Le paradoxe du jeune Soleil faible désigne la contradiction apparente entre l'observation d'eau liquide tôt dans l'histoire de la Terre et les estimations suggérant que le Soleil ne brillait alors qu'à 70% de son intensité actuelle, ce qui aurait dû rendre notre astre totalement gelé. Les éléments pouvant expliquer le réchauffement résolvant ce paradoxe sont les gaz à effet de serre, l'effet albédo et/ou des influences astrophysiques (astéroïdes ou Lune).

Commentaires préférés (3)
Pas « rendre notre astre totalement gelé » il faut comprendre la Terre, bien sûr, pas le soleil.
J'avoue que j'ai tiqué sur le terme observation d'eau liquide sur la surface de la terre. Ça se passait il y a 4,5 milliards d'années donc à une période où il n'y avait quasiment que de l'eau et aucune vie terrestre pour voir quoi que ce soit. C'était une période de formation et transformation stellaire autant que terrestre.
D'ailleurs, Il y a 4,5 milliards d’années, la Lune orbitait à seulement semblr t'il à 20000 km de la Terre primitive, contre 380000 km actuellement. Cette proximité aurait provoqué une interaction gravitationnelle beaucoup plus élevée entre les deux corps célestes et un effet de marée plus important qu’à notre époque. Ce phénomène aurait contribué au réchauffement interne de la Terre ainsi que l'activité volcanique.
Sans les gaz à effet de serre, la température moyenne de la Terre serait de -15°C au lieu des +18°C actuels
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Pas « rendre notre astre totalement gelé » il faut comprendre la Terre, bien sûr, pas le soleil.
J'avoue que j'ai tiqué sur le terme observation d'eau liquide sur la surface de la terre. Ça se passait il y a 4,5 milliards d'années donc à une période où il n'y avait quasiment que de l'eau et aucune vie terrestre pour voir quoi que ce soit. C'était une période de formation et transformation stellaire autant que terrestre.
D'ailleurs, Il y a 4,5 milliards d’années, la Lune orbitait à seulement semblr t'il à 20000 km de la Terre primitive, contre 380000 km actuellement. Cette proximité aurait provoqué une interaction gravitationnelle beaucoup plus élevée entre les deux corps célestes et un effet de marée plus important qu’à notre époque. Ce phénomène aurait contribué au réchauffement interne de la Terre ainsi que l'activité volcanique.
Sans les gaz à effet de serre, la température moyenne de la Terre serait de -15°C au lieu des +18°C actuels
20 000 km ça paraît très bas non, probablement proche de la limite de Roche, tu es sûr de ton coup ?
La lune était en cours de formation après le cataclysme Théia. Elle était en train de s'éloigner de la Terre, mais l'effet de marée était si puissant qu'on estime que les roches terrestres se soulevaient de 800m à chaque passage de la Lune, quand maintenant on a des maximum de 20m avec les océans. Je ne suis pas sûr qu'il y ait eu beaucoup d'eau liquide à ce moment
fr.wikipedia.org/wiki/Théia_(impacteur)
youtu.be/1FvmnoBLD70
Je ne comprends pas les pouces vers le bas à la suite de l'énoncé de simples faits
Je me suis posé la question sur une autre anecdote.
Soit la personne dit une affirmation qui laisse la place à de l'avis et on répond en disant 'pour moi, tu as tords parce que ...' soit la personne énonce un fait complètement faux et dans ce cas, il a des réponses ' non, ce que tu dis est faux parce que' malheureusement, je n'ai jamais eu d'explications au pourquoi autant de pouces surtout sans explication.
Il n’y a pas de paradoxe quand on a que des suppositions
Compliqué pour les athées de nos jours
Quel est le rapport avec l'anecdote ?
Ça s’appelle le militantisme de cerveau lavé, tout est interprété selon un seul dogme, le réchauffement climatique est négatif, peu importe le contexte scientifique ou même la période énoncée.
Le rapport est pourtant simple, c’est que plus la science avance, plus elle met en lumière des mystères qui échappent à l’entendement humain. Même les plus grands savants admettent que certaines choses restent inexplicables, au point que beaucoup commencent à envisager l’existence d’une force supérieure. Pour moi, ces paradoxes, comme celui du jeune soleil, ne sont pas de simples anomalies : ils montrent les limites de notre rationalité et confirment l’idée qu’une sagesse divine guide l’univers.
Cite-moi des "grands savants" qui commence à envisager l'existence d'une force supérieur.
Ils (les scientifiques) abandonneraient leurs travaux car ils auraient trouvé l'explication à tout ? Noooon. Ils y voient plutôt un nouveau défi à relever. Et ils adorent ça les scientifiques. C'est la raison même de leur métier, de leur passion, de leur existence.
Je rejoins le commentaire de Schaegal. D'ailleurs on peut voir les choses d'un autre angle que le tien : une foule de choses qui étaient jadis expliquées par "l'intervention d'une volonté divine" le sont maintenant par la science.