La fille sauvage de Songy a vécu 10 ans dans la nature

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La fille sauvage de Songy est une enfant qui a vécu de 9 à 19 ans dans les bois, en France, entre 1721 et 1731. Elle était capable de chasser des lapins à la course, ne parlait pas, tua facilement le molosse qu'on lâcha sur elle, et pêchait à mains nues. Il s'agirait d'une Indienne de la tribu des Renards, capturée et offerte à une Française. Après sa capture, elle réussit à apprendre à lire et à écrire.


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a écrit : Je pense que dans ton exemple (comme dans l’histoire de l’Amérique d’ailleurs) le problème c’est surtout que les potes en question prennent toute la place et ne te laisse rien. A partir de là, qu’ils t’appellent Roger ou Giselle je pense que ça passe au second plan. Pour le cas des Amérindiens, la vraie justice serait de leur redonner leurs terres mais comme les états-uniens n’en ont aucune envie ils font comme s’ils se préoccupaient d’eux en leur disant qu’on ne va plus les appeler « indien », ce qui est franchement anecdotique comme combat. On vous a tout pris mais on vous respecte parce que vous appelle d’une certaine façon... Afficher tout C'est une très bonne idée de rendre la terre aux occupants précédents, il ne reste plus qu'à fixer l'ancienneté à prendre en compte qui convienne à tout le monde ! Le problème, si on remonte trop loin, c'est que plus personne n'aura de terre puisque nous sommes tous issus de vagues d'immigration et d'envahisseurs. Et si on ne remonte pas assez loin dans le temps, on va acter le statu-quo. Tu as une idée de l'ancienneté qu'il faudrait prendre en compte ? Il faudra aussi décider où envoyer les gens qui doivent libérer le terrain sur lequel ils sont nés et quoi faire des métis, mais pour ça aussi, tu dois avoir une solution toute prête. Enfin, une fois que tu auras résolu ces petits problèmes et si tu veux toujours rendre la terre aux Amérindiens, il faudra savoir à quelle tribu rendre chaque parcelle car les indiens aussi s'attaquaient et s'envahissaient entre eux. Et si tu dis qu'il suffit de revenir à la situation juste avant l'arrivée des colons européens, je t'arrête tout de suite : pourquoi est-ce que ça serait les colons qui décideraient à qui rendre la terre étant donné que tu leur conteste leur propriété ? Bon courage, préviens-moi quand tu as trouvé la solution.

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a écrit : Anecdote qui fait écho à l'histoire de Victor de l'Aveyron, un jeune garçon de 12 ans qui a été trouvé dans une forêt. Il ne savait pas parler et se débrouillait tout aussi bien que cette fille là dans la nature. Genre quand il voyait une bête morte il savait si sa viande était encore comestible ou pas juste à l'odorat. On a pensé qu'il avait survécu à une tentative de meurtre en tant que nourrisson non désiré parce qu'il avait une grande cicatrice sur la gorge, une hypothèse serait que des feuilles mouillées auraient colmaté la blessure. Il a été dans la cour du roi et exposé devant les grands savants qui ont fini par le dire débile (ou qqch dans le genre). Finalement il a atterri chez Icard, docteur qui a fait des expériences sur lui pour en apprendre plus sur l'apprentissage (genre apprendre à lire, à écrire, à bien se tenir etc). Mais bon Icard en a eu marre des échecs de Victor du coup il l'a abandonné et c'est la bonne qui l'a recueilli. Évidemment la société l'a complètement traumatisé et ça aurait été préférable qu'il reste dan sa forêt
Il y a un film (fiction hein pcq en 1792 le cinéma était au top) dessus qui est vraiment intéressant !
Le but d'Icard était de faire de Victor un homme civilisé et éduqué mais finalement c'est sa nourrice qui l'a vraiment aidé parce que c'était la seule qui l'aimait pour ce qu'il était et qui ne le voyait pas comme animal sauvage.
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Merci pour le renvoi à Victor de l Aveyron
Ce cas m à intéressé aussi (à côté de chez moi en plus) mais je me suis plus intéressé au cas de Marie Angélique, moins connu, et à d autres, que j ai découverts plus tard
Plusieurs raisons à ça
C est vrai qu ils des points commun, l absence de language lors de la capture et une insensibilité au froid
Ca s arrete à peu près là
En fait, Marie Angélique est vraiment la seule sur plus de 8 siècles dont on sait qu elle a survécu 10 ans en forêt, et dont on connaît les capacités prédatrice et les connaissances étendue des végétaux qu elle possedait
Mais on ne peut pas dire que Victor se débrouillait aussi bien dans la nature ou avait les mêmes capacités, il y a même un gouffre : il refusait la viande crue, Marie Angélique refusait la viande cuite, ou tout aliment cuit ou salé
Il ne savait pas grimper aux arbres, c était un des domaines de prédilection de Marie Angélique, qui y dormait, y chassait les oiseaux, elle y était particulièrement à l aise
Il ne savait pas casser une noix, elle depecait les poissons avec l ongle de son pouce et chassait à la course
Il venait se chauffer au coin du feu, Marie Angélique fuyait le feu
Il acceptait de dormir sur un lit, Marie Angélique refusait et dormait sur le sol lors de sa capture
Elle fuyait les habitations, contrairement à lui
Elle savait nager, pas lui
En fait, elle avait un réel état d en sauvagement, marqué
Après oui c est vrai heureusement que la nourrice de Victor était là car le docteur Itard ne faisait pas preuve d une grande compréhension
Je laisse juste cette citation à propos du film de François Truffaut :
«
François Truffaut nous montre un enfant qui sait nager, grimper aux arbres, enfin c'est presque Lord Greystoke ! Alors que le "vrai" Victor observé par le Dr Itard s'avère incapable de grimper à quoi que ce soit ni même savoir casser une noix : laché en pleine nature, Victor serait en fait mort de faim et donc tout permet de penser qu'il s'agissait plutôt d'un enfant dit "autiste" que la famille laissait errer et vagabonder, faire ce qu'il veut, et le jour où il a été "trouvé", peut-être avait il été abandonné pour de bon, mais depuis peu !
»
Comme beaucoup de films, il présente des inexactitudes, et il vaut mieux s interresser aux archives si on veut se faire une idée plus proche de la réalité
C était juste pour apporter ces quelques précisions, :)

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android

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a écrit : C'est une très bonne idée de rendre la terre aux occupants précédents, il ne reste plus qu'à fixer l'ancienneté à prendre en compte qui convienne à tout le monde ! Le problème, si on remonte trop loin, c'est que plus personne n'aura de terre puisque nous sommes tous issus de vagues d'immigration et d'envahisseurs. Et si on ne remonte pas assez loin dans le temps, on va acter le statu-quo. Tu as une idée de l'ancienneté qu'il faudrait prendre en compte ? Il faudra aussi décider où envoyer les gens qui doivent libérer le terrain sur lequel ils sont nés et quoi faire des métis, mais pour ça aussi, tu dois avoir une solution toute prête. Enfin, une fois que tu auras résolu ces petits problèmes et si tu veux toujours rendre la terre aux Amérindiens, il faudra savoir à quelle tribu rendre chaque parcelle car les indiens aussi s'attaquaient et s'envahissaient entre eux. Et si tu dis qu'il suffit de revenir à la situation juste avant l'arrivée des colons européens, je t'arrête tout de suite : pourquoi est-ce que ça serait les colons qui décideraient à qui rendre la terre étant donné que tu leur conteste leur propriété ? Bon courage, préviens-moi quand tu as trouvé la solution. Afficher tout Je suis complètement d’accord avec toi. Mon exemple de terre est mal choisi mais elle était surtout là pour filer la métaphore du message auquel je répondais. Ce que je voulais appuyer c’est qu’étant ce que les amérindiens vivent encore aujourd’hui je pense que la façon que nous avons de les appeler n’est vraiment pas leur priorité.

a écrit : « La vraie justice serait de leur rendre leur terre »... C’est d’une utopie. Désormais, les américains vivant là sont autant chez eux que les natifs américains, ils sont nés là ! Allez dire à une personne qui est née là, dont la famille est installée depuis plusieurs générations « merci de partir pour régler une histoire de vol de plus de 200 ans ! », ça n’a aucun sens...
Il n’y a pas de réelle solution, aucune qui ne soit pas injuste pour un des deux côtés.
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Exact

a écrit : Je suis complètement d’accord avec toi. Mon exemple de terre est mal choisi mais elle était surtout là pour filer la métaphore du message auquel je répondais. Ce que je voulais appuyer c’est qu’étant ce que les amérindiens vivent encore aujourd’hui je pense que la façon que nous avons de les appeler n’est vraiment pas leur priorité. Afficher tout Cette revendication de ne plus être appelé "indiens" est porté par les Amérindiens eux-mêmes. Qui es-tu donc pour définir ce que sont leurs priorités ?
Si en attendant de régler leurs gros problèmes, ils peuvent régler leurs autres problèmes, pourquoi ils s'en priveraient ??
Cette façon de hiérarchiser les problèmes et d'en évacuer certains me fait penser à ces sales types que j'appréhendais pour trafics d'héroïne ou possession d'images pédopornographiques et qui me disaient: "On n'a tué personne, vous feriez mieux de vous intéresser aux vrais criminels".
Je ne dis pas que tu es un sale type, loin de là, mais la rhétorique est la même.

a écrit : Cette revendication de ne plus être appelé "indiens" est porté par les Amérindiens eux-mêmes. Qui es-tu donc pour définir ce que sont leurs priorités ?
Si en attendant de régler leurs gros problèmes, ils peuvent régler leurs autres problèmes, pourquoi ils s'en priveraient ??
Cette façon de hi
érarchiser les problèmes et d'en évacuer certains me fait penser à ces sales types que j'appréhendais pour trafics d'héroïne ou possession d'images pédopornographiques et qui me disaient: "On n'a tué personne, vous feriez mieux de vous intéresser aux vrais criminels".
Je ne dis pas que tu es un sale type, loin de là, mais la rhétorique est la même.
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Je suis désolé mais ça n’a aucun rapport. Si des gens autour d’une table discutaient de la pire chose à faire possible et disaient que tuer c’est pire que vendre de l’héroïne. Là ça serait comparable et ils auraient raison d’ailleurs. Alors que dans ton exemple ce sont des criminels qui étaient de se dédouaner en disant que d’autres font pire et là évidemment que c’est ridicule.
Je ne dis absolument pas qu’il faut continuer de les appeler « indiens » tant que leurs vrais problèmes ne sont pas résolus, je dis qu’il juste que JE PENSE qu’ils ont (ou « auraient » si tu me dis que c’est là leur cheval de bataille actuel) bien plus grave à penser que ça.
Et pour finir, évidemment qu’on doit hiérarchiser les problèmes, (ce qui ne veut pas dire qu’on ne doit rien régler tant que le pire n’est pas réglé, je précise au cas où) par exemple, te casser un bras est pire que te casser un ongle, tu en conviendra j’espère, mais ce n’est pas pour ça que si tu te casses le bras et un ongle en même temps, tu ne peux pas utiliser le temps de ton plâtre pour t’occuper de ton ongle.

a écrit : Je suis désolé mais ça n’a aucun rapport. Si des gens autour d’une table discutaient de la pire chose à faire possible et disaient que tuer c’est pire que vendre de l’héroïne. Là ça serait comparable et ils auraient raison d’ailleurs. Alors que dans ton exemple ce sont des criminels qui étaient de se dédouaner en disant que d’autres font pire et là évidemment que c’est ridicule.
Je ne dis absolument pas qu’il faut continuer de les appeler « indiens » tant que leurs vrais problèmes ne sont pas résolus, je dis qu’il juste que JE PENSE qu’ils ont (ou « auraient » si tu me dis que c’est là leur cheval de bataille actuel) bien plus grave à penser que ça.
Et pour finir, évidemment qu’on doit hiérarchiser les problèmes, (ce qui ne veut pas dire qu’on ne doit rien régler tant que le pire n’est pas réglé, je précise au cas où) par exemple, te casser un bras est pire que te casser un ongle, tu en conviendra j’espère, mais ce n’est pas pour ça que si tu te casses le bras et un ongle en même temps, tu ne peux pas utiliser le temps de ton plâtre pour t’occuper de ton ongle.
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Le mieux serait de ne pas remettre en cause les priorités des autres. Si quelqu'un te dit qu'il s'est cassé un ongle et que c'est terrible et qu'il aurait préféré se casser un bras, tu vas lui expliquer qu'il a tort ou tu peux comprendre qu'il est le mieux placé pour savoir ce qui est grave pour lui ?

a écrit : Le mieux serait de ne pas remettre en cause les priorités des autres. Si quelqu'un te dit qu'il s'est cassé un ongle et que c'est terrible et qu'il aurait préféré se casser un bras, tu vas lui expliquer qu'il a tort ou tu peux comprendre qu'il est le mieux placé pour savoir ce qui est grave pour lui ? Ils font évidemment ce qu’ils veulent et mettent la priorité sur ce qui leur convient. Si quelqu’un pense qu’un ongle cassé est pire qu’un bras cassé je ne vais pas lui imposer le contraire mais ça ne m’empêchera pas de le penser et de le dire.

a écrit : N'oublie pas que de nos jours, beaucoup ne disposent pas d'un clavier "à l'ancienne". La ponctuation visiblement est importante à tes yeux, et c'est vrai que ca pique un peu quand elle est manquante, j'admets! ^^ mais ca n'empêche pas de publier des commentaires bien remplis, c'est le principal. :) Merci Nicontrarié
J ai trouvé ça et je le partage
Petit podacst sympa à écouter, fictif mais super bien fait
Je l ai écouté dans voir le temps passer
www.franceculture.fr/emissions/latelier-fiction/lenfant-sauvage-de-celine-delbecq
Je pense que ça peut te plaire !

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a écrit : Je me dispenserai de la correction de la dictée. Juste des indices pour celles qui piquent le plus : au début une phôte d’accord et vers la fin une tentative de transcrire un mot que tu ne sais pas écrire.

Sinon merci pour les précisions sur la bio de cette amérindienne.
Je me dispenserai bien de te faire la remarque sur ta domiciliation mais si ça se trouve tu ne sais pas retranscrire sans phôte le nom de ta ville ;)

a écrit : Je me dispenserai de la correction de la dictée. Juste des indices pour celles qui piquent le plus : au début une phôte d’accord et vers la fin une tentative de transcrire un mot que tu ne sais pas écrire.

Sinon merci pour les précisions sur la bio de cette amérindienne.
Franchement, tu crois te mettre en valeur en faisant remarquer qu'il y a des fautes dans le commentaire auquel tu réponds ? Même les moins forts en orthographe l'auront remarqué. Mais on peut aussi remarquer que cette personne a fait l'effort d'écrire tout ce texte très intéressant de sa propre plume sans le copier/coller bien qu'elle ait apparemment des lacunes en orthographe. Alors ce qui t'aurait vraiment permis de te mettre en valeur, et te faire remarquer comme une personne intelligente en plus d'être instruite, et puisque tu tenais à le remercier, aurait été de le remercier en signalant que tu as particulièrement apprécié l'effort de s'exprimer venant de quelqu'un qui a des difficultés avec l'orthographe. Et tu faisais d'une pierre deux coups : non seulement tu montrais que tu avais remarqué les fautes, puisque tu tenais tellement à le montrer, mais tu montrais également de la sollicitude ce qui est encore bien mieux. Mais c'est vrai que c'est pas donné à tout le monde d'avoir toutes ces qualités et chacun accepte de dévoiler ses faiblesses dès qu'il s'exprime, que ce soit des lacunes en orthographe ou un manque évident d'intelligence et de sollicitude. Je préfère de loin lire les commentaires de ceux qui ont des lacunes en orthographe ! Et si tu es tellement à cheval sur l'orthographe, tu devrais mettre une majuscule à Amérindienne, comme à tous les gentilés.

a écrit : Ils font évidemment ce qu’ils veulent et mettent la priorité sur ce qui leur convient. Si quelqu’un pense qu’un ongle cassé est pire qu’un bras cassé je ne vais pas lui imposer le contraire mais ça ne m’empêchera pas de le penser et de le dire. C'est fou ce que ça crispe les gens ces histoires d'identité. Comme si à chaque fois que quelqu'un tentait de définir son identité à lui, cela remettait à cause notre propre identité.
Comme toi, je pense que las Amérindiens ont d'autres combats à mener mais là où je ne te rejoins pas c'est que, même si je le pense, je me dispenserai de le dire.
Parce que si ces sujets engagent leurs existences et leur devenir, pour toi comme pour moi ce sujets ne sont que la "littérature" qui ne changeront rien à nos vies.

Au Canada, Malheureusement au term juridique, le terme “Indiens” est toujours utilisé.
Indien:
Terme couramment employé pour décrire les centaines de nations autochtones distinctes en Amérique du Nord, en Amérique Centrale, en Amérique du Sud ainsi que dans les Caraïbes. Il remonte à Christophe Colomb, qui l’a utilisé aux quinzième et seizième siècles, lors de ses expéditions en quête de l’Asie.xvi D’usage courant chez les explorateurs et les missionnaires, le terme fut ensuite adopté par le gouvernement du Canada et intégré en 1876 à la Loi sur les Indiens (qui portait alors le nom d’Acte des Sauvages).xvii Il est souvent employé dans le contexte des ministères, documents, politiques et lois de l’époque. Les Indiens constituent l’un des trois peuples autochtones reconnus au Canada — les Indiens (Premières Nations), les Inuits et les Métis — selon le paragraphe 35(2) de la Loi constitutionnelle de 1982.

www.bac-lac.gc.ca/fra/decouvrez/patrimoine-autochtone/Documents/Guide%20terminologique%20recherches%20sur%20le%20patrimoine%20autochtone.pdf

Extrait:
“..... Historiquement, « Indien » a été utilisé au Canada pour désigner les membres des Premières Nations et, dans certains cas, les peuples autochtones. Aujourd’hui, le terme « Autochtone » est considéré comme plus politiquement correct qu’« Indien » pour qualifier les peuples autochtones. Depuis que le gouvernement canadien a accepté sans réserve la déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones en 2016, le terme « Autochtones » est largement utilisé au Canada pour désigner les Premières Nations, les Métis et les Inuits.

Même si le terme « Aborigène » est tombé en disgrâce, en partie à cause de la connotation négative qu’il a, il demeure en usage dans quelques documents légaux. Par conséquent, « Aborigène » (comme « Indien ») conserve une portée juridique au Canada.

Définitions légales

La section 35(2) de la Loi constitutionnelle de 1982 définit trois groupes de peuples autochtones : les Indiens, les Inuits et les Métis. « Indiens », dans ce cas-ci, désigne les Premières Nations. Cependant, sur le plan légal, les membres des Premières N..........”

L’article complet
www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/indien

a écrit : Extrait:
“..... Historiquement, « Indien » a été utilisé au Canada pour désigner les membres des Premières Nations et, dans certains cas, les peuples autochtones. Aujourd’hui, le terme « Autochtone » est considéré comme plus politiquement correct qu’« Indien » pour qualifier les peuples autochtones. Depuis que le
gouvernement canadien a accepté sans réserve la déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones en 2016, le terme « Autochtones » est largement utilisé au Canada pour désigner les Premières Nations, les Métis et les Inuits.

Même si le terme « Aborigène » est tombé en disgrâce, en partie à cause de la connotation négative qu’il a, il demeure en usage dans quelques documents légaux. Par conséquent, « Aborigène » (comme « Indien ») conserve une portée juridique au Canada.

Définitions légales

La section 35(2) de la Loi constitutionnelle de 1982 définit trois groupes de peuples autochtones : les Indiens, les Inuits et les Métis. « Indiens », dans ce cas-ci, désigne les Premières Nations. Cependant, sur le plan légal, les membres des Premières N..........”

L’article complet
www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/indien
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Merci beaucoup pour cet éclaircissement.