Un général vendéen commanda sa propre exécution

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François Athanase Charette fut un général de l’armée vendéenne pendant la Révolution française. Capturé en 1796, il fut fusillé le 29 mars 1796 en dirigeant lui-même le peloton d’exécution. Il refusa qu’on lui bande les yeux et ordonna aux soldats de tirer droit au coeur lorsqu'il baisserait la tête.


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@Theoetjb
Tu parle de "répression inimaginable de la part de la France"... mais que je sache, la Vendée était alors, aussi la France.
C'est plus la répression des Républicains, contre les royaliste.
Dans l'historie de France, et de la Révolution de 1789, c'est une part importante et non négligeable. Et les morts et atrocités y ont été, certes, inimaginable.
Mais les "deux camps" (s'il n'y en a eu que deux) étaient Français.
Par ailleurs, tu semble mettre Charette du coté des Républicans. J'imagine que cela doit-être une erreur de syntaxe.

a écrit : La guerre de Vendée, c'est avant tout une guerre civile du XVIIIème siècle. Et par conséquent elle doit être traité comme telle. Les exactions ne sont pas surprenantes et en Vendée elles ne sont pas forcément pires qu'ailleurs dans les autres régions révoltés (comme à Lyon par exemple). Or, personne ne parle de génocides breton, lyonnais, corse ou même d'un hypothétique génocide provincial.
Ce qu'il s'est passé en bref, c'est que la Convention à envoyé des types comme Carrier gérer les révoltes en leur donnant quasi tous les droits, mais à aucun moment des instructions disant de tuer tous les vendéens. D'ailleurs cette absence de directives précises se voit dans le détail de la répression : selon les périodes, selon les généraux et selon les unités, elle est plus ou moins violente. Les colonnes ne sont donc que "relativement" infernales. À l'inverse, il faut préciser que Carrier prend parfois des initiatives impitoyables, comme lorsqu'il décide de noyer tous les prisonniers dans la Loire.
Après tout ça, le vent tourne à Paris. Robespierre et Danton sont guillotinés, Carrier suit quelques temps plus tard. Pour s'en débarasser, on lui reproche sa répression hyperviolente en Vendée. Les éléments montés contre lui sont d'ailleurs utilisés comme "preuves" du génocide, alors que c'est juste un bricolage pour le faire condamner à mort.

La thèse du génocide vendéen date des années 80 et on remarque qu'elle est souvent prise avec des pincettes par la plupart des historiens spécialisés dans la Révolution. À l'inverse elle est souvent soutenu par des milieux profanes mais qui y voit plutôt un intérêt politique, parmi lesquelles on peut citer une partie de l'extrême droite, les catholiques intégristes, les royalistes et les anti-républicains en général, et enfin bien sur une partie des vendéens.

Mais alors la même question revient : pourquoi on ne parle pas de génocide dans les autres régions ou la révolte a été féroce ? Là je tente une réponse. Contrairement aux autres régions, la Vendée se révolte encore plusieurs fois sous la République, puis l'Empire, et même pendant le règne de Louis-Philippe, 40 ans après la Révolution. J'imagine que la répression est donc bien resté dans la mémoire collective vendéenne, alors qu'elle a disparu des autres ; ça expliquerait pourquoi les vendéens sont aussi réceptifs à cette histoire de génocide.
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Bonjour,
Il me semble que tu omets un détail assez important: la révolte vendéenne est en très grosse partie royaliste, ce que la nouvelle république vient alors d'achever, ils sont donc, avec une vision manichéenne, le mal, il faut les éradiquer.
Je t'invite aussi à lire la page wiki fr.m.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cret_relatif_aux_mesures_%C3%A0_prendre_contre_les_rebelles_de_Vend%C3%A9e il est dit qu'uniquement femme enfants et vieillards seront épargnés, ils appellent à la destruction complète, qui passe par le territoire (forêts, champs....) etc

Après je fais peut-être de l'interprétation vu que je suis vendéen, même si j'essaye d'éviter tout à priori

a écrit : @Theoetjb
Tu parle de "répression inimaginable de la part de la France"... mais que je sache, la Vendée était alors, aussi la France.
C'est plus la répression des Républicains, contre les royaliste.
Dans l'historie de France, et de la Révolution de 1789, c'est une part impo
rtante et non négligeable. Et les morts et atrocités y ont été, certes, inimaginable.
Mais les "deux camps" (s'il n'y en a eu que deux) étaient Français.
Par ailleurs, tu semble mettre Charette du coté des Républicans. J'imagine que cela doit-être une erreur de syntaxe.
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Effectivement j'ai mentionné Charette à la place de Carrier et je ne m'en suis pas rendu compte.

Sinon mon commentaire n'avait pas un but historique. Il y avait évidemment plus que 2 camps. D'autant plus que la (géo)politique s'est liée à la guerre civile avec le rattachement anglais au côté des vendéens et les différents jeux de pouvoirs qui s'y sont mêlées.

Cette période de l'histoire est compliqué et mon commentaire n'avait qu'un rôle de mémoire. Si les intéressé(e)s souhaitent en savoir plus il y a la page Wikipedia qui détaillent tout très bien et des commentaires précédents celui-ci sont aussi complémentaires et bien plus complets historiquement parlant que le mien.

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a écrit : Chouan ne signifie pas silencieux mais vient de chat-huant, l'oiseau dont les insurgés imitaient le cri pour se repérer entre eux dans le bocage... Pariah n'a peut-être pas tout à fait tort... Le grand père de Jean Cottereau (leader de l'insurrection) se faisait déjà appeller "le Chouan" pour "le taciturne" (donc deux générations avant l'insurrection). Et Jean Cottereau était "Jean le chouan" car ce surnom était resté dans la famille. C'est comme ça qu'est née la "chouannerie".
Alors c'est vrai aussi qu'ils étaient contrebandiers de sel de père en fils et qu'ils communiquaient et se prévenaient des dangers en imitant le cri de de la chouette hulotte (appellée "chouan"). Mais il semblerait que ce soit au départ pour "le taciturne" (d'où j'imagine "le silencieux" de Pariah)... Maintenant, la relation entre chouan et taciturne, je n'en sais rien.

Merci pour cette anecdote au sujet du soulèvement vendéen et de tout ce côté sombre de la république dont on ne parle malheureusement jamais et qui n'est plus enseigné à l'école....républicaine.

a écrit : La guerre de Vendée, c'est avant tout une guerre civile du XVIIIème siècle. Et par conséquent elle doit être traité comme telle. Les exactions ne sont pas surprenantes et en Vendée elles ne sont pas forcément pires qu'ailleurs dans les autres régions révoltés (comme à Lyon par exemple). Or, personne ne parle de génocides breton, lyonnais, corse ou même d'un hypothétique génocide provincial.
Ce qu'il s'est passé en bref, c'est que la Convention à envoyé des types comme Carrier gérer les révoltes en leur donnant quasi tous les droits, mais à aucun moment des instructions disant de tuer tous les vendéens. D'ailleurs cette absence de directives précises se voit dans le détail de la répression : selon les périodes, selon les généraux et selon les unités, elle est plus ou moins violente. Les colonnes ne sont donc que "relativement" infernales. À l'inverse, il faut préciser que Carrier prend parfois des initiatives impitoyables, comme lorsqu'il décide de noyer tous les prisonniers dans la Loire.
Après tout ça, le vent tourne à Paris. Robespierre et Danton sont guillotinés, Carrier suit quelques temps plus tard. Pour s'en débarasser, on lui reproche sa répression hyperviolente en Vendée. Les éléments montés contre lui sont d'ailleurs utilisés comme "preuves" du génocide, alors que c'est juste un bricolage pour le faire condamner à mort.

La thèse du génocide vendéen date des années 80 et on remarque qu'elle est souvent prise avec des pincettes par la plupart des historiens spécialisés dans la Révolution. À l'inverse elle est souvent soutenu par des milieux profanes mais qui y voit plutôt un intérêt politique, parmi lesquelles on peut citer une partie de l'extrême droite, les catholiques intégristes, les royalistes et les anti-républicains en général, et enfin bien sur une partie des vendéens.

Mais alors la même question revient : pourquoi on ne parle pas de génocide dans les autres régions ou la révolte a été féroce ? Là je tente une réponse. Contrairement aux autres régions, la Vendée se révolte encore plusieurs fois sous la République, puis l'Empire, et même pendant le règne de Louis-Philippe, 40 ans après la Révolution. J'imagine que la répression est donc bien resté dans la mémoire collective vendéenne, alors qu'elle a disparu des autres ; ça expliquerait pourquoi les vendéens sont aussi réceptifs à cette histoire de génocide.
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Louis Marie Turreau aime votre commentaire

Il a trouvé le moyen de rentrer dans la postérité. Plus de deux siècles après on parle encore de lui alors s’il aurait pu mourir dans l’indifférence.

À noter que la Vendée historique est différente et bien plus large que le département actuel. Dans le petit village du Maine-et-Loire où j'ai grandi, plus de 80% de la population a été massacré, femmes et enfants ont été jetés dans un puits et seule une petite fille aurait réussi à s'en échapper.

Je vous conseille la trilogie L'enjomineur de Pierre Bordage (très grand auteur français de fantasy ) il faut aimer l'histoire notamment la période de la Révolution Française, la fantasy et ne pas avoir peur des passages difficiles (les exactions faites à cette époque et en Vendée sont décrites avec beaucoup de réalisme) .

a écrit : La guerre de Vendée, c'est avant tout une guerre civile du XVIIIème siècle. Et par conséquent elle doit être traité comme telle. Les exactions ne sont pas surprenantes et en Vendée elles ne sont pas forcément pires qu'ailleurs dans les autres régions révoltés (comme à Lyon par exemple). Or, personne ne parle de génocides breton, lyonnais, corse ou même d'un hypothétique génocide provincial.
Ce qu'il s'est passé en bref, c'est que la Convention à envoyé des types comme Carrier gérer les révoltes en leur donnant quasi tous les droits, mais à aucun moment des instructions disant de tuer tous les vendéens. D'ailleurs cette absence de directives précises se voit dans le détail de la répression : selon les périodes, selon les généraux et selon les unités, elle est plus ou moins violente. Les colonnes ne sont donc que "relativement" infernales. À l'inverse, il faut préciser que Carrier prend parfois des initiatives impitoyables, comme lorsqu'il décide de noyer tous les prisonniers dans la Loire.
Après tout ça, le vent tourne à Paris. Robespierre et Danton sont guillotinés, Carrier suit quelques temps plus tard. Pour s'en débarasser, on lui reproche sa répression hyperviolente en Vendée. Les éléments montés contre lui sont d'ailleurs utilisés comme "preuves" du génocide, alors que c'est juste un bricolage pour le faire condamner à mort.

La thèse du génocide vendéen date des années 80 et on remarque qu'elle est souvent prise avec des pincettes par la plupart des historiens spécialisés dans la Révolution. À l'inverse elle est souvent soutenu par des milieux profanes mais qui y voit plutôt un intérêt politique, parmi lesquelles on peut citer une partie de l'extrême droite, les catholiques intégristes, les royalistes et les anti-républicains en général, et enfin bien sur une partie des vendéens.

Mais alors la même question revient : pourquoi on ne parle pas de génocide dans les autres régions ou la révolte a été féroce ? Là je tente une réponse. Contrairement aux autres régions, la Vendée se révolte encore plusieurs fois sous la République, puis l'Empire, et même pendant le règne de Louis-Philippe, 40 ans après la Révolution. J'imagine que la répression est donc bien resté dans la mémoire collective vendéenne, alors qu'elle a disparu des autres ; ça expliquerait pourquoi les vendéens sont aussi réceptifs à cette histoire de génocide.
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Entièrement d'accord avec vous. D'ailleurs la notion de génocide concernant les répressions et les massacres en Vendée, n'est pas admise par les historiens, ou alors à quelques exceptions près seulement. Il faut faire attention aux mots et aux notions dont on fait référence.

a écrit : J'ai créé un compte spécialement pour te répondre : il y a eu des ordres officiels de la convention pour détruire la vendée, ayant notamment entraîné la constitution de colonnes infernales qui avaient pour seule mission de tout tuer et de tout détruire (yc femmes enfants bébés...). Il y a donc eu génocide car volonté de détruire un peuple bien défini, le peuple vendéen. Afficher tout Aucun fait établi, aucune trace, pas seulement dans les archives françaises, aucune trace dans celles de nos meilleurs ennemis, les anglais pas plus que chez nos voisins les prussiens, étonnant ! Tous les Vendéens n'étaient pas royalistes, aucune raison de vouloir tous les tuer. Un dernier petit rappel, les révolutionnaires ne se sont pas battus contre la noblesse ni contre le clergé mais contre leurs privilèges. Beaucoup de curés n'ayant aucun titre de noblesse ont adhéré aux idées révolutionnaires

a écrit : JLSD c'est d'ailleurs un excellent spectacle du Puy du Fou que je conseille vivement Le nom du spectacle est :le dernier panache. Et c'est d'une beauté tout autant que d'une tristesse qui vous tire une larme.

a écrit : Aucun fait établi, aucune trace, pas seulement dans les archives françaises, aucune trace dans celles de nos meilleurs ennemis, les anglais pas plus que chez nos voisins les prussiens, étonnant ! Tous les Vendéens n'étaient pas royalistes, aucune raison de vouloir tous les tuer. Un dernier petit rappel, les révolutionnaires ne se sont pas battus contre la noblesse ni contre le clergé mais contre leurs privilèges. Beaucoup de curés n'ayant aucun titre de noblesse ont adhéré aux idées révolutionnaires Afficher tout Pas d’archives ? Il y a même des lois ! Jacques Villemain (juriste de la cour internationale de justice) a d’ailleurs écrit un livre fort intéressant que je vous invite à lire ! De même que le « Vendée Vengée » de Reynald Secher.
Les vendéens se sont révoltés pour différentes raisons: refus de fournir des hommes pour l’appel des 300 000, refus que les prêtres soient assermentés par la république (donc non reconnus par le pape), fidélité au roi et au dauphin.

Le dernier panache... Magnifique...

a écrit : Guerre civile certes, cependant cela va plus loin quand il s’agit de brûler des hommes femmes et enfants, en utilisant pour cela les fours à pains des villages, violer les femmes, mais aussi détruire tous les édifices religieux et les profaner. Les forces en présence n’était pas égale ni en nombre ni en cruauté.
Vous citez les autres soulèvements, ils sont aujourd’hui moins évoqué c’est vrai mais la Vendée en est finalement l’ambassadrice car la violence était là à son paroxysme. Pour ce qui est des chouans ils ont aussi combattus parfois avec les vendéens et l’armée royale catholique.
Pour l’appellation de génocide, cela vient surtout du fait que ce terme n’existe que depuis les années 40. Mais de nombreuses personnes auparavant s’étaient déjà indignée du sort de la Vendée « vengée ».
Pour ce qui est de la récupération historique je ne peux qu’être d’accord avec vous. Cependant je pense que le débat et l’impossible réconciliation vient du fait que la vérité, soit le juste milieu entre une révolution française du peuple, libératrice et « blanche » de toute accusation et un génocide vendéen qui avait vu auparavant une alliance parfaite entre paysans et nobles, n’est pas enseignée à l’école et est ignorée par la majorité des français. Ainsi, si la reconnaissance du génocide est récupérée, sa négation l’est tout autant par les socialistes, communistes et premiers républicains, qui ne veulent pas reconnaître que la révolution française n’est pas aussi rose et innocente que ce qu’il n’y parait.i
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Pardon, mais génocide n'est pas synonyme de cruauté. Une guerre civile peut être le contexte d'actes effroyablement cruels, et ce n'est pas parce qu'on brûle des gens dans des fours qu'il y a génocide. Ce qui caractérise avant tout un génocide, c'est l'intention, la volonté d'extermination d'un peuple.

Une pièce de théâtre (un peu expérimental) a été créé au Puy du Fou, traitant de François Athanase, ça vaut le détour. « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais ! »

Quand les francais/parisiens étaient des hommes et pas les chochottes d’aujourd’hui qui ne savent même pas fixer un tableau sur un mur

a écrit : Quand les francais/parisiens étaient des hommes et pas les chochottes d’aujourd’hui qui ne savent même pas fixer un tableau sur un mur Aaah la belle mentalité d'écervelé ! Si tu as besoin de fixer un tableau au mur ou de tuer un chaton avec les dents pour exprimer ta virilité, la vie doit être terriblement difficile pour toi !

a écrit : L'anecdote nous permet de se souvenir du génocide Vendéen, grand oublié des manuels d'histoire.

Le général présenté faisait partie de l'insurrection vendéenne de la guerre de Vendée (1793-1796) opposant la région à l'Armée Française.

D'abord poussées par la Révolution
Française, la Vendée et certaines regions alentours se sont réellement rebélées suite à la décision de l'État d'enroler de force tous les jeunes de 18 à 25 ans, célibataire ou veufs.

Malheureusement, la guerre civile prend des proportions énormes et les régions rebelles, qui finissent par perdre en 1796, connaissent une répression inimaginable de la part de la France (et notamment de Charette, chargé de rétablir l'ordre en Vendée).

On observe des déportations de prisonniers (de tout type et de tout âge), une famine volontaire, délation, torture, tribunaux militaires dont la seule issue était la guillotine, exécutions arbitraires par milliers, noyades de groupes, maladies (typhus,... ) dans des villages ou des prisons qui ont "obligé" l'Armée à tuer tout le monde, les bûchers, etc etc.

Le bilan ? 50.000 morts en Vendée, autant en Maine et Loire, autant en Loire-Atlantique et 30.000 pour les Deux-Sèvres.
Côté armée, 50.000 soldats tués

Ca fait 200.000 morts me direz-vous ? Eh bien non.... puisque ces chiffres ne prennent pas en compte les morts par maladie, ni les morts politiques ni les morts non vendéens.

Les estimations parlent jusqu'à 600.000 décès (même si on est plus sur du 300.000-400.000) ....

Malheureusement les décès de la guerre franco-prussienne et des deux guerres mondiales ont nécessité une cohésion nationale et ont fais oublié les morts d'un génocide qui est arrivé CHEZ NOUS ; faisant que tous les vendéens (pour ne citer qu'eux) ne sont même pas au courant qu'ils sont des enfants de survivants.
(cette phrase est à lire en apnée)

Voici la (très longue) source Wikipedia pour celles et ceux souhaitant approfondir :
fr.m.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Vendée

Édit : à titre informatif, l'épisode de la Terreur c'est 30.000 décès (directs, suite au jugement) soit de 10 à 20 fois moins que le massacre présenté ...
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"Grand oublié des manuels d'histoire"...
Il y a une raison précise pour cela : ce génocide (ainsi que d'autres comme les Chouans) met en avant que le peuple n'était pas d'accord pour faire la révolution (contrairement à ce que nous enseigne notre école laïque). Au contraire, le peuple voulait défendre "notre bon roi", comme ils disaient. Avec la révolution, le peuple a tout perdu, les ouvriers ont perdu tous leurs droits aussi, et la bourgeoisie s'est installée au pouvoir. Tout cela, avec l'aide d'une secte dont le chef n'était autre que le Duc d'Orléans, frère de Louis XVI... Je vous laisse chercher plus si cela vous intéresse, mais cette secte est toujours au pouvoir actuellement...

a écrit : Aaah la belle mentalité d'écervelé ! Si tu as besoin de fixer un tableau au mur ou de tuer un chaton avec les dents pour exprimer ta virilité, la vie doit être terriblement difficile pour toi ! C’est pas plus con que les femmes qui cherchent leur féminité à travers des couches de cosmétiques. Où y auraient t’il deux poids deux mesures ?

On continue la baston homme/femme où on admet que chacun est digne dans sa construction sexuée personnelle ? Les hommes autant que les femmes.
( Et tous les LGBTQI++ )