La coutume de la mer autorisait le cannibalisme

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La "Coutume de la Mer" était une règle tacite chez les marins qui autorisait le cannibalisme. En cas de désastre, si l'équipage mourrait de faim, il était autorisé à manger les cadavres des marins qui auraient succombé. Si personne n'était mort, on organisait une loterie pour savoir qui serait tué.


Commentaires préférés (3)

Il était un petit naviiireuh, il était un petit naviiireuh...

La suite des paroles raconte la "coutume de la mer"

a écrit : C’est pas comme s’il n’y avait pas du poisson à foison dans la mer… En fait; il y en a près des côtes et des fonds, mais en surface, il n'y a plus rien des qu'on s’éloigne un peu

Ce qui est intéressant je trouve, c’est plutôt son abolition, fin 1800, et donc c’est à partir de ce moment il n’était plus légalement acceptable de sacrifier une personne du groupe pour sauver les autres (jusque là, c’était légal uniquement si le tirage au sort avait été honnête).
Le juge a estimé que tout le monde devait mourir plutôt que de sacrifier une personne.


Tous les commentaires (19)

Il était un petit naviiireuh, il était un petit naviiireuh...

La suite des paroles raconte la "coutume de la mer"

Ha! le fameux "...on tiraza la courte-paille..." des CE1
avec ton copain qui te demande : c'est quoi "tiraza"?

a écrit : Il était un petit naviiireuh, il était un petit naviiireuh...

La suite des paroles raconte la "coutume de la mer"
Oui c'est vrai, le petit garçon échappe de peu à la friture.

C’est pas comme s’il n’y avait pas du poisson à foison dans la mer…

a écrit : C’est pas comme s’il n’y avait pas du poisson à foison dans la mer… En fait; il y en a près des côtes et des fonds, mais en surface, il n'y a plus rien des qu'on s’éloigne un peu

a écrit : Ha! le fameux "...on tiraza la courte-paille..." des CE1
avec ton copain qui te demande : c'est quoi "tiraza"?
J'avoue ne pas comprendre d'où vient le "za" :/

Ce qui est intéressant je trouve, c’est plutôt son abolition, fin 1800, et donc c’est à partir de ce moment il n’était plus légalement acceptable de sacrifier une personne du groupe pour sauver les autres (jusque là, c’était légal uniquement si le tirage au sort avait été honnête).
Le juge a estimé que tout le monde devait mourir plutôt que de sacrifier une personne.

a écrit : Ce qui est intéressant je trouve, c’est plutôt son abolition, fin 1800, et donc c’est à partir de ce moment il n’était plus légalement acceptable de sacrifier une personne du groupe pour sauver les autres (jusque là, c’était légal uniquement si le tirage au sort avait été honnête).
Le juge a estimé que tout le mo
nde devait mourir plutôt que de sacrifier une personne. Afficher tout
En fait, il y en aura toujours un qui mourra avant les autres.

Et les autres pourront le manger.

Puis il y en aura un autre qui mourra avant les autres.

Et les autres pourront le manger.

a écrit : Il était un petit naviiireuh, il était un petit naviiireuh...

La suite des paroles raconte la "coutume de la mer"
Cette comptine reprend l’histoire vrai d’Owen Coffin, un jeune américain qui en 1821 après avoir été tiré à la courte paille, accepta de se laisser abattre et manger par ses compagnons d’infortunes pour qu’ils survivent. Leur baleinier dérivaient depuis des semaines et ils n’avaient plus de nourriture, les marins mourraient les uns après les autres.

a écrit : Cette comptine reprend l’histoire vrai d’Owen Coffin, un jeune américain qui en 1821 après avoir été tiré à la courte paille, accepta de se laisser abattre et manger par ses compagnons d’infortunes pour qu’ils survivent. Leur baleinier dérivaient depuis des semaines et ils n’avaient plus de nourriture, les marins mourraient les uns après les autres. Afficher tout J'avais un doute quant à cette origine, et wikipedia, si je me réfère à lui, me donne raison. Quoique...

J'ai d'abord cherché au nom d'Owen Coffin et aucune allusion sur la comptine n'y est mentionné.

fr.wikipedia.org/wiki/Owen_Coffin?wprov=sfla1

Puis j'ai cherché Il était un petit navire et, originellement, c'est toujours le capitaine qui se faisait manger. Ce n'est qu'à la moitié du XIXe que la chanson parle du plus jeune matelot.

Coïncidence ... ou pas ;)

fr.wikipedia.org/wiki/Il_%C3%A9tait_un_petit_navire?wprov=sfla1

a écrit : J'avoue ne pas comprendre d'où vient le "za" :/ Je pense que c’est une euphonie.

« Si l’équipage mourrait » utilise le verbe mourir au conditionnel, comme s’il était écrit « si l’équipage serait mort ». Il aurait fallu écrire l’équivalent de « si l’équipage était mort » , donc ici « si l’équipage mourait »
Imparfait : il mourait (un seul r)
Conditionnel présent : il mourrait (deux r)

« Si j’aurais su je serais pas venu… » aurait dit P’tit Gibus dans la guerre des boutons.

a écrit : En fait, il y en aura toujours un qui mourra avant les autres.

Et les autres pourront le manger.

Puis il y en aura un autre qui mourra avant les autres.

Et les autres pourront le manger.
Oui.
Je ne parlais pas nécessairement du cannibalisme et de l’acte mais de la notion de sacrifice, et de ce moment de changement de mentalité dans la société.

Après, dans le cas des marins, on peut imaginer des situations hypothétiques qui demanderaient de conserver une force physique (écopage continu par exemple), qui feraient que l’embarcation serait déjà sous l’eau avant qu’un membre d’équipage ne décède de causes naturelles.

a écrit : C’est pas comme s’il n’y avait pas du poisson à foison dans la mer… Oui mais ceux qui n’aiment pas le poisson, y font comment ??

Il y a aussi l’histoire d’un père de famille qui, lors d’une famine, mangeait ses enfants pour leur conserver un père…

a écrit : Ha! le fameux "...on tiraza la courte-paille..." des CE1
avec ton copain qui te demande : c'est quoi "tiraza"?
J’ai jamais vécu ça. Pourquoi tiraza ?

a écrit : Il était un petit naviiireuh, il était un petit naviiireuh...

La suite des paroles raconte la "coutume de la mer"
Ouaw
Deux anecdote pour le prix d’une grâce à toi.

a écrit : À voir aussi : Au clair de la lune…. Bien vu ! Mais quel sens donner à "prête-moi ta plume" dans ce cas ?