Si la vision de jardins potagers dans le XVIe arrondissement de Paris parait saugrenue, c'était pourtant une réalité il y a 100 ans, quai Louis Blériot. Ils ont été immortalisés en photo grâce à l'autochrome des Frères Lumière.
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Si la vision de jardins potagers dans le XVIe arrondissement de Paris parait saugrenue, c'était pourtant une réalité il y a 100 ans, quai Louis Blériot. Ils ont été immortalisés en photo grâce à l'autochrome des Frères Lumière.
Commentaires préférés (3)
Yavait déjà des bobo-ecolo-islamo-gauchistes à l’époque ? /s
Je suis neonazi et j’adore jardiner.
Ça me détend. Tout comme mes autres occupations : la lecture... l’aérobic danses africaines ,la construction de maquettes en cure dents et la Pologne.
Comme quoi c’est pas réservé qu’aux bobos et compagnie.
Pas d’amalgame stp.
Je rappelle quand même que Nanterre, Bobigny, et Créteil ont été choisies comme préfectures parce que les terrains maraîchers de ces villes permettaient de construire les bâtiments administratifs, et donc qu'elles avaient un plus gros potentiel de développement, que Boulogne ou St-Denis ou Vitry
C'étaient principalement les maraichers de ces villes qui fournissaient les Halles de Paris en légumes des "quatre saisons"
Tous les commentaires (50)
Yavait déjà des bobo-ecolo-islamo-gauchistes à l’époque ? /s
Nan mais c'etait ça ou carrouf! (Oh wait...).
Plus sérieusement jardiner à des vertus thérapeutiques, détends, soulage du stress quotidien même sur de très petites surfaces balcons, petites cours, dans des pots des bacs c'est possible. Je vous invite à essayer ça ne revient pas cher au regard de ce que l'on peut consommer il y a pleins de vidéos sur YT de passionnés.
youtu.be/hxU9gtORwWU
youtu.be/lS4iHT7WG-Q
Je suis neonazi et j’adore jardiner.
Ça me détend. Tout comme mes autres occupations : la lecture... l’aérobic danses africaines ,la construction de maquettes en cure dents et la Pologne.
Comme quoi c’est pas réservé qu’aux bobos et compagnie.
Pas d’amalgame stp.
Il n'y a pas si longtemps (c'était quand même le millénaire dernier), j'avais été invité à passer le week end chez un pote, dans son pavillon, aux murs envahis de fraisiers, à 100 mètres de la place Gambetta, dans le 20ème arrondissement
Je suppose que cela paraîtra saugrenu pour les parisiens. Pour les habitants d'autres villes, rien d'exceptionnel. Le retour de SMCB édition parisienne.
Pas besoin d'être parisien pour savoir que le 7e et le 16e sont les arrondissements les plus riches de la capitale française.
Je rappelle quand même que Nanterre, Bobigny, et Créteil ont été choisies comme préfectures parce que les terrains maraîchers de ces villes permettaient de construire les bâtiments administratifs, et donc qu'elles avaient un plus gros potentiel de développement, que Boulogne ou St-Denis ou Vitry
C'étaient principalement les maraichers de ces villes qui fournissaient les Halles de Paris en légumes des "quatre saisons"
Pour ceux qui connaissent la région, jusqu'au milieu des années 80, le carrefour Pompadour (Créteil) se trouvait au milieu de landes marécageuses (16 ou 20 ha, quand même) qui étaient cernées de panneaux "Chasse Interdite", la Base de Loisirs d'aujourd'hui étaient la résurgences des sources des sablières transformées en décharges et les "Coteaux du Sud" un champ d'épandage âgé de plusieurs décennies (en été, l'odeur se répandait sur plusieurs kilomètres, jusqu'à St-Maur)
Ces potagers n'étaient-ils pas simplement des jardins ouvriers ?
Quelle tristesse de ne pas avoir la curiosité de s’intéresser à autre chose que ses petits alentours.
Sachez qu’à l’endroit de la place actuelle des Quinconces à Bordeaux, il y avait un château qui s’appelait le château Trompette. Mais je suppose que ça paraîtra saugrenu pour le bordelais, rien d’exceptionnel pour les autres. J’aurais dû l’écrire dans l’édition bordelaise de SCMB d’ailleurs, pour éviter que les étrangers ne profitent de cette anecdote qui ne les concernent en rien
Tout ce que je dis, c'est qu'un jardin potager en ville n'a rien d'exceptionnel. Un château appelé Trompette, c'est autre chose.
A noter aussi qu'à l'époque, il était moins aisé d'approvisionner la ville en produits frais et que donc il était rentable de faire pousser des légumes au plus près des immeubles, ce qui n'est plus le cas. Une courgette qui a été cueillie en Provence aujourd'hui peut se retrouver sur l'étal d'un magasin à Paris-centre demain. Le béton, ca rapporte plus que les salades. ^^
- On considère que Paris intra-muros était indépendant au niveau alimentaire dans les années 1800.
- Aujourd'hui on considère que seulement 20% de la nourriture d'Ile de France est produite en Ile-de-France.
- Les 100 premières zones urbanisées françaises importent 98% de leur nourriture.
- Si un jour les Allemands reviennent faire le siège de Paris (ou les vikings au choix), les parisiens ne pourraient tenir que 48h.
Et perso, habitant à 500km, j'en ai absolument rien à faire, mrgou à raison sur ce point.
Que vous ne le saviez pas, c'est très bien, c'est le but de SCMB. Que vous vous en fichiez est un autre débat.
Y'a plein d'anecdotes qui ne m'intéressent pas et j'en chie pas une pendule!
Y'a même des anecdotes qui m'intéressent mais où j'ai aucun commentaire à poster, et là, c'est le drame! ;)