Les Heoibikuni assumaient les flatulences de leurs maitresses

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Au Japon, durant l’époque Edo, une nouvelle profession vit le jour : celle des Heoibikuni. Ces servantes remplissaient le rôle de dames de compagnie. L’une de leurs fonctions consistait à assumer les flatulences d’une noble jeune fille japonaise. Ainsi son honneur était intact.

Les hommes — généralement des samurais — n’en avaient pas besoin : il fallait assumer voire même s’en amuser.


Tous les commentaires (22)

a écrit : Je ne suis pas spécialement d'accord avec ça. Dans mon milieu on apprend/apprenait aux garçons la même chose qu'aux filles. D'expérience je dirais que les garçons ont juste plus de facilitées a ne pas respecter les conventions sociales, moins peur du qu'en-dira-t-on. On peut dire qu'ils sont plus sur d'eux en quelque sorte. La confiance est d'ailleurs une des choses qui les rend séduisants. Pour ce qui est des femmes qui doivent rester belles, jeunes et fraîches et des hommes qui doivent apporter la sécurité.. c'est juste que chacun essaye de plaire, donc de correspondre aux attentes du sexe opposé. C'est la base de la séduction. Et ca ne concerne pas que les relations hommes/femmes. On veut tous plaire et être aimé. C'est pas un problème sociétale mais un besoin propre à notre espèce et beaucoup d'autres. Afficher tout Ce qui se passe dans votre milieu est réellement loin d'être majoritaire dans l'éducation des filles et des garçons, même si j'aimerais que cela le soit.
C'est normal qu'en tant qu'homme vous ne puissiez pas trop vous rendre compte de tout ça, car c'est les femmes qui remettent tout ça en question ces derniers temps, par volonté de révolte contre un système qui nous empoisonne tous.te.s. par des stéréotypes de genres.
Mon commentaire avait pour but de vous indiquer qu'il existe peut être une autre explication à ces schémas que vous avez relevé d'une manière que j'ai trouvée assez unilatérale.
Les hommes ne sont naturellement pas plus confiants que les femmes. Ils ont historiquement toujours eu plus de place qu'elles, simplement. La "séduction" n'est pour moi qu'une manière déguisée de ranger les gens dans des cases selon des codes sociaux et des convenances afin d'avoir le contrôle sur les inégalités des sexes.
Heureusement, on se révolte aujourd'hui.
Vous pouvez ne pas être d'accord, nous n'avons pas la même expérience de la vie.

a écrit : Ce qui se passe dans votre milieu est réellement loin d'être majoritaire dans l'éducation des filles et des garçons, même si j'aimerais que cela le soit.
C'est normal qu'en tant qu'homme vous ne puissiez pas trop vous rendre compte de tout ça, car c'est les femmes qui remettent
tout ça en question ces derniers temps, par volonté de révolte contre un système qui nous empoisonne tous.te.s. par des stéréotypes de genres.
Mon commentaire avait pour but de vous indiquer qu'il existe peut être une autre explication à ces schémas que vous avez relevé d'une manière que j'ai trouvée assez unilatérale.
Les hommes ne sont naturellement pas plus confiants que les femmes. Ils ont historiquement toujours eu plus de place qu'elles, simplement. La "séduction" n'est pour moi qu'une manière déguisée de ranger les gens dans des cases selon des codes sociaux et des convenances afin d'avoir le contrôle sur les inégalités des sexes.
Heureusement, on se révolte aujourd'hui.
Vous pouvez ne pas être d'accord, nous n'avons pas la même expérience de la vie.
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C'est bien de se battre pour ses droits après faut pas se tromper de combat non plus. Être un homme ne rend pas aveugle ou inapte à juger de l'équité d'une situation. Chacun est libre de se comporter comme il le souhaite dans notre société et chacun devra assumer les conséquences de ses actes. Les hommes ne font pas les conventions sociales, la sociétés établie ces règles, la société définie la norme. Donc pète en public si tu le souhaites mais ne te plains pas d'être jugé d'après les normes en vigueur. Pour ce qui est de la séduction c'est pareil, tu peux refuser de jouer le jeu mais ne vient pas de plaindre que les hommes refusent de jouer ton jeu. Il ne t'appartient pas définir ce qui est séduisant et ce qui ne l'est pas.