Le COVID a diminué la précision des prévisions météo

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L'interruption de 80 % à 90 % du trafic aérien lors de la pandémie de COVID a eu un effet inattendu : la baisse de la fiabilité des prévisions météorologiques. L'ensemble des données collectées par les différentes sondes des avions est en effet une source précieuse de données pour les météorologues.


Tous les commentaires (59)

a écrit : C'est très intelligent ce que tu dis car ça met en avant un point où l'académie, si elle faisait son boulot correctement, aurait pu trancher. On écrit COVID, Covid, covid, ou CoViD ?
C'est très sérieux car ici on se prend le débat "le ou la" mais on a écrit COVID. Sur le site du gouverne
ment c'est COVID, le site de l'académie c'est covid, sur le site du ministère des affaires étrangère c'est Covid.
Sachant que tous les français disaient (et encore en grande majorité aujourd'hui) le covid mais que personne n'est d'accord sur comment l'écrire, est-ce qu'il n'aurait pas été plus intelligent de la part de mamie de trancher là dessus ?
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Tu pourrais au moins citer les sources de tes infos : www.franceculture.fr/sciences-du-langage/doit-dire-le-ou-la-covid-19

a écrit : Alors non, on ne garde que parfois le genre de la traduction en français. SInon, on devrait dire une Radar, une Laser, une Sonar, une Wi-Fi, une briefing, une brushing, une casting, une pressing et j'en passe.
Covid n'est pas un acronyme. CoViD-19 est un acronyme. Un acronyme est écrit en majuscule (SN
CF, FBI, NSA). On est donc face à un mot et de ce fait, l'accorder suivant une racine qui ne lui correspond plus ne rime à rien. On est face à un emprunt de l'anglais, d'accord, mais surtout face à un emprunt qui a toujours des règles dites de "motivation linguistique". Il faut voir que le masculin s'est imposé autour de covid (comme pour mes autres exemples au dessus et des centaines, voir milliers d'autres) partout dans la francophonie excepté au Québec où les emprunts de l'anglais sont féminisé.
Enfin, rappelons que cette règles visant a contrer l'usage pour mettre en avant une norme qui n'est déjà pas toujours respectée a été décidé par, roulement de tambour, une historienne de 90 ans. Oui, non pas un linguiste, à savoir quelqu'un sensé étudier les langues, leurs fonctionnements et leurs évolutions, non pas un lexicologue, qui est sensé étudier les langues dans leurs états actuels, mais bien par un historien.
N'oublions pas que l'académie est sensé fixer l'usage de la langue dans son dictionnaire (9 en presque 4 siècles, c'est peu). L'usage en France, en Belgique, en Suisse et j'en passe, c'est le covid.
N'oubliez pas que vous écoutez une instition qui a refusée jusqu'en 2019 que les noms de métier soient féminisé (tiens, juste quand les inégalités hommes femmes prennent de la place dans le débat publique), que c'est une institution non démocratique (secrétaire perpétuel et j'en passe), opaque (se cachant derrière certaines lois pour qu'on ne puisse lui demander ce qu'il advient de son budget, épinglé par la cour des Comptes), politisée et élitiste.
Pour en savoir plus sur qui est réellement l'académie nationale de la langue française et pourquoi c'est une organisation qui ne mérite pas l'intérêt qu'on lui donne, je vous conseillerais à la fois les vidéos de linguisticae, la simple page wikipedia de l'académie, mais aussi le livre "L'académie contre la langue française".

Donc voilà pourquoi dire le covid est plus logique que de dire la covid et pourquoi il ne faut pas toujours écouter une mamie de 90 ans qui te dit comment tu dois bien parler.
N'oubliez pas mes chers lecteurs, lorsque vous followez quelqu'un sur twitter, facebook ou autre, non, vous ne le suivez pas ! L'académie a dit que vous êtes un acolyte ! Et oui, cette même académie a traduit follower par "Acolyte des illustres"!

Sérieux, remettez ces vieux à la maison de retraite, arrêtez de les embêter avec des sujets dont ils ne connaissent rien et prenez de vrai spécialistes. Ca fait trop longtemps qu'on se traine cette casserole.
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Juste pour savoir, pourquoi la sonar et la pressing ?
Radar, ok, c'est la détection,
Laser, une amplification lumineuse...,
briefing, la réunion,
Casting, c'est une audition etc etc, mais sonar et pressing je trouve pas

a écrit : Alors non, on ne garde que parfois le genre de la traduction en français. SInon, on devrait dire une Radar, une Laser, une Sonar, une Wi-Fi, une briefing, une brushing, une casting, une pressing et j'en passe.
Covid n'est pas un acronyme. CoViD-19 est un acronyme. Un acronyme est écrit en majuscule (SN
CF, FBI, NSA). On est donc face à un mot et de ce fait, l'accorder suivant une racine qui ne lui correspond plus ne rime à rien. On est face à un emprunt de l'anglais, d'accord, mais surtout face à un emprunt qui a toujours des règles dites de "motivation linguistique". Il faut voir que le masculin s'est imposé autour de covid (comme pour mes autres exemples au dessus et des centaines, voir milliers d'autres) partout dans la francophonie excepté au Québec où les emprunts de l'anglais sont féminisé.
Enfin, rappelons que cette règles visant a contrer l'usage pour mettre en avant une norme qui n'est déjà pas toujours respectée a été décidé par, roulement de tambour, une historienne de 90 ans. Oui, non pas un linguiste, à savoir quelqu'un sensé étudier les langues, leurs fonctionnements et leurs évolutions, non pas un lexicologue, qui est sensé étudier les langues dans leurs états actuels, mais bien par un historien.
N'oublions pas que l'académie est sensé fixer l'usage de la langue dans son dictionnaire (9 en presque 4 siècles, c'est peu). L'usage en France, en Belgique, en Suisse et j'en passe, c'est le covid.
N'oubliez pas que vous écoutez une instition qui a refusée jusqu'en 2019 que les noms de métier soient féminisé (tiens, juste quand les inégalités hommes femmes prennent de la place dans le débat publique), que c'est une institution non démocratique (secrétaire perpétuel et j'en passe), opaque (se cachant derrière certaines lois pour qu'on ne puisse lui demander ce qu'il advient de son budget, épinglé par la cour des Comptes), politisée et élitiste.
Pour en savoir plus sur qui est réellement l'académie nationale de la langue française et pourquoi c'est une organisation qui ne mérite pas l'intérêt qu'on lui donne, je vous conseillerais à la fois les vidéos de linguisticae, la simple page wikipedia de l'académie, mais aussi le livre "L'académie contre la langue française".

Donc voilà pourquoi dire le covid est plus logique que de dire la covid et pourquoi il ne faut pas toujours écouter une mamie de 90 ans qui te dit comment tu dois bien parler.
N'oubliez pas mes chers lecteurs, lorsque vous followez quelqu'un sur twitter, facebook ou autre, non, vous ne le suivez pas ! L'académie a dit que vous êtes un acolyte ! Et oui, cette même académie a traduit follower par "Acolyte des illustres"!

Sérieux, remettez ces vieux à la maison de retraite, arrêtez de les embêter avec des sujets dont ils ne connaissent rien et prenez de vrai spécialistes. Ca fait trop longtemps qu'on se traine cette casserole.
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J'ai rarement lu un pavé aussi foutraque dans lequel on voit tout et son contraire. Comme l'écrivait Boileau : « Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement... »

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a écrit : Parce que le D de COVID est l'acronyme de "Disease", soit la maladie en VF. On garde le genre de la traduction en français. Et aussi probablement parce que la plupart des maladies ont un nom féminin (varicelle, scarlatine, peste, grippe, diarrhée, etc.) à part le SIDA qui est un syndrome et quelques exceptions (le choléra, les oreillons...). Donc ça ne choque pas nos habitudes de donner un nom féminin à une maladie.

a écrit : Deux mois après qu’on A tous appelé... :-) Salut l'ami. Peux tu m'expliquer ou as tu un lien expliquant la règle de conjugaison que tu as énoncé ? Je sais qu'on en a parlé dans une anecdote récente mais ce n'était pas clair pour moi. J'aurai aussi écrit "que l'on ait appelé". D'avance merci

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Uniquement les vols commerciaux étaient suspendus non ? À cause du fait que des gens « s’assemblaient » dans un même milieu pendant une longue période ?

Si aujourd’hui tout le monde dit « le covid », c’est parce qu’on est habitué. Si on disait « la covid » du début, ce serait absolument normal.
Je pense qu’il est juste pour l’Académie Française de fixer les usages. Lorsqu’il y a un nouveau mot, je trouve ça bien que celle-ci cherche un genre qui lui correspond, en l’occurence, le féminin.
Quand il y a un nouveau mot, faut bien lui donner un genre, et plus il est cohérent, mieux c’est.

Cependant, je trouve ça absolument débile de se pointer en mai, 5 mois après la maladie, et de dire « alors non, il faut dire ‹la› » ; alors que l’usage est fixé depuis belle lurette. Un peu de réactivité de la part de l’Académie serait souhaitable.
Du coup, les trucs sérieux disent « la » et les gens disent « le »... C’est un peu n’importe quoi.

Sinon y a autre chose de similaire : l’emploi de l’expression « distanciation sociale ».
Selon l’AF, il ne faut pas l’employer car c’est un calque de l’anglais. Le vrai sens, c’est : « Technique théâtrale, prônée par le dramaturge allemand Bertolt Brecht, où l’acteur s’efforce de jouer comme à distance de son personnage, afin que le spectateur donne priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer. » Franchement, c’est un sens dépassé et au lieu de donner un deuxième sens à « distanciation sociale » qui est assez cohérent avec le contexte actuel, non on doit dire des phrases à rallonge.

Et pourquoi ? « Distanciation a aussi connu une heure de gloire grâce au théâtre brechtien, mais même s’il s’agit, comme on le lit dans notre Dictionnaire, pour le spectateur, de donner ‹priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer›, il est difficile de croire que ce soit le sens de la ‹distanciation sociale› dont on nous parle aujourd’hui. Peut-être aurait-on pu parler de ‹respect des distances de sécurité›, de ‹distance physique› ou de ‹mise en place de distances de sécurité›, comme cela se fait dans d’autres domaines ? »

Honnêtement, ça intéresse qui le théatre brechtien ?

Pour conclure, je pense que c’est bien d’avoir un organisme qui gère les normes d’une langue et je suis content qu’on ait l’AF, mais les méthodes de l’AF sont arriérées et tellement lentes... Faudrait bien que les académiciens daignent travailler un peu plus.

www.dictionnaire-academie.fr/article/DNP0947

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a écrit : Si aujourd’hui tout le monde dit « le covid », c’est parce qu’on est habitué. Si on disait « la covid » du début, ce serait absolument normal.
Je pense qu’il est juste pour l’Académie Française de fixer les usages. Lorsqu’il y a un nouveau mot, je trouve ça bien que celle-ci cherche un genre qui lui correspond, e
n l’occurence, le féminin.
Quand il y a un nouveau mot, faut bien lui donner un genre, et plus il est cohérent, mieux c’est.

Cependant, je trouve ça absolument débile de se pointer en mai, 5 mois après la maladie, et de dire « alors non, il faut dire ‹la› » ; alors que l’usage est fixé depuis belle lurette. Un peu de réactivité de la part de l’Académie serait souhaitable.
Du coup, les trucs sérieux disent « la » et les gens disent « le »... C’est un peu n’importe quoi.

Sinon y a autre chose de similaire : l’emploi de l’expression « distanciation sociale ».
Selon l’AF, il ne faut pas l’employer car c’est un calque de l’anglais. Le vrai sens, c’est : « Technique théâtrale, prônée par le dramaturge allemand Bertolt Brecht, où l’acteur s’efforce de jouer comme à distance de son personnage, afin que le spectateur donne priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer. » Franchement, c’est un sens dépassé et au lieu de donner un deuxième sens à « distanciation sociale » qui est assez cohérent avec le contexte actuel, non on doit dire des phrases à rallonge.

Et pourquoi ? « Distanciation a aussi connu une heure de gloire grâce au théâtre brechtien, mais même s’il s’agit, comme on le lit dans notre Dictionnaire, pour le spectateur, de donner ‹priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer›, il est difficile de croire que ce soit le sens de la ‹distanciation sociale› dont on nous parle aujourd’hui. Peut-être aurait-on pu parler de ‹respect des distances de sécurité›, de ‹distance physique› ou de ‹mise en place de distances de sécurité›, comme cela se fait dans d’autres domaines ? »

Honnêtement, ça intéresse qui le théatre brechtien ?

Pour conclure, je pense que c’est bien d’avoir un organisme qui gère les normes d’une langue et je suis content qu’on ait l’AF, mais les méthodes de l’AF sont arriérées et tellement lentes... Faudrait bien que les académiciens daignent travailler un peu plus.

www.dictionnaire-academie.fr/article/DNP0947
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L’AC c’est le conseil des Ents en gros.

a écrit : Salut l'ami. Peux tu m'expliquer ou as tu un lien expliquant la règle de conjugaison que tu as énoncé ? Je sais qu'on en a parlé dans une anecdote récente mais ce n'était pas clair pour moi. J'aurai aussi écrit "que l'on ait appelé". D'avance merci Lien : www.academie-francaise.fr/apres-que

Après que est toujours suivi d’un verbe à l’indicatif, car il n’y a pas de notion de conditionnel (on fait après une chose, l’action est donc certaine, contrairement à avant que, où la notion de condition existe).

a écrit : L’AC c’est le conseil des Ents en gros. J’avais pas la réf, je suis allé sur internet ; j’ai trouvé :

« La langue entique est différente de toutes les autres : lente, sonore, répétitive et très nuancée, si bien que personne d'autre qu'eux-mêmes ne peut la parler »
« Ils ne prennent pas de décisions rapides et sont lents de tempérament »

Je crois que t’as trouvé la meilleure métaphore possible :D

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a écrit : Non cela n’a pas toujours été féminin.
Depuis que le terme ‘Covid’ est apparu, 99% des personnes disaient « le covid ».
Comme dit par un autre commentaire, la justification du féminin vient d’une règle qui n’est pas vraiment une règle étant donné qu’elle n’est pas générale et ne s’applique pas à tous les ac
ronymes.
Pour ce que cela intéresse il y’a une vidéo de linguisticae qui en parle :

youtu.be/L78FkTtwKw4
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Non pas 99%, ici au Québec la très grande majorité des québécois disent la covid. Faudrait refaire tes statistiques avec l'ensemble de la francophonie.

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a écrit : Non pas 99%, ici au Québec la très grande majorité des québécois disent la covid. Faudrait refaire tes statistiques avec l'ensemble de la francophonie. Je crois que le Québec parle plus français que la France elle-même... Au Québec, qui a décidé qu’on devait dire « la » ? Ou c’est venu aussi naturellement que « le » en France ?

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Et en chinois, on dit comment ? Vu que la maladie vient de chez eux !

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a écrit : Pourquoi est-ce que ce mot est devenu féminin au fait ? Avec de bons yeux, on voit mieux ce genre de détails.

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a écrit : Parceque c'est une maladie, la Covid a toujours été féminin, c'est le virus du Corona virus qu'est masculin '' la'' sida ?
''la'' cancer ?
C' est quoi ton argumentaire qui repose sur rien...

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a écrit : Si aujourd’hui tout le monde dit « le covid », c’est parce qu’on est habitué. Si on disait « la covid » du début, ce serait absolument normal.
Je pense qu’il est juste pour l’Académie Française de fixer les usages. Lorsqu’il y a un nouveau mot, je trouve ça bien que celle-ci cherche un genre qui lui correspond, e
n l’occurence, le féminin.
Quand il y a un nouveau mot, faut bien lui donner un genre, et plus il est cohérent, mieux c’est.

Cependant, je trouve ça absolument débile de se pointer en mai, 5 mois après la maladie, et de dire « alors non, il faut dire ‹la› » ; alors que l’usage est fixé depuis belle lurette. Un peu de réactivité de la part de l’Académie serait souhaitable.
Du coup, les trucs sérieux disent « la » et les gens disent « le »... C’est un peu n’importe quoi.

Sinon y a autre chose de similaire : l’emploi de l’expression « distanciation sociale ».
Selon l’AF, il ne faut pas l’employer car c’est un calque de l’anglais. Le vrai sens, c’est : « Technique théâtrale, prônée par le dramaturge allemand Bertolt Brecht, où l’acteur s’efforce de jouer comme à distance de son personnage, afin que le spectateur donne priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer. » Franchement, c’est un sens dépassé et au lieu de donner un deuxième sens à « distanciation sociale » qui est assez cohérent avec le contexte actuel, non on doit dire des phrases à rallonge.

Et pourquoi ? « Distanciation a aussi connu une heure de gloire grâce au théâtre brechtien, mais même s’il s’agit, comme on le lit dans notre Dictionnaire, pour le spectateur, de donner ‹priorité au message social ou politique que l’auteur a voulu délivrer›, il est difficile de croire que ce soit le sens de la ‹distanciation sociale› dont on nous parle aujourd’hui. Peut-être aurait-on pu parler de ‹respect des distances de sécurité›, de ‹distance physique› ou de ‹mise en place de distances de sécurité›, comme cela se fait dans d’autres domaines ? »

Honnêtement, ça intéresse qui le théatre brechtien ?

Pour conclure, je pense que c’est bien d’avoir un organisme qui gère les normes d’une langue et je suis content qu’on ait l’AF, mais les méthodes de l’AF sont arriérées et tellement lentes... Faudrait bien que les académiciens daignent travailler un peu plus.

www.dictionnaire-academie.fr/article/DNP0947
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"Honnêtement, ça intéresse qui le théatre brechtien ?"

A tes souhaits. ;)

P.S, ca serait bien de leur apprendre à utiliser les technologies modernes à cette bande de dinosaures. Leur dico, le temps qu'ils le pondent, il est déjà obsolète depuis 20 ans. ^^
Je crois que le Larousse rajoute une centaine de nouveaux mots par an, et ça m'étonnerait qu'ils envoient un dossier à l'A.F à chaque fois!

a écrit : Le coronavirus (parce qu'on dit un virus)
La covid (parce que le d de Covid signifie disease qui veut dire (une) maladie)
Et LE cancer ?

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a écrit : Je n'ai pas vos connaissances linguistiques, mais il me semble plus simple, rationnel, voir logique de dire la Covid-19 puisque, traduit en français, maladie est féminin.
Si en anglais, que je ne maîtrise absolument pas, n'a pas besoin de genre, nous si.
Et donc
...
La Choléra, la Typhus, la SIDA ??

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En tout cas je continuerai gaiement à dire le covid et non la covid. Tout le monde a dit le pendant des mois donc pour moi c'est faire chier pour rien!!

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a écrit : C'est clair, parce qu'on sait tous que le reste de notre société et ses technologies ont été fondés par le saint esprit Amen !

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