Marie-Antoinette s'excusa auprès de son bourreau de lui avoir marché sur les pieds

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"Monsieur, je vous demande pardon, je ne l'ai point fait exprès" furent selon les récits de l'époque les derniers mots de Marie-Antoinette avant d'être guillotinée le 16 octobre 1793. En effet, ses ultimes paroles ne furent pas destinées au peuple, mais à Charles-Henri Sanson, son bourreau, sur le pied duquel elle venait de marcher.


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a écrit : Au contraire, c'est une preuve d'humilité. Et puis demander pardon au type qui derrière te guillotine c'est... Très particulier comme réaction. Oui faut croire qu'elle avait perdu la tête.

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android

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a écrit : Ce que je veux dire c est qu elle préfère dire pardon à son bourreau pour sa vie que dire pardon à son peuple. Ça ne veut rien dire, si on se situe dans le contexte et n'a rien fait de mal au peuple et n'a pas à s'excuser.

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android

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a écrit : Pardon a son peuple pour quoi ??

C'est drôle comme le type d'éducation que tu reçois influe grandement la vision de l'histoire. Je pense que tu as fait toute ta scolarité dans une école publique (laïque et républicaine, tout ça...)

Le 14 juillet est clairement une grande honte n
ationale. Sans être (du tout!) royaliste, c'est une fête a la gloire de la haine, le vol, le pillage, le communisme Afficher tout
Et tu oses parler d’influence?.?.?.

B’lnbn’b b.


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