Gotlib de ne pas avoir laissé cette expression du génie scientifique sombrer dans l'oubli)...
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www.youtube.com/watch?v=Okpvcp5BjcU

Cela règlerait le problème de la pollution. Un moteur à chat dans toutes les voitures.

S'il est vrai qu'une biscotte beurrée tombe toujours cote beurre et qu'un chat tombe toujours sur ses pattes, que se passerai-t-il si on fixe une biscotte (beurre vers le haut) sur le dos d'un chat et qu'on balance le tout par la fenêtre?

Ne pas reproduire chez soi car il ne faut pas gâcher la nourriture.

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a écrit : S'il est vrai qu'une biscotte beurrée tombe toujours cote beurre et qu'un chat tombe toujours sur ses pattes, que se passerai-t-il si on fixe une biscotte (beurre vers le haut) sur le dos d'un chat et qu'on balance le tout par la fenêtre?

Ne pas reproduire chez soi car il ne faut pas gâcher la nourriture.
Si tu balance ca par la fenêtre, ca va faire "SPLAF"! Le principe clé du moteur infini Chartine® , c'est qu'il tourne en permanence. Rien à voir avec la chute libre. ;)

La ville d'Ypres est également connue pour être le premier endroit ou le gaz moutarde a été utilisé au combat (c'était en 1917). Cette arme chimique était appelée principalement gaz moutarde à cause de son odeur ou ypérite en fonction de l'endroit où on a découvert cette arme. C'est un gaz incapacitant qui peut être mortel à forte dose mais qui occasionnait plus souvent des lésions sous forme d'énormes cloques sur la peau, et qui brûlait les yeux et les poumons, même à travers un masque à gaz, et laissait les victimes avec des séquelles.

a écrit : Mais ce n'était pas violent, les chats retombent toujours sur leurs pattes voyons... Sauf si on leur attache une tartine de confiture sur le dos. On crée ainsi un mouvement de rotation perpétuel.

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a écrit : Je copie - colle cet article car je le trouve assez cocasse. Des études très sérieuses sur la chute des chats ont été réalisées :

"La hauteur minimum requise pour que cela (ndlr : redressement du chat lors d'une chute) se produise sans risque chez la plupart des chats est aux alentours d'un
mètre cinquante.

Grâce à leur réflexe de redressement, les chats peuvent souvent atterrir au sol indemnes. Cependant, ce n'est pas toujours le cas même lors d'une chute de très faible hauteur, par exemple d'un meuble d'une hauteur standard (84 cm). En effet, au cours de ce réflexe, le basculement latéral est mieux corrigé que le basculement antéro-postérieur, le chat pouvant ainsi tomber sur le menton ou le bassin et se les fracturer.

Dans une étude réalisée en 1987, publiée dans le Journal of the American Veterinary Medical Association, 132 chats ont été étudiés au New York Animal Medical Center après avoir chuté de bâtiments. Il a été constaté que les blessures atteignaient un maximum autour de sept étages de chute. Les analystes appellent ce phénomène le « syndrome du chat parachutiste ». Pour les chutes plus hautes que sept étages, le chat a suffisamment de temps pour se détendre et positionner ses membres à l'horizontale, ce qui augmente sa surface, réduisant ainsi sa vitesse et donc la violence du choc. En fléchissant les pattes, ils absorbent l'impact, comme un ressort. Les auteurs de l'étude pensent qu'il faut à un chat l'équivalent en hauteur de cinq étages pour atteindre sa vitesse maximale. Il peut alors se détendre et étirer son corps pour augmenter la résistance à l'air. Toutefois, une autre interprétation venant d'une discussion sur Internet serait que sur plus de sept étages, les chats connaîtraient un taux de létalité plus élevé qui dissuaderait le propriétaire du chat de lui faire faire des soins médicaux. Lors d'une étude, il a été montré qu'environ 90 % des chats survivent à une chute d'immeuble et les chats souffrant le plus tombent d'une hauteur de six à huit étages. La majorité des blessures sont au thorax tandis que celles d'un humain seraient plutôt des blessures à la tête ou aux jambes, entraînant plus de chutes mortelles. Le record est détenu par un chat américain ayant survécu à une chute sur le béton de 32 étages, soit environ 137 mètres. Le chat s'en est tiré avec une dent cassée. "

fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9flexe_de_redressement_du_chat
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Extrêmement intéressant. J'ai lu le fruit de tes recherches avec beaucoup d'intérêt.

Et pour répondre à ta question (infra), oui, régulièrement certains chats survivaient à la chute. D'ailleurs, le dernier à avoir été balancé de la sorte en 1814 (et pas 1841, j'ai dû vraisemblablement inversé les chiffres), s'est relevé sur ses 4 pattes et a détalé en courant !