Au début du XIXe siècle, à La Nouvelle-Orléans, Delphine Lalaurie fit vivre un véritable enfer à ses esclaves. Après un incendie dans sa demeure, on découvrit des esclaves enchainés, atrocement mutilés, et plusieurs cadavres. Elle fut accusée de la mort de près d’une centaine d’entre eux.
Cette figure de la bourgeoisie louisianaise avait torturé et séquestré des esclaves durant des années. Elle prit la fuite et se réfugia à Paris, échappant à la justice.
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Je crains que dans cette histoire il soit bien difficile de démêler le vrai du faux comme souvent dans certains événements relatés et modifiés.
Qu'elle et son mari aient pu torturer et séquestrer des esclaves, je n'en doute pas même si je trouve ça assez paradoxale de leur reprocher à cette époque. Ce n'est pas comme s'il existait déjà un code des droits de l'esclave. Ensuite j'ai l'impression que cette histoire a fortement été "enjolivée" ou plutôt "aggravée" au cours des années donc impossible d'avoir les détails réels ou le décompte exacte.
Sinon je pense qu'il y a d'autres façons de le faire, mais chacun son truc. J'avoue le gore a pas mes faveurs.
Je pense qu'on peut traiter ce genre de sujets sans forcément tomber / aller au delà de la bestialité....(un chien peut se faire mourir à top bouffer... Mais aucun animal ne cousera d autres animaux ensemble...). Exemple: le mouvement du dogme95 de lars von trier avec les idiots: dérangeant mais pas "abjecte" a regarder pour la majorité. Ou des Gaspar Noé.
Le support doit rester un support et ne pas dépasser le message à mon sens. Et dans ce film, le gore me semble largement dépasser le sujet de la depersonnification: je t avoue je n'avais même pas réalisé qu'il y avait un fond.
Et "aimer" ce type de film au delà du message genre pour l esthétisme bah là je comprends pas du tout
Justifier un scénario qui se résume à un taré d’ex nazi qui coud des blondasses bouche sur trou de balle ( Avec des plans gores, des plans scatos...) en tant que « fable de la dépersonnalisation » avec une morale, je trouve ça gros.
La pseudo morale de ce film est moins pour faire passer un message que pour justifier un scénario complètement idiot et malsain destiné à un public de tordus.