Une clochette pour les morts

Proposé par
Etienne
le

Au Moyen-Âge, l'une des plus grandes peur était d'être enterré vivant. De ce fait, les plus fortunés demandaient à se faire inhumer avec un dispositif accroché aux doigts et relié à une clochette à la surface, de telle sorte qu'ils puissent prévenir en cas de réveil.


Commentaires préférés (3)

J'ai également entendu dire que les croques-morts s'appelait ainsi car ils mordaient les personnes présumées mortes pour s'assurer qu'elles l'était effectivement. En effet, si elles ne l'étaient pas, elles étaient censé ce réveiller sous la douleur.

Posté le

unknown

(562)

Répondre

D'ailleurs une femme croque-mort dans le passé aurait eu affaire à un cul de jatte ... Depuis on parle de "pompe funèbre" ...

Posté le

unknown

(635)

Répondre

Jusqu'en 1905, une loi française comportait l'article suivant - qui est d'un rare bon sens- : "Pour qu'une personne puisse être inhumée, il faut d'abord qu'elle soit morte"

Posté le

unknown

(611)

Répondre


Tous les commentaires (81)

Je ne sais pas si cette anecdote est vraie mais il s'avère que de nombreux cercueils de l'époque ont été découverts grattés à l'intérieur....

Posté le

unknown

(176)

Répondre

Oui mtn il nous gaufrais une radio relier a la terre bel et bien vivante xd

Posté le

unknown

(0)

Répondre

J'ai également entendu dire que les croques-morts s'appelait ainsi car ils mordaient les personnes présumées mortes pour s'assurer qu'elles l'était effectivement. En effet, si elles ne l'étaient pas, elles étaient censé ce réveiller sous la douleur.

Posté le

unknown

(562)

Répondre

D'accord avec Birmania, les fautes en moins ;-)

Posté le

unknown

(0)

Répondre

A savoir que les croque-morts mordaient le gros orteil qui s'avère être hyper douloureux. Et cette pratique de se faire accrocher un dispositif "d'alarme" consistait en un fil relié à une clochette à l'extérieur de la tombe était réservé non pas aux plus riches mais aux morts "sans raison apparente". La mise au point de ce système a été réalisée dans un premier temps en Charente maritime vers 1530 puis s'est peu à peu rependu jusqu'en 1820. Finalement ce système a été abandonné fin XIX' siècle avec les progrès de diagnostique de la mort encore en usage de nos jours.

Posté le

unknown

(102)

Répondre

@ Birmania : les croques morts mordaient les doights de pieds des personnes présumer mortes pour savoir si elles étaient bien mortes... Sacré boulot !

Posté le

unknown

(5)

Répondre

D'ailleurs une femme croque-mort dans le passé aurait eu affaire à un cul de jatte ... Depuis on parle de "pompe funèbre" ...

Posté le

unknown

(635)

Répondre

Jusqu'en 1905, une loi française comportait l'article suivant - qui est d'un rare bon sens- : "Pour qu'une personne puisse être inhumée, il faut d'abord qu'elle soit morte"

Posté le

unknown

(611)

Répondre

Je crois moi que les croques morts s'appellent comme ça parce que croquer avait plus un sens de faire disparaitre à l'époque. Ainsi, les croques morts étaient ceux qui faisaient disparaitre les morts.

Posté le

unknown

(0)

Répondre

Croque-mort vien de la croque un crocher de boucher que l on a utilisé durant la grande peste pour déplacé les morts contagieux rien a voir avec les orteilles je le sais je suis croque-mort.

Posté le

unknown

(73)

Répondre

Andersen, auteur de contes, avait la phobie d'être entérré vivant. Chaque soir il déposait au pied de son lit un billet écrit de sa main "je donne seulement l'impression d'être mort".

Posté le

unknown

(72)

Répondre

De plus, il était coutume (me semble t il) de croquer l'orteil du défunt de façon a vérifier son décès, d'où le terme de croque-mort qui reste encore aujourd'hui .

Posté le

unknown

(0)

Répondre

Comme le dit iM@x, la légende tenace de mordre l'orteil a donné une mauvaise image de la personne des pompes funèbres chargée de laver le corps des défunts. Il s'agit de "croquer", au sens de faire disparaître, cacher.

Posté le

unknown

(25)

Répondre

Les plus riches restaient 2 a 3 jours sans être enterrée, par peur d'etre enterrée vivant.

Posté le

unknown

(7)

Répondre

C'est d'ailleurs évoque dans la légende de Bloodymary,assez repandu au Quebec.

Posté le

unknown

(13)

Répondre

Ils avaient tellement peur de mourrit qu ils dormaient assis car la position allongée était 'réservée' aux morts. Je ne sais plus à quelle époque .

Posté le

unknown

(18)

Répondre