Le syndrome de Fregoli

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Le syndrome de Fregoli est un syndrome psychiatrique faisant partie des troubles délirants persistants. Les patients pensent qu’un persécuteur prend l’apparence de leurs proches. Ils suspectent ainsi leurs amis et leur famille, et se sentent suivis ou épiés en permanence.

Le nom du syndrome vient du nom d’un célèbre transformiste italien du XIXe siècle : Leopoldo Fregoli.


Tous les commentaires (68)

a écrit : Désolé si je t'ai rabaissé, ce n'était pas mon intention, en me relisant effectivement j'y suis allé assez fort, un peu trop même, ce n'est pas une excuse mais c'est toi qui a commencé, donc je vais donner mon point de vue d'une manière plus courtoise, enfin, essayer:

Nous n&#
039;avons pas eu les mêmes expériences mais j'ai bien senti dans ton commentaire qu'à tes yeux la tienne est forcément la bonne, et ça, ca passe pas.

Je me suis exprimé de manière brutale, mais sincère, j'en ai trop souffert des gens persuadés d'avoir raison parce que les dogmes médicaux disent que "ca marche comme ça c'est prouvé", alors je vais séance tenante user de la meilleure technique que je connaisse qui m'a permis de tennir jusqu'à aujourd'hui, technique déjà utilisée sur le débat récurent entre les pro et anti nucléaires, entre les vegan et les viandards, entre les colonisateurs de l'espace et ceux qui pensent qu'on pourrait faire mieux avec l'argent:

Je vais définitivement me taire sur le sujet de la psychiatrie en donnant cependant une dernière raison justifiant mon geste:
Quand on est persuadé d'avoir raison et que cette raison se range à la majorité, peut être qu'on se trompe...

P.S, je pense aussi que la vie est un genre de machine, mais de là à penser que le cerveau, la pensée, la conscience suit une équation (c'est toi qui a parlé d'algorithme), c'est TOI qui pense à un genre de création, pas moi.
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Je ne prends pas ombrage de ce que tu dis. Je respecte la liberté d'expression avant tout mais y applique toujours les principes de respect et de correction. J'ai trouvé, à titre personnel, qu'un de tes propos à mon encontre était un peu déplacé et te le partage, sans animosité. Juste pour dire "ça c'est la limite pour moi". Et fixer des limites, c'est ce que tu souhaite faire en disant aux psys, aux gens, de te foutre la paix. Ce que je respecte.
Pour mon expérience, j'ai fait 15 ans de social alors oui en effet, j'en ai vu des vertes et des pas mûres. Et mon expérience pour avoir travaillé ou conversé avec enormément de psychologues, rejoins un peu la même que la tienne. Il y a des bourrins, des manipulateurs, des flans, des "mauvaises personnes" en tant que terme génerique. Beaucoup. Peut-être même plus de la majorité. Mais j'en ai croisé deux qui étaient TRÈS bons et ont aidé des gens par dizaines. Par le biais d'une compassion et d'une empathie non feintes, ils/elles ont réussi à harmoniser tellement leurs fréquences avec leurs clients qu'ils/elles savaient les accompagner, dire exactement au bon moment ce que la personne avait besoin d'entendre pour se sentir mieux, pour dissiper leur honte exessive ou replacer un peu de logique au sein de réflexions destructrices parfois. Toujours dans le respect de la personnalité de la personne. Comme si ces psys "paramétraient" (ouh... ça va pas te plaire ce terme ! ;-) ) leur cerveau pour se rapporcher du fonctionnement de la personne qu'ils/elles avaient en face. Je suis encore en contact avec certains de ces "patients" qui ont su, à long terme, débloquer grâce à cela, un chemin de vie plus serein.
Je suis désolé que tu sois tombé sur des mauvais mais il y en a de très très bons. Et comme souvent dans l'excellence, ils sont peu.
Alors oui, si ces gens peuvent faire ça, mon explication, ce qui me rassure, ce qui se rapproche le plus de ce que je connais, serait un fonctionnement algorithmique du cerveau. Je ne suis pas parfait. Je suis un humain et ai du mal à m'extraire de cette condition pour trouver des explications rationnelles qui donnent du sens à ce que je vis. D'où cette approche. Voilà pour cela ! Bonne journée à tous !

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android

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a écrit : Tu es comme la plupart des gens, tu n’aimes pas les psy car ils pensent a ta place pour t’aider. Et ça t’énerve car tu te sens en position de faiblesse comme un livre ouvert.

Quoi ? Je viens de penser à ta place ? Pas du tout !
Ah mais tout a fait!

Bon j'avais dit que j'arrêtais mais je casse le contrat. Je fais KESKEJ'VEUX! ^^

J'ai pas envie d'aller voir quelqu'un me dise des choses que j'ai pas envie d'entendre, mais le problème, c'est surtout le jugement, des psys dont le travail est de faire rentrer les gens dans le droit chemin, on avait déjà les curés, alors, essayer de faire en sorte que des presquefous le soient moins, je veux bien, mais aujourd'hui, heuu, si je veux pas rentrer dans le moule c'est que j'ai un problème et que je DOIS changer... et ça, ça passe pas.
Ch'uis pas une fourmi!!!
Les psys font de l'excellent travail je n'en doute pas mais j'ai l'impression qu'on devrait tous se faire analyser d'après les dogmes actuels, et le pire, c'est que les gens qui se font beaucoup analyser, c'est ceux qui sont dans le moule, très bien intégrés sosciétalement... , et qui analyse le psy dans l'histoire?

a écrit : Je ne prends pas ombrage de ce que tu dis. Je respecte la liberté d'expression avant tout mais y applique toujours les principes de respect et de correction. J'ai trouvé, à titre personnel, qu'un de tes propos à mon encontre était un peu déplacé et te le partage, sans animosité. Juste pour dire "ça c'est la limite pour moi". Et fixer des limites, c'est ce que tu souhaite faire en disant aux psys, aux gens, de te foutre la paix. Ce que je respecte.
Pour mon expérience, j'ai fait 15 ans de social alors oui en effet, j'en ai vu des vertes et des pas mûres. Et mon expérience pour avoir travaillé ou conversé avec enormément de psychologues, rejoins un peu la même que la tienne. Il y a des bourrins, des manipulateurs, des flans, des "mauvaises personnes" en tant que terme génerique. Beaucoup. Peut-être même plus de la majorité. Mais j'en ai croisé deux qui étaient TRÈS bons et ont aidé des gens par dizaines. Par le biais d'une compassion et d'une empathie non feintes, ils/elles ont réussi à harmoniser tellement leurs fréquences avec leurs clients qu'ils/elles savaient les accompagner, dire exactement au bon moment ce que la personne avait besoin d'entendre pour se sentir mieux, pour dissiper leur honte exessive ou replacer un peu de logique au sein de réflexions destructrices parfois. Toujours dans le respect de la personnalité de la personne. Comme si ces psys "paramétraient" (ouh... ça va pas te plaire ce terme ! ;-) ) leur cerveau pour se rapporcher du fonctionnement de la personne qu'ils/elles avaient en face. Je suis encore en contact avec certains de ces "patients" qui ont su, à long terme, débloquer grâce à cela, un chemin de vie plus serein.
Je suis désolé que tu sois tombé sur des mauvais mais il y en a de très très bons. Et comme souvent dans l'excellence, ils sont peu.
Alors oui, si ces gens peuvent faire ça, mon explication, ce qui me rassure, ce qui se rapproche le plus de ce que je connais, serait un fonctionnement algorithmique du cerveau. Je ne suis pas parfait. Je suis un humain et ai du mal à m'extraire de cette condition pour trouver des explications rationnelles qui donnent du sens à ce que je vis. D'où cette approche. Voilà pour cela ! Bonne journée à tous !
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Désolé si je suis allé trop loin à ton encontre, ce n'est pas mon intention et j'admet être agressif/colérique assez régulièrement.

Ton commentaire m'a touché, dans le sens où je n'y sens aucun jugement où conseil débile, comme 'il faudrait, tu devrais, tu pourrais" (en général ca commence comme ça^^)

Pour cette histoire d'algorithme... bon chacun voit le monde comme il veut, en tout cas, malgré tout, je te remercie pour ta patience et ta gentillesse et ton commentaire qui, et je vais être sincère, m'a apporté quelques briques de plus sur la façon de me construire.

Au lu de ça, je suppose que j'ai pas eu de chance avec les psys... Apparemment, il y en a des bons. Y'en a pas beaucoup, mais y'en a :) mais ceux sur lesquels je suis tombé, jouer a la Game Boy m'a fait plus de bien que leurs babils débiles de babouins nubiles. ;)

Encore merci :)

Tu devrais aller boire un p’tit verre ça te calmerait des fois. Et puis il faudrait pas hésiter à aller voir un psychologue. Après tout ça tu pourrais respirer les oiseaux tu pourrais te balader sur la plage et prendre sur toi des molécules d’O2.

Salut À toi Nicontrarier

a écrit : Ah mais tout a fait!

Bon j'avais dit que j'arrêtais mais je casse le contrat. Je fais KESKEJ'VEUX! ^^

J'ai pas envie d'aller voir quelqu'un me dise des choses que j'ai pas envie d'entendre, mais le problème, c'est surtout le jugement, des psys dont
le travail est de faire rentrer les gens dans le droit chemin, on avait déjà les curés, alors, essayer de faire en sorte que des presquefous le soient moins, je veux bien, mais aujourd'hui, heuu, si je veux pas rentrer dans le moule c'est que j'ai un problème et que je DOIS changer... et ça, ça passe pas.
Ch'uis pas une fourmi!!!
Les psys font de l'excellent travail je n'en doute pas mais j'ai l'impression qu'on devrait tous se faire analyser d'après les dogmes actuels, et le pire, c'est que les gens qui se font beaucoup analyser, c'est ceux qui sont dans le moule, très bien intégrés sosciétalement... , et qui analyse le psy dans l'histoire?
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Il paraît que la majorité des psys deviennent psys pour soigner leurs propres traumatismes. ;)

Pretty little liars repose clairement que sur ça

a écrit : Moins connu(e)s sont les femmes perverses narcissiques. Elles sont souvent bien plus incidieuses et discrètes que les hommes atteints du même problème pathologique. Car cette catégorie est mal relayée et on a tendance à ne voir que les hommes dans ce rôle. A savoir que la perversion marcissique est sans doute à ce jour le seul "trouble" mental que l'on ne peut pas du tout soigner, du au fait de l'incapacité qu'ont ces personnes de se remettre en cause... Afficher tout En réalité la plus part des pathologie mentales ne soignent pas

Fun fact 20 % français ont au moins une pathologie mentale

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a écrit : oh j'en ai pas vu qu'un de psychologue, mais a chaque fois c'était de ma faute, c'est moi qui devait changer de comportement, le problème vient de moi, forcément, je fous rien à l'école, j'écoute pas mes parents, je DOIS changer... jE DOIS évoluer, c'est moi qui suis dans l'erreur.
Par contre un jour j'ai vu un psychiatre qui m'a dit que je suis névrosé à tendance psychotique, là j'ai eu une réponse. Il m'a proposé des médocs tout en me disant que je n'en avais pas besoin si j'ouvrais un peu les yeux sur la réalité...
Mon cerveau est comme ça. Il faut que je le comprenne...

les psychologues, ils pensent savoir ce qu'on pense et comment on pense, mais c'est faux... les psychiatres, leur taf c'est de déceler les dysfonctionnement du citron. C'est des mécaniciens.
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Ayant eu affaire à beaucoup de psychologues a travers mon metier, je dois admettre que je te rejoins sur le fond - beaucoup ne sont pas des charlatans, car ils croient reellement aider mais tout simplement incompétents. Garder quelqun en therapie pendant 4 ans pour que finalement il se sente "un peu mieux" prouve bien l étendue de leur ignorance.
En revanche certains peuvent donner des outils utiles. Mais sils les donnent au patient ce n est pas (en tout cas ce n est pas censé) être parce que cest de sa faute, mais parce que lui seul peut mieux accepter son environnement, qui lui ne changera malheureusement pas.
Cest plutot parce que cest le seul moyen de mieux vivre avec.
Qqn qui vient voir un psy, et que le psy lui dit "ta mere t a pourri la vie tu n as plus quà vivre avec demerde toi" ne va en rien l aider.
Qqn dont le psy dit "je ss conscient que ta mere t a pourri la vie mais toi seul décides de la laisser faire" cest autre chose.
Apres evidemment ce que tu decris, à savoir que l on ty a obligé durant ton enfance, alors que tu dentais que ca ne te faisait que du mal ca reste un probleme.
Je veux juste preciser que les psys (mm les mauvais) qui donnent des conseils, en general (jinsiste sur le mot) ne le font pas par jugement mais parce que c est le seul moyen d aider.