Clint Eastwood adopta les 2 points de vue sur un évènement historique

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En 2006, Clint Eastwood en tant que réalisateur sortit 2 films sur le même évènement, la bataille d'Iwo Jima. Il s'agit des films Mémoires de nos pères et Lettres d'Iwo Jima, qui adaptent respectivement le point de vue américain et japonais sur cette bataille. L'objectif du réalisateur était notamment de montrer qu'il n'y a pas forcément de gentils et méchants dans les conflits.


Tous les commentaires (30)

a écrit : Tu peux toujours rejoindre la guerre du Bescherelle. La quasi-totalité des jeunes préféreraient ne pas la faire, mais après tu as des commentaires tout beau, tout propre :) Rejoignez la ensemble ;-)
La quasi-totalité des jeunes préfèrerait ne pas la faire...

a écrit : Est ce qu il s agirait des 2 soldats qui refusèrent de se rendre et qui ne le firent que lorsque que l empereur en personne leur ait demander de le faire ? Je pense que tu mélange beacoup de chose là.
L'histoire dont tu parle est celle de Hiro Onoda, un soldat japonais mettre dans la gerre de guérilla qui n'a déposé les armes qu'en 1974 (il refusait de croire que le Japon avait capitulé) et seulement après avoir reçu l'ordre de son ancien commandant de la second guerre. Il était pas seul mais ses compagnons sont mort dans les années 50. Tu peux rechercher le nom, il a une page wiki.

Par rapport à l'empereur du Japon faut savoir qu'il ne parle jamais a la population, alors venir pour un seul gars imagine même pas

Par rapport au film, même si Clint Eastwood montre des soldats japonais tout simplement humain avec de la peur, de l'espoir, etc dans le film lettres d'iwo jima (pas les monstres de sang qu'on voit dans tout les films d'Hollywood) les américains sont quand même montrés comme les bons anges de cette guerre (malgré la scene d'exécution des 2 prisonniers japonais) de façon globale je parle.

Après C'est vrai que Clint Eastwood c'est un pure produit made in US pour qui les USA est le meilleur pays du mond

a écrit : Rejoignez la ensemble ;-)
La quasi-totalité des jeunes préfèrerait ne pas la faire...
La guerre génère des sentiments beaucoup plus complexes. De nombreux combattants éprouvent de la peur, souffre de l'éloignement de leur famille, mais sont aussi grisés par le goût de l'aventure, du combat, par la fierté de servir un idéal qui les depassent et répondent à l'appel de ce qu'ils considèrent être leur devoir. C'est une réalité tangible dont temoigneront les soldats engagés en opération que vous pourrez rencontrer.

Le film le plus surprenant et les lettres d'iwo Jima du côté japonais, car les films du point de vu américains nous en étions, nous en sommes et nous en serons encore inondé.

a écrit : Je pense que tu mélange beacoup de chose là.
L'histoire dont tu parle est celle de Hiro Onoda, un soldat japonais mettre dans la gerre de guérilla qui n'a déposé les armes qu'en 1974 (il refusait de croire que le Japon avait capitulé) et seulement après avoir reçu l'ordre de son ancien command
ant de la second guerre. Il était pas seul mais ses compagnons sont mort dans les années 50. Tu peux rechercher le nom, il a une page wiki.

Par rapport à l'empereur du Japon faut savoir qu'il ne parle jamais a la population, alors venir pour un seul gars imagine même pas
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Ah oui ce doit etre ça. Merci de la correction je me suis enflamé

a écrit : Rejoignez la ensemble ;-)
La quasi-totalité des jeunes préfèrerait ne pas la faire...
Et bim ! ;))

a écrit : Est ce qu il s agirait des 2 soldats qui refusèrent de se rendre et qui ne le firent que lorsque que l empereur en personne leur ait demander de le faire ? Non je ne crois pas, mais par contre un soldat Japonais s'est rendu en 74. Il y a une anecdote dessus.

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a écrit : Ah ? Curieusement son traitement de la guerre d'Irak dans American Sniper est, lui, beaucoup plus manichéen... Ben en même temps c’est une adaptation d’un livre donc il ne pouvait pas faire non plus du hors sujet.

a écrit : Rejoignez la ensemble ;-)
La quasi-totalité des jeunes préfèrerait ne pas la faire...
Très draule, je ne l'avais pas vu passait celle-là.
Pourtemps, je suis attentif à l'orthographe d'abitude.