Quelle différence entre sur place ou à emporter ?

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Vous êtes-vous déjà demandé si répondre "sur place" ou "à emporter" a une influence sur le prix de la nourriture ? La réponse est oui, car cela change le taux de TVA applicable : taux normal sur place (10%) et taux réduit (5,5%) pour la version à emporter. Cependant, la différence est rarement répercutée sur le prix final par le restaurateur.

Le restaurateur fait alors une marge plus importante si le client choisit à emporter.


Commentaires préférés (3)

Quand j'étais plus jeune c'était moins cher au Mac do quand on prenait à emporter. Du coup avec les potes on demandait à emporter et on allait se poser discrètement sur les tables du fond

Au risque de réveiller les trolls...
Les patrons de cafés/ restaurants, considérés à tort ou à raison comme prescripteurs d'opinion, sont toujours chouchoutés par le politique.
Cette guerre du "sur place/à emporter" a abouti en 2009 à la baisse de la TVA.
Bilan plus que mitigé.
www.capital.fr/economie-politique/la-tva-reduite-a-surtout-profite-aux-restaurateurs-pas-aux-clients-1290252
Inutile de brandir les fermetures récentes, les compensations/prêts garantis/conditions d'activité ont été parmi les plus favorables comparés aux autres secteurs d'activité recevant du public.

Ce n'est pas tant la différence de TVA non appliquée, qui augmentera la marge bénéficiaire du restaurateur, mais la suppression du service de salle.
C'est pourquoi le concept de "Dark kitchen" est en grande expansion actuellement... Et encore plus depuis la pandémie.

Dans une "Dark kitchen", la salle de restaurant a disparue. Toutes les dépenses liées à celle-ci n'existent donc pas: surface de vente, mobilier, vaisselle, lingerie, salaires des serveurs, du plongeur et cotisations sociales attenantes, toilettes, électricité, canon à la SACEM, etc...
Bref: si vous avez un local de 100m2, vous pouvez monter un restaurant de catégorie, mais à frais réduits.
Vous pouvez même agir comme s'il s'agissait de deux, trois, voire quatre restaurants distincts, effectuant de la vente à domicile, livrés par vos services ou sous-traité par des "Glovo, Delivero, etc". Le client n'y verra que du feu, croyant avoir affaire à plusieurs restaurants "traditionnels".
De votre 100m2, peut donc tout autant sortir de la cuisine Vietnamienne, Méditerranéenne, Péruvienne, fusion... sans problème majeur.
Vous pouvez même "sous-traiter" la préparation d'un restaurant de cuisine d'auteur, qui ne veut pas s'embêter à la vente à emporter. Certes, vous devrez lui payer des "royalties" sur vos ventes...

Mais de plus, vu qu'il n'y a plus de restaurant "physique"... Vous pouvez installer ce 100m2, dans la zone la moins chère de la ville ou même en zone industrielle... Bref, plus besoin de payer le prix fort, pour louer ou acheter, un "pignon sur rue" dans les beaux quartiers.

Si la vente "à emporter" ou "à domicile" fonctionne ? Oui. Incontestablement. La progression de ce concept est importante, actuellement... Tant qu'il n'y aura pas trop de concurrence sur le marché.
Ensuite, c'est la guerre des prix qui commencera... Et la marge bénéficiaire qui en prendra un coup.

Les Dark kitchen (du moins en Espagne. Je connais moins, en France) sont actuellement dans le collimateur des Services d'Inspection du Travail. Des "petits malins" pensent être "intouchables", même en ne déclarant pas le personnel de cuisine désespéré pour avoir un emploi... histoire d'augmenter la "marge bénéficiaire".


Tous les commentaires (69)

En réalité, la marge est souvent plus faible à emporter, en raison des coûts des emballages, eux aussi non répercutés.
Tout dépend évidemment du type de nourriture et d’emballage, mais un fast food a une marge supérieure sur place.

a écrit : En réalité, la marge est souvent plus faible à emporter, en raison des coûts des emballages, eux aussi non répercutés.
Tout dépend évidemment du type de nourriture et d’emballage, mais un fast food a une marge supérieure sur place.
J'aurais pensé l'inverse, en prenant un peu de recul sur l'organisation du resto:
Plus de plats à emporter => moins de besoin en personnel (service/plonge) => moins de salaires/charges patronales à payer.

a écrit : J'aurais pensé l'inverse, en prenant un peu de recul sur l'organisation du resto:
Plus de plats à emporter => moins de besoin en personnel (service/plonge) => moins de salaires/charges patronales à payer.
J'aurais pensé pareil, avec en plus le coût des locaux (si tous les clients Mc do mangeaient sur place, il faudrait plus d'espace et/ou refuser des clients)

Dans un Mc Do, (j'ai que ce référentiel et c'était à l'époque où il n'y avait pas les bornes automatiques) la marge etait la plus importante sur le drive, puis à emporter et enfin sur place.

Quand j'étais plus jeune c'était moins cher au Mac do quand on prenait à emporter. Du coup avec les potes on demandait à emporter et on allait se poser discrètement sur les tables du fond

Au risque de réveiller les trolls...
Les patrons de cafés/ restaurants, considérés à tort ou à raison comme prescripteurs d'opinion, sont toujours chouchoutés par le politique.
Cette guerre du "sur place/à emporter" a abouti en 2009 à la baisse de la TVA.
Bilan plus que mitigé.
www.capital.fr/economie-politique/la-tva-reduite-a-surtout-profite-aux-restaurateurs-pas-aux-clients-1290252
Inutile de brandir les fermetures récentes, les compensations/prêts garantis/conditions d'activité ont été parmi les plus favorables comparés aux autres secteurs d'activité recevant du public.

a écrit : Quand j'étais plus jeune c'était moins cher au Mac do quand on prenait à emporter. Du coup avec les potes on demandait à emporter et on allait se poser discrètement sur les tables du fond Techniquement tu l'emportes à ta table donc c'est bon. Ahah.

a écrit : Au risque de réveiller les trolls...
Les patrons de cafés/ restaurants, considérés à tort ou à raison comme prescripteurs d'opinion, sont toujours chouchoutés par le politique.
Cette guerre du "sur place/à emporter" a abouti en 2009 à la baisse de la TVA.
Bilan plus que mitigé.
ht
tps://www.capital.fr/economie-politique/la-tva-reduite-a-surtout-profite-aux-restaurateurs-pas-aux-clients-1290252
Inutile de brandir les fermetures récentes, les compensations/prêts garantis/conditions d'activité ont été parmi les plus favorables comparés aux autres secteurs d'activité recevant du public.
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Tu as raison pour la TVA. Mais il faut pas oublier qu ils doivent payer le RSI. Je ne connais pas le taux mais je sais que cette taxe leurs coûtes chers.
Cette baisse de TVA a sûrement compensé le RSI

En fait ce n’est pas vraiment ça. La TVA est à 5,5% si le produit vendu est à consommation différée et donc conservable. Les pizzas, glaces, sushi et burgers qui ,même si vendu à emporter, sont par nature à consommation immédiate ont une TVA à 10%. Ces produits composent la majorité des commandes à emporter d’un restaurant.

Ce n'est pas tant la différence de TVA non appliquée, qui augmentera la marge bénéficiaire du restaurateur, mais la suppression du service de salle.
C'est pourquoi le concept de "Dark kitchen" est en grande expansion actuellement... Et encore plus depuis la pandémie.

Dans une "Dark kitchen", la salle de restaurant a disparue. Toutes les dépenses liées à celle-ci n'existent donc pas: surface de vente, mobilier, vaisselle, lingerie, salaires des serveurs, du plongeur et cotisations sociales attenantes, toilettes, électricité, canon à la SACEM, etc...
Bref: si vous avez un local de 100m2, vous pouvez monter un restaurant de catégorie, mais à frais réduits.
Vous pouvez même agir comme s'il s'agissait de deux, trois, voire quatre restaurants distincts, effectuant de la vente à domicile, livrés par vos services ou sous-traité par des "Glovo, Delivero, etc". Le client n'y verra que du feu, croyant avoir affaire à plusieurs restaurants "traditionnels".
De votre 100m2, peut donc tout autant sortir de la cuisine Vietnamienne, Méditerranéenne, Péruvienne, fusion... sans problème majeur.
Vous pouvez même "sous-traiter" la préparation d'un restaurant de cuisine d'auteur, qui ne veut pas s'embêter à la vente à emporter. Certes, vous devrez lui payer des "royalties" sur vos ventes...

Mais de plus, vu qu'il n'y a plus de restaurant "physique"... Vous pouvez installer ce 100m2, dans la zone la moins chère de la ville ou même en zone industrielle... Bref, plus besoin de payer le prix fort, pour louer ou acheter, un "pignon sur rue" dans les beaux quartiers.

Si la vente "à emporter" ou "à domicile" fonctionne ? Oui. Incontestablement. La progression de ce concept est importante, actuellement... Tant qu'il n'y aura pas trop de concurrence sur le marché.
Ensuite, c'est la guerre des prix qui commencera... Et la marge bénéficiaire qui en prendra un coup.

Les Dark kitchen (du moins en Espagne. Je connais moins, en France) sont actuellement dans le collimateur des Services d'Inspection du Travail. Des "petits malins" pensent être "intouchables", même en ne déclarant pas le personnel de cuisine désespéré pour avoir un emploi... histoire d'augmenter la "marge bénéficiaire".

Il y a quelques années de cela, je prends un café a Neuilly/seine.
J’avais simplement envie de pisser mais, consommation oblige ( ce que je peux comprendre !)
Le barman :
A table ou au comptoir ?
Moi:
A table ( reponse rapide, vessie critique)
Résultat, 4€ le café assis contre 1,20€ au bar..
C’était sur place dans les deux cas.. et moi qui croyais que c’était la TVA :-)

a écrit : Au risque de réveiller les trolls...
Les patrons de cafés/ restaurants, considérés à tort ou à raison comme prescripteurs d'opinion, sont toujours chouchoutés par le politique.
Cette guerre du "sur place/à emporter" a abouti en 2009 à la baisse de la TVA.
Bilan plus que mitigé.
ht
tps://www.capital.fr/economie-politique/la-tva-reduite-a-surtout-profite-aux-restaurateurs-pas-aux-clients-1290252
Inutile de brandir les fermetures récentes, les compensations/prêts garantis/conditions d'activité ont été parmi les plus favorables comparés aux autres secteurs d'activité recevant du public.
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Le poids du Tourisme dans l'Economie Francaise, est loin d'être négligeable.
Les Hôteliers-Restaurateurs se sont tout de même fait "taper sur les doigts" dernièrement, de par leur politique de bas salaires.
De toute manière, de gré ou de force, les salaires du secteur augmentent actuellement. Le manque de vocations et de personnel saisonnier... Conduit à une catastrophe (manque réelle de personnel) dans les stations de sport d'hiver.
... Et le problème est encore loin de se résorber. L'été 2022 sera tout autant catastrophique pour trouver du personnel.
La première cause de cette défection est un peu surprenante... Mais réelle.
Le manque de logements pour ce personnel temporaire.
Où les municipalités, départements et régions prennent LE problème à bras le corps, où ceci ne s'améliorera pas.

a écrit : Au risque de réveiller les trolls...
Les patrons de cafés/ restaurants, considérés à tort ou à raison comme prescripteurs d'opinion, sont toujours chouchoutés par le politique.
Cette guerre du "sur place/à emporter" a abouti en 2009 à la baisse de la TVA.
Bilan plus que mitigé.
ht
tps://www.capital.fr/economie-politique/la-tva-reduite-a-surtout-profite-aux-restaurateurs-pas-aux-clients-1290252
Inutile de brandir les fermetures récentes, les compensations/prêts garantis/conditions d'activité ont été parmi les plus favorables comparés aux autres secteurs d'activité recevant du public.
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Bonjour
L'idée était surtout de mieux payer des employé qui commence à 9h le matin et termine a minuit le soir, plus personne ne veut travailler dans ce secteur car il y as beaucoup de contraintes effectivement la restauration as été aider pendant la crise mais là où tout le monde se plaint d un manque de travail en France nous accusons un manque de personnel qui se compte par dizaine de milliers de poste et les rangs restant ont encore fondu pendant la crise car les hôteliers ont goûter au soirée et weekend en famille et arrêter de travailler 12h/jour avec des journée de repos fragmentée il est compliquer de trouver du personnel et si l état n aide pas ce secteur d une part plus personne ne trouveras de restaurant ou de bistrot ouvert mais en plus pôle emplois vas voir grimper en flèche ses adhésions. Pour une fois que ce sont les actifs qui sont "aider" cela n as été simple pour personne mais entre la réduction de salaire et les repas qui sont normalement compris dans notre branche l impacte mensuel était énorme

a écrit : Bonjour
L'idée était surtout de mieux payer des employé qui commence à 9h le matin et termine a minuit le soir, plus personne ne veut travailler dans ce secteur car il y as beaucoup de contraintes effectivement la restauration as été aider pendant la crise mais là où tout le monde se plaint d un manque de t
ravail en France nous accusons un manque de personnel qui se compte par dizaine de milliers de poste et les rangs restant ont encore fondu pendant la crise car les hôteliers ont goûter au soirée et weekend en famille et arrêter de travailler 12h/jour avec des journée de repos fragmentée il est compliquer de trouver du personnel et si l état n aide pas ce secteur d une part plus personne ne trouveras de restaurant ou de bistrot ouvert mais en plus pôle emplois vas voir grimper en flèche ses adhésions. Pour une fois que ce sont les actifs qui sont "aider" cela n as été simple pour personne mais entre la réduction de salaire et les repas qui sont normalement compris dans notre branche l impacte mensuel était énorme Afficher tout
L'hôtellerie-Restauration n'est d'ailleurs pas le seul secteur en crise de vocation: le commerce, l'agriculture saisonnière et les PME de l'Industrie, commencent aussi à ressentir le coup. La faute est invariable: le manque de logements.
Plusieurs raisons à celà: un parc locatif saisonnier bien trop cher pour des petits salaires.
Un potentiel locatif "chez l'habitant" pour ces travailleurs saisonniers,, qui est maintenant passé en offre sur des sites type Airbnb.
Un exode urbain (surtout depuis la région parisienne) dû à la réaction face à la Pandémie. Le phénomène est actuellement important dans le grand Sud-Ouest, où les prix de l'immobilier flambent.

a écrit : Il y a quelques années de cela, je prends un café a Neuilly/seine.
J’avais simplement envie de pisser mais, consommation oblige ( ce que je peux comprendre !)
Le barman :
A table ou au comptoir ?
Moi:
A table ( reponse rapide, vessie critique)
Résultat, 4€ le café assis contre 1,20€
au bar..
C’était sur place dans les deux cas.. et moi qui croyais que c’était la TVA :-)
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Tout dépend si tu pisses assis ou debout....

a écrit : Le poids du Tourisme dans l'Economie Francaise, est loin d'être négligeable.
Les Hôteliers-Restaurateurs se sont tout de même fait "taper sur les doigts" dernièrement, de par leur politique de bas salaires.
De toute manière, de gré ou de force, les salaires du secteur augmentent actu
ellement. Le manque de vocations et de personnel saisonnier... Conduit à une catastrophe (manque réelle de personnel) dans les stations de sport d'hiver.
... Et le problème est encore loin de se résorber. L'été 2022 sera tout autant catastrophique pour trouver du personnel.
La première cause de cette défection est un peu surprenante... Mais réelle.
Le manque de logements pour ce personnel temporaire.
Où les municipalités, départements et régions prennent LE problème à bras le corps, où ceci ne s'améliorera pas.
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Je sais...
De puissance industrielle, la France a rejoint les pays club med sans que les politiques ne l'admettent dans leur narrative.
Et oui, conditions de travail et salaires décents vont devenir un enjeu de survie pour ce secteur devenu vital pour le pays => 6% du PIB.
Il faut dire aussi que ce secteur a longtemps été un cancre en matière de travail dissimulé.
Même si des progrès notables sont constatés.
foodandsens.com/non-classe/travail-au-noir-lhotellerie-restauration-encore-montree-du-doigt/
La fermeture des frontières/ restrictions de déplacements a d'ailleurs montré indirectement l'importance du phénomène.
Comme les exploitations agricoles.

a écrit : Je sais...
De puissance industrielle, la France a rejoint les pays club med sans que les politiques ne l'admettent dans leur narrative.
Et oui, conditions de travail et salaires décents vont devenir un enjeu de survie pour ce secteur devenu vital pour le pays => 6% du PIB.
Il faut dire aussi
que ce secteur a longtemps été un cancre en matière de travail dissimulé.
Même si des progrès notables sont constatés.
foodandsens.com/non-classe/travail-au-noir-lhotellerie-restauration-encore-montree-du-doigt/
La fermeture des frontières/ restrictions de déplacements a d'ailleurs montré indirectement l'importance du phénomène.
Comme les exploitations agricoles.
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Attention !
Le secteur Touristique Français, montre des signes d'essoufflement, car il n'est plus compétitif en matière de prix.
Augmenter les salaires du personnel, va irrémédiablement se répercuter sur les prix de vente... que se soit pour le touriste étranger ou le client local. La valse des étiquettes (qui existe déjà sur les matières premières alimentaires) va inévitablement se répercuter dans l'inflation... Et donc le pouvoir d'achat de tout un chacun.

Tant que le Gouvernement (celui-ci ou le suivant, peu importe) ne s'attelera pas à casser le Modèle de surprotection Sociale existant en France, le résolution du problème est chimérique.
Nous avons encore une politique qui favorise l'inactivité du travailleur actif, conduisant au mode de pensée "à ce salaire là (en net, pas en brut) ni je me lève du lit".

a écrit : Attention !
Le secteur Touristique Français, montre des signes d'essoufflement, car il n'est plus compétitif en matière de prix.
Augmenter les salaires du personnel, va irrémédiablement se répercuter sur les prix de vente... que se soit pour le touriste étranger ou le client local. La valse de
s étiquettes (qui existe déjà sur les matières premières alimentaires) va inévitablement se répercuter dans l'inflation... Et donc le pouvoir d'achat de tout un chacun.

Tant que le Gouvernement (celui-ci ou le suivant, peu importe) ne s'attelera pas à casser le Modèle de surprotection Sociale existant en France, le résolution du problème est chimérique.
Nous avons encore une politique qui favorise l'inactivité du travailleur actif, conduisant au mode de pensée "à ce salaire là (en net, pas en brut) ni je me lève du lit".
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Tu prends un exemple extrême d'un travailleur vraiment flemmard, car ton travailleur a même la flemme de mettre un deuxième "ni" dans sa phrase !

a écrit : Tu prends un exemple extrême d'un travailleur vraiment flemmard, car ton travailleur a même la flemme de mettre un deuxième "ni" dans sa phrase ! Où ça ?...

(Visiblement, j'ai écrit une "coquille"..)

a écrit : Attention !
Le secteur Touristique Français, montre des signes d'essoufflement, car il n'est plus compétitif en matière de prix.
Augmenter les salaires du personnel, va irrémédiablement se répercuter sur les prix de vente... que se soit pour le touriste étranger ou le client local. La valse de
s étiquettes (qui existe déjà sur les matières premières alimentaires) va inévitablement se répercuter dans l'inflation... Et donc le pouvoir d'achat de tout un chacun.

Tant que le Gouvernement (celui-ci ou le suivant, peu importe) ne s'attelera pas à casser le Modèle de surprotection Sociale existant en France, le résolution du problème est chimérique.
Nous avons encore une politique qui favorise l'inactivité du travailleur actif, conduisant au mode de pensée "à ce salaire là (en net, pas en brut) ni je me lève du lit".
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"surprotection sociale" ? Sur de toi ?

youtu.be/rnu9e1ft5qw