Les sous-marins sont équipés de bougies (ou chandelles) à oxygène qui permettent, en cas de problème, de synthétiser de l’oxygène par réaction chimique. Toutefois, ces chandelles peuvent se révéler dangereuses si elles ne sont pas correctement stockées et isolées. En mars 2007, une de ces bougies a provoqué une explosion à bord du HMS Tireless, un sous-marin de la Royal Navy.
La bougie avait été contaminée par de l’huile hydraulique, ce qui a fait exploser le mélange.
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Dans les sources sur ce sous-marin, on apprend que c'est le sous-marin plus accidentogène de la flotte moderne de l'OTAN, il était très souvent en réparation.
Ce qui est cocasse pour un sous-marin nommé "L'infatigable."
C’est la même chose dans les avions pour les masques à oxygène. Des bouteilles à oxygène sont beaucoup trop lourdes pour être embarqués dans l’avion.
Quand les masques tombent il faut tirer dessus pour que la réaction se fasse et avoir de l’oxygène. Cependant la capacité est limitée à une 10aine de minutes le temps que le pilote descende à une altitude respirable dans devoir un piquet qui pourrait mettre en péril l’appareil.
En totale violation avec les règles de la FAA, il avait été chargé, dans les soutes de fret avec passagers, 144 générateurs d'oxygène périmés, considérés comme produits dangereux, apportant tout l'oxygène nécessaire à l'incendie lorsqu'une d'entre-elles s'est déclenchée et a surchauffé.
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Dans les sources sur ce sous-marin, on apprend que c'est le sous-marin plus accidentogène de la flotte moderne de l'OTAN, il était très souvent en réparation.
Ce qui est cocasse pour un sous-marin nommé "L'infatigable."
C’est la même chose dans les avions pour les masques à oxygène. Des bouteilles à oxygène sont beaucoup trop lourdes pour être embarqués dans l’avion.
Quand les masques tombent il faut tirer dessus pour que la réaction se fasse et avoir de l’oxygène. Cependant la capacité est limitée à une 10aine de minutes le temps que le pilote descende à une altitude respirable dans devoir un piquet qui pourrait mettre en péril l’appareil.
En totale violation avec les règles de la FAA, il avait été chargé, dans les soutes de fret avec passagers, 144 générateurs d'oxygène périmés, considérés comme produits dangereux, apportant tout l'oxygène nécessaire à l'incendie lorsqu'une d'entre-elles s'est déclenchée et a surchauffé.
Ces bougies (ou chandelles) à oxygène, une fois l'extrémité allumée, brûlent et se consument pendant plusieurs heures, mais, contrairement aux bougies en cire qui ont besoin d'oxygène pour entretenir leur flamme, dans le cas des bougies à oxygène, la réaction chimique du mélange produit de l'oxygène quand il brule au lieu d'en consommer ! Je me demandais si ce nom avait été choisi parce que ce dispositif ressemblait vaguement à une bougie, mais en lisant l'explication dans la source j'ai été bluffé d'apprendre que son aspect et son fonctionnement ressemblent à ce point à une bougie en cire qu'on utilise pour s'éclairer !