Les complaintes criminelles eurent beaucoup de succès

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Les émissions sur les affaires criminelles ont le vent en poupe, mais le sujet n'est pas nouveau : à la fin du XIXe siècle, on se passionnait pour les complaintes criminelles. Ces textes chantés racontaient en détail des crimes souvent odieux, et furent à l'origine d'un engouement populaire pour les faits divers.


Commentaires préférés (3)

Au XIX ème siècle ( fin ) on écrivait déjà des romans policiers , j'en ais lu quelques uns, c'est assez étrange de voir des criminels excusé parce qu'ils ont tué pour laver leur honneur , juste avant la guerre de 14 / 18 , l'assassin de Jaures à été acquitté et Mme cailleau qui a tué le directeur du journal le figaro a aussi été acquitté parce que cet homme avait rendue public des courriers de Mme à son amants , c'est choquant quand on réalise la complaisance de la justice de cette époque

Mention spéciale à la première source qui donne un lien pour retrouver les complaintes liées à des affaires près de chez nous (ou pas...) via une carte interactive.

Pour les fainéants, accès direct :
complaintes.criminocorpus.org/

Au XVIII et XIXème siècles, il n'y avait ni cinéma, ni télé, les gens, même avec des revenus modestes, allaient au théâtre
Il y avait un boulevard à Paris où plus d'une dizaines de salles étaient à touche-touche. La programmation de ces salles étaient à 95% la reconstitution de faits divers, plus sordides les uns que les autres. On l’avait surnommé "le boulevard du crime"...
fr.wikipedia.org/wiki/Boulevard_du_crime


Tous les commentaires (8)

Au XIX ème siècle ( fin ) on écrivait déjà des romans policiers , j'en ais lu quelques uns, c'est assez étrange de voir des criminels excusé parce qu'ils ont tué pour laver leur honneur , juste avant la guerre de 14 / 18 , l'assassin de Jaures à été acquitté et Mme cailleau qui a tué le directeur du journal le figaro a aussi été acquitté parce que cet homme avait rendue public des courriers de Mme à son amants , c'est choquant quand on réalise la complaisance de la justice de cette époque

Mention spéciale à la première source qui donne un lien pour retrouver les complaintes liées à des affaires près de chez nous (ou pas...) via une carte interactive.

Pour les fainéants, accès direct :
complaintes.criminocorpus.org/

Au XVIII et XIXème siècles, il n'y avait ni cinéma, ni télé, les gens, même avec des revenus modestes, allaient au théâtre
Il y avait un boulevard à Paris où plus d'une dizaines de salles étaient à touche-touche. La programmation de ces salles étaient à 95% la reconstitution de faits divers, plus sordides les uns que les autres. On l’avait surnommé "le boulevard du crime"...
fr.wikipedia.org/wiki/Boulevard_du_crime

a écrit : Au XIX ème siècle ( fin ) on écrivait déjà des romans policiers , j'en ais lu quelques uns, c'est assez étrange de voir des criminels excusé parce qu'ils ont tué pour laver leur honneur , juste avant la guerre de 14 / 18 , l'assassin de Jaures à été acquitté et Mme cailleau qui a tué le directeur du journal le figaro a aussi été acquitté parce que cet homme avait rendue public des courriers de Mme à son amants , c'est choquant quand on réalise la complaisance de la justice de cette époque Afficher tout pas forcément....non....l honneur a deserte nos contrées....et je pense qu il est bien plus gênant d excuser totalement les méfaits liés au mensonge, la manipulation...comme...des actes parfaitement légaux et acceptables. On peut faire énormément souffrir un tiers par abus de confiance....et c est devenu nullement reprimandable....ni publiquement....ni juridiquement.....Tout n est qu une question de referentiel. Et ces valeurs de société ont tout autant de sens que les actuelles....en fait plus peut être.

a écrit : Au XVIII et XIXème siècles, il n'y avait ni cinéma, ni télé, les gens, même avec des revenus modestes, allaient au théâtre
Il y avait un boulevard à Paris où plus d'une dizaines de salles étaient à touche-touche. La programmation de ces salles étaient à 95% la reconstitution de faits divers, plus sordi
des les uns que les autres. On l’avait surnommé "le boulevard du crime"...
fr.wikipedia.org/wiki/Boulevard_du_crime
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L'anecdote m'a fait penser à cela en effet. Pour ceux qui ont la flemme d'ouvrir le lien, il s'agit du boulevard du Temple, proche de République, dans un quartier où il y a toujours aujourd'hui beaucoup de salles de théâtre.

a écrit : Au XIX ème siècle ( fin ) on écrivait déjà des romans policiers , j'en ais lu quelques uns, c'est assez étrange de voir des criminels excusé parce qu'ils ont tué pour laver leur honneur , juste avant la guerre de 14 / 18 , l'assassin de Jaures à été acquitté et Mme cailleau qui a tué le directeur du journal le figaro a aussi été acquitté parce que cet homme avait rendue public des courriers de Mme à son amants , c'est choquant quand on réalise la complaisance de la justice de cette époque Afficher tout Au contraire. Je trouve choquant qu'on envoie en taule pour plusieurs années malgré les circonstances. Un détraqué qui abuse et tue un gamin, si le père le tue ce serait normal que la justice soit complaisante.

a écrit : Au contraire. Je trouve choquant qu'on envoie en taule pour plusieurs années malgré les circonstances. Un détraqué qui abuse et tue un gamin, si le père le tue ce serait normal que la justice soit complaisante. Dans ces cas précis is ne s'agissait pas de détraqués mais on comprend le principe.


Maintenant dans la plupart des sociétés modernes et notamment en France. On ne peut pas se faire justice soit même, même s'il n'y a pas de justice.