La fermeture éclair a un peu plus de 100 ans

Proposé par
le

La fermeture éclair (ou "zip") a été brevetée en 1913 par l'ingénieur Gideon Sundbäck, né suédois puis naturalisé américain. Il fut le premier à remplacer l'ancien système du XIXe siècle, basé sur des œillets et des crochets, par un dispositif de dents engrenées à l'aide d'un curseur.

Son invention fut d'abord utilisée pour les chaussures, puis dans les vêtements à partir des années 30. Il faudra attendre la Seconde Guerre mondiale pour voir ces fermetures éclairs apparaître en tant que braguettes de pantalons.


Commentaires préférés (3)

Je crois qu'il sagit d'une antonomase car "fermeture éclair" a longtemps était une marque déposée (par la société BF Goodrich). On devrait dire fermeture à glissière si on était tatillon.

L'invention est due d'abord à Elias Howe, Jr. qui dépose le brevet en 1851 d'une 'fermeture automatique et continue des vêtements" mais se concentre sur les machines à coudre. En 1893, l'inventeur Whitcomb Judson dépose le brevet du dispositif "Clasp Locker" qui rencontrera peu de succès. En 1917, Gideon Sundbäck dépose le brevet du "Separable Fastener" qui sera la fermeture éclair qu'on connait aujourd'hui. Au regard des améliorations apportées par Gideon sur le produit, on peut légitimement le qualifier de l'inventeur de la fermeture éclair moderne.

Gideon vendra son brevet en 1923 au suisse Winterhalter pour une vingtaine de milliers de francs. Le suisse voyant le potentiel de l'invention partira ensuite monter une entreprise en Allemagne qui lui permettra d'amasser une fortune. L'entreprise est RIRI (sigle que l'on peut lire sur la plupart des fermetures éclairs aujourd'hui) et qui provient de «rillen» und «rippen» qui veut dire en allemand "monter" et "descendre" la fermeture.

a écrit : Je crois qu'il sagit d'une antonomase car "fermeture éclair" a longtemps était une marque déposée (par la société BF Goodrich). On devrait dire fermeture à glissière si on était tatillon.

L'invention est due d'abord à Elias Howe, Jr. qui dépose le brevet en 1851 d'une &
#039;fermeture automatique et continue des vêtements" mais se concentre sur les machines à coudre. En 1893, l'inventeur Whitcomb Judson dépose le brevet du dispositif "Clasp Locker" qui rencontrera peu de succès. En 1917, Gideon Sundbäck dépose le brevet du "Separable Fastener" qui sera la fermeture éclair qu'on connait aujourd'hui. Au regard des améliorations apportées par Gideon sur le produit, on peut légitimement le qualifier de l'inventeur de la fermeture éclair moderne.

Gideon vendra son brevet en 1923 au suisse Winterhalter pour une vingtaine de milliers de francs. Le suisse voyant le potentiel de l'invention partira ensuite monter une entreprise en Allemagne qui lui permettra d'amasser une fortune. L'entreprise est RIRI (sigle que l'on peut lire sur la plupart des fermetures éclairs aujourd'hui) et qui provient de «rillen» und «rippen» qui veut dire en allemand "monter" et "descendre" la fermeture.
Afficher tout
Alors en Belgique, où 45% de la population parle français, ce n'est:
- pas une fermeture éclair
- pas une fermeture à glissière
- pas un zip
- pas un zipper
C'est... une tirette !

a écrit : Alors en Belgique, où 45% de la population parle français, ce n'est:
- pas une fermeture éclair
- pas une fermeture à glissière
- pas un zip
- pas un zipper
C'est... une tirette !
Pour côtoyer des Belges tous les jours, je ne dirais pas qu'ils parlent français. Ils parle le français de Belgique ^^. En deux, trois phrases et même sans aucun accent, on reconnaît un Belge.

Par exemple :
- utiliser le verbe savoir pour pouvoir : "il ne saura être là à l'heure"
- le verber dracher pour pleuvoir
- le "sucer de son pouce" = le deviner (coucou stromae)
- "On se dit quoi" = "on se tient au courant"

et pour les coquins, faire une baise c'est simplement faire la bise.


Tous les commentaires (37)

Je crois qu'il sagit d'une antonomase car "fermeture éclair" a longtemps était une marque déposée (par la société BF Goodrich). On devrait dire fermeture à glissière si on était tatillon.

L'invention est due d'abord à Elias Howe, Jr. qui dépose le brevet en 1851 d'une 'fermeture automatique et continue des vêtements" mais se concentre sur les machines à coudre. En 1893, l'inventeur Whitcomb Judson dépose le brevet du dispositif "Clasp Locker" qui rencontrera peu de succès. En 1917, Gideon Sundbäck dépose le brevet du "Separable Fastener" qui sera la fermeture éclair qu'on connait aujourd'hui. Au regard des améliorations apportées par Gideon sur le produit, on peut légitimement le qualifier de l'inventeur de la fermeture éclair moderne.

Gideon vendra son brevet en 1923 au suisse Winterhalter pour une vingtaine de milliers de francs. Le suisse voyant le potentiel de l'invention partira ensuite monter une entreprise en Allemagne qui lui permettra d'amasser une fortune. L'entreprise est RIRI (sigle que l'on peut lire sur la plupart des fermetures éclairs aujourd'hui) et qui provient de «rillen» und «rippen» qui veut dire en allemand "monter" et "descendre" la fermeture.

a écrit : Je crois qu'il sagit d'une antonomase car "fermeture éclair" a longtemps était une marque déposée (par la société BF Goodrich). On devrait dire fermeture à glissière si on était tatillon.

L'invention est due d'abord à Elias Howe, Jr. qui dépose le brevet en 1851 d'une &
#039;fermeture automatique et continue des vêtements" mais se concentre sur les machines à coudre. En 1893, l'inventeur Whitcomb Judson dépose le brevet du dispositif "Clasp Locker" qui rencontrera peu de succès. En 1917, Gideon Sundbäck dépose le brevet du "Separable Fastener" qui sera la fermeture éclair qu'on connait aujourd'hui. Au regard des améliorations apportées par Gideon sur le produit, on peut légitimement le qualifier de l'inventeur de la fermeture éclair moderne.

Gideon vendra son brevet en 1923 au suisse Winterhalter pour une vingtaine de milliers de francs. Le suisse voyant le potentiel de l'invention partira ensuite monter une entreprise en Allemagne qui lui permettra d'amasser une fortune. L'entreprise est RIRI (sigle que l'on peut lire sur la plupart des fermetures éclairs aujourd'hui) et qui provient de «rillen» und «rippen» qui veut dire en allemand "monter" et "descendre" la fermeture.
Afficher tout
Alors en Belgique, où 45% de la population parle français, ce n'est:
- pas une fermeture éclair
- pas une fermeture à glissière
- pas un zip
- pas un zipper
C'est... une tirette !

a écrit : Alors en Belgique, où 45% de la population parle français, ce n'est:
- pas une fermeture éclair
- pas une fermeture à glissière
- pas un zip
- pas un zipper
C'est... une tirette !
Pour côtoyer des Belges tous les jours, je ne dirais pas qu'ils parlent français. Ils parle le français de Belgique ^^. En deux, trois phrases et même sans aucun accent, on reconnaît un Belge.

Par exemple :
- utiliser le verbe savoir pour pouvoir : "il ne saura être là à l'heure"
- le verber dracher pour pleuvoir
- le "sucer de son pouce" = le deviner (coucou stromae)
- "On se dit quoi" = "on se tient au courant"

et pour les coquins, faire une baise c'est simplement faire la bise.

a écrit : Pour côtoyer des Belges tous les jours, je ne dirais pas qu'ils parlent français. Ils parle le français de Belgique ^^. En deux, trois phrases et même sans aucun accent, on reconnaît un Belge.

Par exemple :
- utiliser le verbe savoir pour pouvoir : "il ne saura être là à l'heure&q
uot;
- le verber dracher pour pleuvoir
- le "sucer de son pouce" = le deviner (coucou stromae)
- "On se dit quoi" = "on se tient au courant"

et pour les coquins, faire une baise c'est simplement faire la bise.
Afficher tout
Ou aller à la toilette ^^

Par contre, dracher et "je te dis quoi" se disent beaucoup par chez moi sans être belges.

a écrit : Ou aller à la toilette ^^

Par contre, dracher et "je te dis quoi" se disent beaucoup par chez moi sans être belges.
Tout simplement répondre s'il vous plaît au lieu de "de rien" c'est perturbant !

on trouve aussi souvent l'acronyme YKK sur certaines tirettes (devinez où je vis...). Je paraphrase Wikipedia:
YKK, abréviation de Yoshida Kōgyō Kabushiki gaisha, est une entreprise japonaise fondée par Tadao Yoshida, à Nihonbashi, le 1ᵉʳ janvier 1934.

Créatrice de solutions pour les fixations, ses différents départements regroupent les fermetures à glissière, les rubans auto-agrippants, les boutons pression et rivets, les boucles en plastique, les rubans élastiques et sangles pour toutes les applications de la mode, des vêtements techniques, de l'ameublement, l'automobile, la maroquinerie, etc.

Le groupe est le leader sur le marché des produits et accessoires « d'attache ». Il est aussi présent dans l'industrie du bâtiment, la haute technologie (fibre optique) et l’agriculture.
fr.wikipedia.org/wiki/YKK

a écrit : Tout simplement répondre s'il vous plaît au lieu de "de rien" c'est perturbant ! Je ne sais pas si c'est propre à la Belgique. Une amie haute-saônoise qui le dit aussi.

a écrit : Pour côtoyer des Belges tous les jours, je ne dirais pas qu'ils parlent français. Ils parle le français de Belgique ^^. En deux, trois phrases et même sans aucun accent, on reconnaît un Belge.

Par exemple :
- utiliser le verbe savoir pour pouvoir : "il ne saura être là à l'heure&q
uot;
- le verber dracher pour pleuvoir
- le "sucer de son pouce" = le deviner (coucou stromae)
- "On se dit quoi" = "on se tient au courant"

et pour les coquins, faire une baise c'est simplement faire la bise.
Afficher tout
Hormis le sucer de son pouce, tes autres exemples se disent régulièrement en France.
Et cela dans de nombreuses régions du nord au sud.

Et concernant le remerciement. Le « de rien » s’apparente plus à mon sens à une mauvaise habitude. Perso selon à qui je m’adresse ma réponse va de « avec plaisir » a « je vous en prie », je ne réponds presque jamais « de rien ».

Ça s'explique que la fermeture à glissière n'a pas été utilisée tout de suite pour les baguettes, ça devait paraître trop dangereux, ce qui a d'ailleurs dû être confirmé par les premiers essais ! Surtout avec les fermetures de l'époque qui étaient métalliques et dont les petits maillons n'étaient pas bien arrondis , les fermetures ont fait des progrès depuis : les maillons sont plus arrondis et il y a même des versions plastiques beaucoup moins dangereuses. Et je pense qu'il a fallu attendre la généralisation du port du slip pour qu'on puisse remonter la fermeture éclair d'une braguette en toute sécurité !

Ma fiancée appelle cela une "crémaillère" car elle traduit littéralement le mot espagnol "cremallera". Et ça rentre dans la définition en fait : Pièce munie de crans.

a écrit : Pour côtoyer des Belges tous les jours, je ne dirais pas qu'ils parlent français. Ils parle le français de Belgique ^^. En deux, trois phrases et même sans aucun accent, on reconnaît un Belge.

Par exemple :
- utiliser le verbe savoir pour pouvoir : "il ne saura être là à l'heure&q
uot;
- le verber dracher pour pleuvoir
- le "sucer de son pouce" = le deviner (coucou stromae)
- "On se dit quoi" = "on se tient au courant"

et pour les coquins, faire une baise c'est simplement faire la bise.
Afficher tout
A part le "sucer de son pouce" (merci pour la traduction) toutes les autres expressions sont largement utilisées dans le nord de la France et même un peu plus loin.

Edit: oups, déjà dit.

Il n'y a pas de bouton pour supprimer son commentaire ?

a écrit : A part le "sucer de son pouce" (merci pour la traduction) toutes les autres expressions sont largement utilisées dans le nord de la France et même un peu plus loin.

Edit: oups, déjà dit.

Il n'y a pas de bouton pour supprimer son commentaire ?
Je suis d'accord pour dire que ce sont des expressions que l'on retrouve dans le nord de la France mais elles sont issues de la Belgique.

Par exemple, on dit "chicon" pour endives en Belgique mais on le dit aussi dans tout le nord de la France. Mais je suis certain que ça vient de la Belgique puisque ça veut dire "feuilles blanches" en flamand... ^^
Un peu comme "carabistouille", terme que le président français semble apprécier (surement entendu dans son enfance amiénoise) et qui pourtant est bien un belgicisme.
Pareil pour "dracher" qui vient du flamand "draschen"... etc.

a écrit : Je suis d'accord pour dire que ce sont des expressions que l'on retrouve dans le nord de la France mais elles sont issues de la Belgique.

Par exemple, on dit "chicon" pour endives en Belgique mais on le dit aussi dans tout le nord de la France. Mais je suis certain que ça vient de la B
elgique puisque ça veut dire "feuilles blanches" en flamand... ^^
Un peu comme "carabistouille", terme que le président français semble apprécier (surement entendu dans son enfance amiénoise) et qui pourtant est bien un belgicisme.
Pareil pour "dracher" qui vient du flamand "draschen"... etc.
Afficher tout
Ton explication est tout à fait convaincante pour le fait que ça vient du flamand, mais le flamand est le nom qu'on donne au néerlandais qu'on parle dans le nord de la Belgique et même dans le sud des Pays-Bas, sachant que le néerlandais et ses variantes sont centrés sur les Pays-Bas, et donc ça vient du néerlandais et donc des Pays-Bas. A la rigueur tu pourrais dire que ces mots viennent des Pays-Bas via la Belgique mais le plus simple serait de ne pas les attribuer à un pays, car les langues ne respectent pas les frontières. De même qu'on ne dira pas que le flamand vient des Pays-Bas ou que l'alsacien vient d'Allemagne, on peut dire que ces mots sont des emprunts au flamand ou au néerlandais sans les attribuer à un pays.

a écrit : Pour côtoyer des Belges tous les jours, je ne dirais pas qu'ils parlent français. Ils parle le français de Belgique ^^. En deux, trois phrases et même sans aucun accent, on reconnaît un Belge.

Par exemple :
- utiliser le verbe savoir pour pouvoir : "il ne saura être là à l'heure&q
uot;
- le verber dracher pour pleuvoir
- le "sucer de son pouce" = le deviner (coucou stromae)
- "On se dit quoi" = "on se tient au courant"

et pour les coquins, faire une baise c'est simplement faire la bise.
Afficher tout
Ils parlent le chti quoi.. ^^

a écrit : Tout simplement répondre s'il vous plaît au lieu de "de rien" c'est perturbant ! Ça c'est juste du bon français.

a écrit : Hormis le sucer de son pouce, tes autres exemples se disent régulièrement en France.
Et cela dans de nombreuses régions du nord au sud.

Et concernant le remerciement. Le « de rien » s’apparente plus à mon sens à une mauvaise habitude. Perso selon à qui je m’adresse ma réponse va de « avec plaisir
 » a « je vous en prie », je ne réponds presque jamais « de rien ». Afficher tout
Pourquoi une "mauvaise habitude" ? C'est simplement une expression française, qui date semble-t-il du XIXème siècle, et qui signifie après un "merci" : "vous n'avez à me remercier DE RIEN".

a écrit : Je suis d'accord pour dire que ce sont des expressions que l'on retrouve dans le nord de la France mais elles sont issues de la Belgique.

Par exemple, on dit "chicon" pour endives en Belgique mais on le dit aussi dans tout le nord de la France. Mais je suis certain que ça vient de la B
elgique puisque ça veut dire "feuilles blanches" en flamand... ^^
Un peu comme "carabistouille", terme que le président français semble apprécier (surement entendu dans son enfance amiénoise) et qui pourtant est bien un belgicisme.
Pareil pour "dracher" qui vient du flamand "draschen"... etc.
Afficher tout
Tu as tout à fait raison, beaucoup des expressions de Nord nous viennent de Belgique, d'ailleurs on parle le ch'ti jusqu'à Tournai (même si ça s'appelle du picard en réalité. La seule différence est que les Belges savent que c'est du picard et l'appellent comme tel, le mot "ch'ti" est très récent et nous vient de la 1ère guerre mondiale.

a écrit : Ton explication est tout à fait convaincante pour le fait que ça vient du flamand, mais le flamand est le nom qu'on donne au néerlandais qu'on parle dans le nord de la Belgique et même dans le sud des Pays-Bas, sachant que le néerlandais et ses variantes sont centrés sur les Pays-Bas, et donc ça vient du néerlandais et donc des Pays-Bas. A la rigueur tu pourrais dire que ces mots viennent des Pays-Bas via la Belgique mais le plus simple serait de ne pas les attribuer à un pays, car les langues ne respectent pas les frontières. De même qu'on ne dira pas que le flamand vient des Pays-Bas ou que l'alsacien vient d'Allemagne, on peut dire que ces mots sont des emprunts au flamand ou au néerlandais sans les attribuer à un pays. Afficher tout Je faisais référence au fait que le vocabulaire il y a encore 100 ans se déplaçait de proche en proche. Ce n’est sûrement plus vrai aujourd’hui.
Cela reste des emprunts au flamand qui ont été francisés par les Belges francophones et non par les français (sauf chicon à la limite qui a été emprunté tel quel).

a écrit : Pourquoi une "mauvaise habitude" ? C'est simplement une expression française, qui date semble-t-il du XIXème siècle, et qui signifie après un "merci" : "vous n'avez à me remercier DE RIEN". Où le "y'a pas de quoi!" (me remercier)

Y'a même le:

-Merci!
-C'est moi! (qui vous remercie d'avoir pu vous rendre service, je me sens utile.)

a écrit : Hormis le sucer de son pouce, tes autres exemples se disent régulièrement en France.
Et cela dans de nombreuses régions du nord au sud.

Et concernant le remerciement. Le « de rien » s’apparente plus à mon sens à une mauvaise habitude. Perso selon à qui je m’adresse ma réponse va de « avec plaisir
 » a « je vous en prie », je ne réponds presque jamais « de rien ». Afficher tout
Tu peux même dire "pas de problème". Tant que tu ne dis pas "pas de souci", ça va...

Et même "de rien" n'est pas approprié dans toutes les situations. Je l'ai fait remarquer à un jeune vendeur de rue qui m'avait répondu "de rien" quand je l'ai remercié après avoir payé ce que j'avais acheté : un vendeur devrait répondre "c'est moi qui vous remercie" plutôt que "de rien", car "de rien" voudrait dire simplement qu'il n'y a pas à le remercier, ce qui est vrai puisqu'il est là pour vendre, mais il ne devrait pas être seulement indifférent à une vente, mais être reconnaissant envers l'acheteur et donc il devrait dire que c'est lui qui remercie l'acheteur.