84 ans dans la même entreprise

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Le brésilien Walter Orthmann, devenu centenaire en 2022, détient le record de la plus longue carrière dans une même entreprise. Il a fait ses débuts en 1938, à 16 ans, dans une entreprise de textile, ReneauxView. Il y travaille encore aujourd'hui, totalisant plus de 84 ans de carrière.


Commentaires préférés (3)

C'est plus triste qu'autre chose, non ?

a écrit : C'est plus triste qu'autre chose, non ? Honnêtement, je ne vois pas pourquoi... Si la personne exerce un métier qui lui plaît, qui le maintient en forme et dans lequel il est pleinement épanoui, pourquoi pas continuer à bosser jusqu'à plus soif ???
Notre vision (je m'inclus dedans) du travail en France est raccord avec l'expérience que nous en avons. Nous nous cassons le c*l à faire des études dans une branche qui nous plaît (pour les plus chanceux), et on se retrouve sous la responsabilité (les ordres ?) d'une personne qui vient nous dire comment nous devons faire notre travail, même si cela va à l'encontre de ce que nous avons appris ou de nos valeurs, réduisant à néant toute possibilité de créativité et d'épanouissement dans les actions à mener. Certaines personnes s'en accommodent, mais ce n'est pas la majorité. Peut-être cette personne se sent-elle bien dans sa vie et son travail...
Il serait intéressant de savoir à combien se monterait sa retraite (en % du salaire) avec deux fois les annuités nécessaires... ^^

a écrit : C'est plus triste qu'autre chose, non ? « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour dans ta vie ». Confucius


Tous les commentaires (30)

C'est plus triste qu'autre chose, non ?

a écrit : C'est plus triste qu'autre chose, non ? Honnêtement, je ne vois pas pourquoi... Si la personne exerce un métier qui lui plaît, qui le maintient en forme et dans lequel il est pleinement épanoui, pourquoi pas continuer à bosser jusqu'à plus soif ???
Notre vision (je m'inclus dedans) du travail en France est raccord avec l'expérience que nous en avons. Nous nous cassons le c*l à faire des études dans une branche qui nous plaît (pour les plus chanceux), et on se retrouve sous la responsabilité (les ordres ?) d'une personne qui vient nous dire comment nous devons faire notre travail, même si cela va à l'encontre de ce que nous avons appris ou de nos valeurs, réduisant à néant toute possibilité de créativité et d'épanouissement dans les actions à mener. Certaines personnes s'en accommodent, mais ce n'est pas la majorité. Peut-être cette personne se sent-elle bien dans sa vie et son travail...
Il serait intéressant de savoir à combien se monterait sa retraite (en % du salaire) avec deux fois les annuités nécessaires... ^^

a écrit : Honnêtement, je ne vois pas pourquoi... Si la personne exerce un métier qui lui plaît, qui le maintient en forme et dans lequel il est pleinement épanoui, pourquoi pas continuer à bosser jusqu'à plus soif ???
Notre vision (je m'inclus dedans) du travail en France est raccord avec l'expérience que n
ous en avons. Nous nous cassons le c*l à faire des études dans une branche qui nous plaît (pour les plus chanceux), et on se retrouve sous la responsabilité (les ordres ?) d'une personne qui vient nous dire comment nous devons faire notre travail, même si cela va à l'encontre de ce que nous avons appris ou de nos valeurs, réduisant à néant toute possibilité de créativité et d'épanouissement dans les actions à mener. Certaines personnes s'en accommodent, mais ce n'est pas la majorité. Peut-être cette personne se sent-elle bien dans sa vie et son travail...
Il serait intéressant de savoir à combien se monterait sa retraite (en % du salaire) avec deux fois les annuités nécessaires... ^^
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Totalement en phase avec toi. D'ailleurs la source Ouest France indique cela:
Il explique sa longévité au sein de l’entreprise par le fait que cela lui « donne un but, une routine » et lui permet de s’épanouir dans un domaine qui l’intéresse.

Concernant la retraite au Brésil, en cherchant sur Google on trouve ça en tête des résultats:
La pension est versée sur 13 mensualités. Le montant de la pension s'élève, au minimum à 1 212 BRL (226€) et au maximum à 7 087,22 BRL (1322€).
L'assuré peut bénéficier d'une pension de vieillesse tout en continuant son activité rémunérée.
Le Monsieur de l'anecdote cumule à priori retraite et emploi.

a écrit : C'est plus triste qu'autre chose, non ? « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour dans ta vie ». Confucius

Imaginez combien de millions l'entreprise a fait grâce à son travail depuis le temps.

Ah! La belle et longue vie des prolétaires!

a écrit : Imaginez combien de millions l'entreprise a fait grâce à son travail depuis le temps.

Ah! La belle et longue vie des prolétaires!
Du fait de ses compétences il est rapidement passé Directeur des ventes sur l’ensemble du Brésil. Donc pas sûr qu’il perçoive un salaire de prolétaire, ce doit même être un vile bourgeois.

Un conseil: il faut lire les sources tovaritch ;)

a écrit : Imaginez combien de millions l'entreprise a fait grâce à son travail depuis le temps.

Ah! La belle et longue vie des prolétaires!
Il y a des gens pour qui le fric n'est pas une valeur. Ces gens en ont d'autre (des valeurs), que ceux qui ne pense qu'au fric ne peuvent pas comprendre.
Heureux le prolo qui aime son job et qui est entouré de sa famille en bonne santé.

Mon boss c'est presque pareil, il a commencé en 49/50 dans l'entreprise familiale et il est toujours là. Pour mon plus grand bonheur !!!

a écrit : Il y a des gens pour qui le fric n'est pas une valeur. Ces gens en ont d'autre (des valeurs), que ceux qui ne pense qu'au fric ne peuvent pas comprendre.
Heureux le prolo qui aime son job et qui est entouré de sa famille en bonne santé.
Plus d'argent ne fait pas le bonheur à condition d'en avoir suffisamment pour subvenir à ses besoins.

a écrit : Il y a des gens pour qui le fric n'est pas une valeur. Ces gens en ont d'autre (des valeurs), que ceux qui ne pense qu'au fric ne peuvent pas comprendre.
Heureux le prolo qui aime son job et qui est entouré de sa famille en bonne santé.
Le fric, c'est un outil, ceux qui pensent que c'est un but se trompent.

a écrit : Le fric, c'est un outil, ceux qui pensent que c'est un but se trompent. Doit-on prendre cette affirmation pour argent comptant ? ( Humour pas taper svp) ;)

a écrit : Doit-on prendre cette affirmation pour argent comptant ? ( Humour pas taper svp) ;) ah si je vais te taper, sauf si tu paie le pizzo... ;)

Si l’argent ne fait pas le bonheur, rendez-le ! (Jules Renard).

Wah pour lui la retraite à 60 ans... De carrière, c'est même pas envisageable.

C'est parce qu'il y a des gens comme lui qu'il faut foutre la paix à ceux qui veulent pas bosser, avec les modes de production modernes, il y a plus besoin de mettre tout le monde au taf, ceux qui en ont envie suffisent.

a écrit : « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour dans ta vie ». Confucius Y'a toujours un dicton ou une citation pour dire un truc et son contraire donc....

T'as beau aimer ton travail, l'usure vient également de la répétition.
Donc, si tu fais toujours le même chose, je pense bien qu'au bout d'un moment ça devient pénible.

Du coup je me pose une question :
Pourquoi un retraité en France n'aurait pas le droit de toucher sa pension tout en continuant de travailler ? Ou même de reprendre un travail plus tard.
Un investisseur par exemple a bien le droit de toucher un salaire en plus des bénéfices générée par ses placements.

Voilà je pose un peu la question comme ça mais pourquoi en France on n'autorise pas ce genre de choses ?

a écrit : Du fait de ses compétences il est rapidement passé Directeur des ventes sur l’ensemble du Brésil. Donc pas sûr qu’il perçoive un salaire de prolétaire, ce doit même être un vile bourgeois.

Un conseil: il faut lire les sources tovaritch ;)
Lire les sources? Pas besoin, la communauté est là pour moi ;-)

a écrit : Y'a toujours un dicton ou une citation pour dire un truc et son contraire donc....

T'as beau aimer ton travail, l'usure vient également de la répétition.
Donc, si tu fais toujours le même chose, je pense bien qu'au bout d'un moment ça devient pénible.
Y'en a bien qui gagnent leur vie en jouant à des jeux vidéo... et oui, on vieillit, c'est inéluctable mais je préfère vieillir en foutant rien qu'en travaillant à la mine parce que je n'ai pas le choix. ,)