Plus de 17 000 objets flottent au-dessus de nos têtes

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Depuis 1957 et le lancement du premier Spoutnik, environ 41 000 objets volants de plus de 10 cm ont été lancés dans l'espace. Parmi ceux-ci, 1 100 sont encore actifs sur les 17 600 catalogués encore en orbite, dont la masse totale est évaluée à 7000 tonnes. Les non actifs posent des problèmes car ils peuvent rentrer en collision avec les actifs et les endommager gravement.


Tous les commentaires (68)

a écrit : T'es sérieux là ?
En étant optimiste, disons qu'on arrive stoker dans une seule fusée la quantité de déchets produite par une famille pendant un an, tu imagines le coût ?
Je suppose qu'il voulait parler des déchets les plus dangereux, à savoir les déchets directs de combustion du carburant nucléaire, et cela ne représente que quelques grammes pour une famille pendant un an (comme dans la vieille pub Areva des années 90) et pour ceux là c'est financièrement envisageable, mais comme dit dans un comm plus haut, le risque d'explosion des fusées qui est d'environ 2% pour les engins les plus fiables rends cette opération... comment dire... parfaitement irresponsable ^^

a écrit : Pour certains, ils SERAIENT déjà venu... A moins que t'es une preuve irréfutable de ce que t'avances! Ben non, certains en sont absolument persuadés et y croient dur comme fer et emploient "Sont" de manière tout à fait appropriée, et c'est la que ça coince car ils voient des preuves de leur passage partout, dans les pyramides, dans des cailloux fondus, dans nos gènes... ^^

a écrit : Je suis d'accord avec toi, m'enfin il nous faudra encore un bon millénaire avant de couvrir toute la Terre, les proportions citées dans l'anecdote sont juste infimes en comparaison avec notre Mère Planète. Il faut espérer, et c'est en bonne voie avec les avancées sur les programmes spatiaux, comme Orion, que d'ici là nous pourrons aller au delà de l'orbite terrestre. Afficher tout Le problème n'est pas de couvrir toute la terre avec ces bouts de ferraille abandonnés, c'est de se retrouver avec tant de petits objets de la taille d'un citron lancés à 10 kilomètres secondes tournant dans tous les sens autour de la terre qu'il deviendra, si on continue comme nous le faisons actuellement, impossible d'aller dans l'espace sans avoir 100% de chances de s'en manger un, et un citron lancé à cette vitesse, aucun engin spatial actuel n'y résisterait, alors un citron en métal... c'est à peu près aussi dangereux qu'un obus antichar.

a écrit : Oui ces objets retomberons forcément un jour mais c'est assez compliqué en fait.
Il faut comprendre que la mise en orbite est en fait le point d'équilibre entre l'attraction terrestre qui attire le sattelite et la vitesse du sattelite qui aurais tendance à l'expulser dans l'espace par la
force centrifuge.
Plus un satellite est pret (ISS par exemple) plus il auras tendance à ralentir avec le frottement de l'atmosphère et plus il faut le surveiller qu'il ne derive pas. A l'inverse les sattelites geostationnaire (36000km) sont assez peu perturbé par l'atmosphère et donc moins capricieux dans leurs trajectoires et reste plus lontemps là haut.
En espérant avoir repondu sans raconter d'enormité ☺.
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A préciser que les objets en orbite géostationnaires mettront des millions d'années pour retomber, mais ils retomberont un jour, c'est certain.

Pour l'anecdote, les satellites modernes sont soit volontairement désorbités si cela est possible, soit, comme précisé plus haut, placés sur des orbites "poubelles" quand il est technologiquement impossible de les ramener près de la terre faute de carburant quant ils sont trop loin.
Ce n'est pas une solution viable à long terme, mais cela limite la casse le temps que l'on trouve une autre solution, comme des satellites-éboueurs qui attireraient à eux les petits déchets par électromagnétisme où par simple gravité et se désorbiteraient une fois presque à court de carburant, mais eux-même risquent d'être pulvérisés par ces déchets et risque d'aggraver encore plus la situation.
Pour le moment, on ne sait pas nettoyer l'espace des objets dont on ne peut contrôler la trajectoire depuis le sol, le projet le plus réaliste est de leur tirer dessus à coup de laser depuis la terre, non pas pour les faire exploser, mais pour les transformer en vapeur petit à petit, un genre de désintégration moléculaire (oui, les métaux peuvent devenir vapeur à très très haute température), les gaz et fines poussières deviendraient ainsi parfaitement gérables pour les futurs engins, mais les laser actuels ne sont pas encore assez puissants et précis; mais y'a de l'idée.

a écrit : Si on passe outre nos defauts, a tu vu les progrès de l'humanité juste en l'espace de 100ans à partir d'aujourd'hui ? Ceux ci sont énormes d'autant plus que sur l'echelle de temps cosmique c'est comme si on avais fait tout ça en quelques microsecondes..
On sait quand même mainte
nant remonter historiquement jusqu'a la création de notre univers, galaxie et planète ainsi que comprendre une bonne partie de ce qui se tramme dans l'espace et tout ça grâce aux mathématiques , à la physique et à l'observation. Excuse moi mais je trouve que c'est quand même dingue!
Alors oui toutes cette intelligence ne s'est pas acquise sans boulettes mais dire qu'on est con, ça je ne peut pas l'entendre...
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Encore faut-il se mettre d'accord sur l'existence de ce "progrès".

Personnellement je crois qu'il n'existe pas. C'est ce qu'on observe en tout cas, ou plutôt interprète, chez les humains que nous sommes : il y a du "bon" comme l'art ou la science, mais aussi du "mauvais" comme la destruction de l'environnement et de ses espèces. Aussi, même si l'on considère les avancées technologiques comme du progrès, il n'en reste pas moins que ces mêmes "avancées" (c'est un mot à prendre avec des pincettes) font énormément de mal, surement autant aux hommes qu'aux autres êtres vivants. Donc elles demeurent neutres, et il n'y a pas de progrès là-dedans.
En outre, le progrès est une notion colonialiste : on peut évoquer la hiérarchisation établie entre les blancs et les noirs suite à la découverte des Amériques et l'esclavagisme que cela a engendré, tout ça parce que les blancs ont cru en leur "progrès". Je ne parle là que des exploitations humaines, mais cela va évidemment plus loin car, l'anthropocentrisme étant contenu dans la notion de "progrès" (ou du moins un certain ethnocentrisme) et les animaux étant arbitrairement considérés comme privés de progrès, il s'ensuit les pires exploitations animales. Lointaine est l'époque où les Hommes étaient respectueux envers leurs cousins les animaux, les végétaux, ou même les autres Hommes. En plus d'être une notion colonialiste, c'est une notion capitaliste : tout outil considéré comme plus efficace, performant et surtout plus rapide a vite fait d'être vu comme "avancé" par rapport à un autre plus "archaïque" donc ; du coup on oublie au moins aussi rapidement d'évaluer ses autres facettes : respecte-t-il l'environnement ? Est-il moral de l'utiliser ? Et cetera.
C'est pour ces raisons que je préfère appeler ce qu'on appelle "progrès", "évolution culturelle", expression éminemment plus modeste inspirée du paléoanthropologue Pascal Picq dans son livre Les origines de l'Homme : L'odyssée de l'espèce.

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a écrit : Ben non, certains en sont absolument persuadés et y croient dur comme fer et emploient "Sont" de manière tout à fait appropriée, et c'est la que ça coince car ils voient des preuves de leur passage partout, dans les pyramides, dans des cailloux fondus, dans nos gènes... ^^ En relisant la phrase à laquelle j'ai répondu, je viens de m'apercevoir que j'avais mal compris le sens de celle-ci, au temps pour moi ☺

a écrit : Encore faut-il se mettre d'accord sur l'existence de ce "progrès".

Personnellement je crois qu'il n'existe pas. C'est ce qu'on observe en tout cas, ou plutôt interprète, chez les humains que nous sommes : il y a du "bon" comme l'art ou la science, mais
aussi du "mauvais" comme la destruction de l'environnement et de ses espèces. Aussi, même si l'on considère les avancées technologiques comme du progrès, il n'en reste pas moins que ces mêmes "avancées" (c'est un mot à prendre avec des pincettes) font énormément de mal, surement autant aux hommes qu'aux autres êtres vivants. Donc elles demeurent neutres, et il n'y a pas de progrès là-dedans.
En outre, le progrès est une notion colonialiste : on peut évoquer la hiérarchisation établie entre les blancs et les noirs suite à la découverte des Amériques et l'esclavagisme que cela a engendré, tout ça parce que les blancs ont cru en leur "progrès". Je ne parle là que des exploitations humaines, mais cela va évidemment plus loin car, l'anthropocentrisme étant contenu dans la notion de "progrès" (ou du moins un certain ethnocentrisme) et les animaux étant arbitrairement considérés comme privés de progrès, il s'ensuit les pires exploitations animales. Lointaine est l'époque où les Hommes étaient respectueux envers leurs cousins les animaux, les végétaux, ou même les autres Hommes. En plus d'être une notion colonialiste, c'est une notion capitaliste : tout outil considéré comme plus efficace, performant et surtout plus rapide a vite fait d'être vu comme "avancé" par rapport à un autre plus "archaïque" donc ; du coup on oublie au moins aussi rapidement d'évaluer ses autres facettes : respecte-t-il l'environnement ? Est-il moral de l'utiliser ? Et cetera.
C'est pour ces raisons que je préfère appeler ce qu'on appelle "progrès", "évolution culturelle", expression éminemment plus modeste inspirée du paléoanthropologue Pascal Picq dans son livre Les origines de l'Homme : L'odyssée de l'espèce.
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Mais, (je vais être chiant pour le plaisir, toutes mes excuses par avance) l'évolution culturelle peut aussi être dénaturée. Par exemple, si demain on continue à accepter le fait que la souffrance animale doit être combattue, mais que dans le même temps on ferme les frontières pour éviter que les gens fuyant les pays en guerre où victimes d'épidémies viennent prendre de la place chez nous alors qu'il en manque, peut on parler d'évolution culturelle où de régression culturelle?

Quoi? C'est déjà comme ça? Eh ben on est pas sortis du sable!

Tu vois, le sujet est compliqué. Le progrès, c'est progresser, mais progresser dans quel sens? La est la question idéologique, culturelle, technologique et anthropologique. Bref, l'humanité, c'est le bordel ;)

Quand je décolle au septième ciel c'est un objet de moins de 10cm qui rejoint les étoiles ...

a écrit : Le problème de cette idée c'est: que ferions nous si une fusée pleine de déchets radioactifs (ou pas) explosait au décollage? Ou dans l'atmosphère. Là où ce serait encore plus dangereux...

Et pour les prévisions de demain : nous aurons un ciel dégagé mais n'oubliez pas vos parapluies car les restes de Soyouz sont attendus dans le sud...

a écrit : Mais, (je vais être chiant pour le plaisir, toutes mes excuses par avance) l'évolution culturelle peut aussi être dénaturée. Par exemple, si demain on continue à accepter le fait que la souffrance animale doit être combattue, mais que dans le même temps on ferme les frontières pour éviter que les gens fuyant les pays en guerre où victimes d'épidémies viennent prendre de la place chez nous alors qu'il en manque, peut on parler d'évolution culturelle où de régression culturelle?

Quoi? C'est déjà comme ça? Eh ben on est pas sortis du sable!

Tu vois, le sujet est compliqué. Le progrès, c'est progresser, mais progresser dans quel sens? La est la question idéologique, culturelle, technologique et anthropologique. Bref, l'humanité, c'est le bordel ;)
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Tout est relatif. Même ma critique : Tout ce que je viens d'évoquer n'a de sens que si l'on considère le bien et le mal comme universels, ce qui n'est pas le cas. Ces notions nous ont été transmises par nos ascendants et ne font sens que dans notre propre culture, la culture occidentale. C'est d'autant plus juste, que d'autres cultures font également la distinction entre bien et mal mais en ont une vision différente (ex : sacrifices humains). Ce nonobstant, on observe que les morales, aussi nombreuses soient-elles, veulent toujours établir un bien-être et réduire le mal-être, même dans le cas où elle n'y arrivent pas. J'ai dit plus tôt que bien et mal sont des notions subjectives et arbitraires, mais le bien-être et le mal-être (celui des peuples, des êtres vivants en général) n'en sont pas : si quelqu'un se sent bien, il se sent bien ! Nous faisons donc cela : associer le bien-être au bien et le mal-être au mal, ce qui n'est pas une "mauvaise" chose en fin de compte... je veux dire : tant mieux pour tout le monde quand même ! Malgré tout, il n'y a pas lieu d'en rajouter et d'établir une sorte d'anthropocentrisme, même pas un anthropocentrisme modéré qui considère les animaux de manière respectueuse.

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a écrit : Encore faut-il se mettre d'accord sur l'existence de ce "progrès".

Personnellement je crois qu'il n'existe pas. C'est ce qu'on observe en tout cas, ou plutôt interprète, chez les humains que nous sommes : il y a du "bon" comme l'art ou la science, mais
aussi du "mauvais" comme la destruction de l'environnement et de ses espèces. Aussi, même si l'on considère les avancées technologiques comme du progrès, il n'en reste pas moins que ces mêmes "avancées" (c'est un mot à prendre avec des pincettes) font énormément de mal, surement autant aux hommes qu'aux autres êtres vivants. Donc elles demeurent neutres, et il n'y a pas de progrès là-dedans.
En outre, le progrès est une notion colonialiste : on peut évoquer la hiérarchisation établie entre les blancs et les noirs suite à la découverte des Amériques et l'esclavagisme que cela a engendré, tout ça parce que les blancs ont cru en leur "progrès". Je ne parle là que des exploitations humaines, mais cela va évidemment plus loin car, l'anthropocentrisme étant contenu dans la notion de "progrès" (ou du moins un certain ethnocentrisme) et les animaux étant arbitrairement considérés comme privés de progrès, il s'ensuit les pires exploitations animales. Lointaine est l'époque où les Hommes étaient respectueux envers leurs cousins les animaux, les végétaux, ou même les autres Hommes. En plus d'être une notion colonialiste, c'est une notion capitaliste : tout outil considéré comme plus efficace, performant et surtout plus rapide a vite fait d'être vu comme "avancé" par rapport à un autre plus "archaïque" donc ; du coup on oublie au moins aussi rapidement d'évaluer ses autres facettes : respecte-t-il l'environnement ? Est-il moral de l'utiliser ? Et cetera.
C'est pour ces raisons que je préfère appeler ce qu'on appelle "progrès", "évolution culturelle", expression éminemment plus modeste inspirée du paléoanthropologue Pascal Picq dans son livre Les origines de l'Homme : L'odyssée de l'espèce.
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Effectivement ta reponse au progres est intéressante mais sort un peu du cadre de l'anectode ou je parlais du progrès qui nous a permis d'obtenir toutes ces connaissances donc le progrès scientifique, après les notions géopolitiques et la definition phylosopique de celle ci m'interresse moins et je ne suis pas aussi qualifié à en converser.
Je veux juste remettre dans le contexte le progres de l'espece humaine vis à vis des autres especes terrestre, l'evolution est considerable par rapport à l'échelle de temps tres courte de notre apparition.
Apres si on veut parler de l'anthropocentrisme j'ai envie de dire que c'est la loi de la nature chaque espece est égoïste egalement et ne pense qu'à sa survie sans se soucier de ses actes, nous ne sommes pas differents. Ensuite la différence réside quand même dans le fait que nous en soyons conscient et que nos actes, etant donné l'expansion de l'humain, sont bien plus destructeur que la bestioles pris à parti seule.
Et donc pour conclure je trouve quand même impressionnant les 'progrès' de la race humaine pour en arriver à savoir tt ce qu'on sait aujourd'hui sur le domaine spacial sachant que toutes les espèces terrestre à la base sont parties à égalité au tout début.

a écrit : Effectivement ta reponse au progres est intéressante mais sort un peu du cadre de l'anectode ou je parlais du progrès qui nous a permis d'obtenir toutes ces connaissances donc le progrès scientifique, après les notions géopolitiques et la definition phylosopique de celle ci m'interresse moins et je ne suis pas aussi qualifié à en converser.
Je veux juste remettre dans le contexte le progres de l'espece humaine vis à vis des autres especes terrestre, l'evolution est considerable par rapport à l'échelle de temps tres courte de notre apparition.
Apres si on veut parler de l'anthropocentrisme j'ai envie de dire que c'est la loi de la nature chaque espece est égoïste egalement et ne pense qu'à sa survie sans se soucier de ses actes, nous ne sommes pas differents. Ensuite la différence réside quand même dans le fait que nous en soyons conscient et que nos actes, etant donné l'expansion de l'humain, sont bien plus destructeur que la bestioles pris à parti seule.
Et donc pour conclure je trouve quand même impressionnant les 'progrès' de la race humaine pour en arriver à savoir tt ce qu'on sait aujourd'hui sur le domaine spacial sachant que toutes les espèces terrestre à la base sont parties à égalité au tout début.
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Qui es-tu pour parler à la place des animaux et pour émettre ce qu'ils ressentent ?

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a écrit : Qui es-tu pour parler à la place des animaux et pour émettre ce qu'ils ressentent ? Et toi qui est tu pour affirmer croire que le progrès n'existe pas, au nom de qui parle tu? De l' humanité ?

a écrit : Et toi qui est tu pour affirmer croire que le progrès n'existe pas, au nom de qui parle tu? De l' humanité ? Je parle en mon nom, mon avis ne concerne que moi, mais la cause que je défends est plus vaste : c'est la nature. Ce que je dis c'est que nous nepouvons pas savoir si les animaux sont aussi égoïstes que nous.

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a écrit : Pour certains, ils SERAIENT déjà venu... A moins que t'es une preuve irréfutable de ce que t'avances! À moins que tu AIES ....

a écrit : question sûrement bête mais si quelqu'un veux bien me répondre sans hurler de rire.
est il possible qu un jour c est objets retombent sur terre comme des météorites ?
C'est même sur car une orbite n'et jamais indéfinie; un objet peu s'éloigner à la longue (comme la lune, de quelques millimètres par ans, mesuré au laser) s'il est sur une orbite "haute" alors qu'un satellite en orbite basse subit bien plus l'attraction de la Terre et de ce fait s'en rapprochera inexorablement jusqu'à faire sa rentrée dans l'atmosphère si son orbite n'est plus corrigée (fin de vie /manque de carburant) . Cela peut prendre énormément de temps pour certains objets mais tout finira par retomber. Les débris se consumeront quasiment en intégralité dans l'atmosphère à l'exception peut etre de certains éléments de moteur en céramique/carbone et un peu plus problématique: les générateurs électriques à radio-isotopes (sortes de mini réacteurs nucléaires fournissant l'électricité pendant des années). C'est déjà arrivé qu'il y en ai qui retombent quasiment intact, posant quelques problèmes "écologiques" sur la zone d'impact (info facilement trouvable sur google)

a écrit : À moins que tu AIES .... Ça arrive de se planter, tu vas pas me chi** une pendule...

Le problème éventuel s'appelle le syndrome de Kessler, et prédit que si un débris suffisamment gros se désintègre à la suite d'une collision, la réaction en chaîne qui suivrait pourrait provoquer un nuage de débris rapides en orbite basse ; et ainsi nous empêcher de quitter l'atmosphère terrestre pendant très longtemps, le temps que tous les débris retombent.

En effet en orbite basse terrestre les objets sont tout doucement freinés par les couches supérieures de l'atmosphère et finissent par retomber. Plus haut (orbite géostationaire par exemple), les collisions ont une bien plus petite chance de se produire.