Un officier français décoré par l'Armée rouge

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En 1945, Henry Fournier-Foch, un officier français (petit-fils du maréchal Foch), s'évada d'un Oflag en Pologne et rencontra l'armée rouge. Bien qu'il ne parlait pas russe et n'était pas communiste, il gagna la confiance de l'état-major grâce à son talent stratégique et fut décoré deux fois de la plus haute distinction militaire soviétique, le drapeau rouge, et promu lieutenant-colonel de l'armée russe.


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a écrit : Elle maîtrisa très vite le russe aussi !
Et je pense qu'elle parlait allemand aussi (vu qu'elle était allemande)
Elle était allemande et était très pote avec Diderot et d autres savant et philosophes français donc savait probablement maitriser ces deux langues ainsi que sa langue au sens propre car elle avait une collection d amants :-)

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a écrit : Les meilleurs officiers de l armee rouge furent toutefois exécutés lors des grandes purges (qui durèrent plus qu une année ) . En grande partie du fait que Staline (très paranoïaque) s en mefiait . Ça explique en grand partie la passivité de la Russie lors de l invasion allemande (qui fut même préparée en territoire soviétique !) Afficher tout En effet les meilleurs théoriciens ont été exécutés (comme Svetchine) ce qui a privé l'Armée rouge de nombreux éléments aptes à la réorganiser. D'excellents tacticiens y sont également passés et cela s'est beaucoup fait sentir durant la Guerre d'Hiver. Attention à ne pas généraliser (même si je trouve tes commentaires très intéressants) : les Allemands ont principalement et surtout entraîné leur tankistes en URSS. Les autres troupes ont été formées en Allemagne. Quand à l'attitude de l'armée soviétique au début de l'opération barbarossa, je ne la qualifierais pas de passive. De violents combats ont eu lieu comme à Brest-Litovsk. De plus, de grands tacticiens comme Vlassov (ensuite passé du côté allemand) se sont ardemment battus. Ce que tu prends pour de la passivité est plus une incompétence de la part des chefs d'armée (ex : Boudienny) couplée à la surprise de la rapidité de l'avance allemande. Néanmoins, en regardant de plus près, les soviétiques ont parfois bien combattu alors qu'ils étaient proportionnellement beaucoup moins bien équipés.

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Ce serait effectivement sympa de corriger la faute d'orthographe dans l'anecdote

Ça me fera toujours marrer ces histoires de soldats tombés au plus bas et qui arrivent à faire d'une badassness à toute épreuve dans les plus grands moments de l'histoire (Je pense au britannique qui a été blessé un nombre incalculable de fois pendant la 1ère GM et qui persiste à dire que c'était le meilleur moment de sa vie (blessures et maintes autres péripéties).