En Chine, votre carrière se joue au baccalauréat

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En Chine, le Gaokao est l'examen qui permet (ou non) aux élèves de poursuivre leurs études à l'université. Le niveau est à peu près équivalent au bac, mais le nombre de points obtenus conditionne entièrement la suite des études : sous un certain seuil, les études supérieures ne sont pas permises. A l'inverse, les élèves ayant obtenu les meilleurs scores pourront intégrer de prestigieuses universités.


Tous les commentaires (52)

a écrit : En quoi cela differe du bac ??? Avec parcoursup un gars avec 12 peut passer devant un gars à 16 , c'est la magie de parcoursup

a écrit : Avec parcoursup un gars avec 12 peut passer devant un gars à 16 , c'est la magie de parcoursup Bon, après, j'ai déjà vu des élèves qui se contentaient de 12 de moyenne générale, sauf en maths où ils avaient 18, uniquement parce que c'étaient des feignasses. Et pour le coup, ils étaient bien plus brillants que ceux qui avaient 16 de moyenne générale, en travaillant à fond. Et j'ai des élèves qui ont 18 de moyenne en maths qui méritent peut-être d'aller en prépa, mais qui vont exploser en plein vol, alors que j'en ai régulièrement 2 ou 3 qui ont 14 de moyenne sans se fouler, et qui ont un esprit très critique et brillant...qui pourraient exceller en prépa.

En gros, les informations chiffrées avec uniquement des moyennes dans des matières plus ou moins importantes n'est pas le plus important selon moi quand on recrute quelqu'un dans le supérieur.
Ce qui est important c'est : est-ce que cet élève sait rebondir, et est-ce qu'il en a encore sous la pédale ?

Je n'arrive toujours pas à savoir si je suis contre Parcoursup. Ce que je sais, c'est que j'en ai marre de voir des gens vouloir faire psycho-socio ou médecine alors que c'est bouché...tandis qu'on n'arrive plus à remplir des classes de prépa, et que les bancs de la fac de maths sont quasiment vides.

a écrit : Pourquoi on devrait être obligé d'avoir une montagne de connaissances dont on se fout comme de l'an 40? Pourquoi on devrait connaitre les mathématiques pour avoir un diplome pour avoir le droit d'ouvrir un salon de coiffure??? (désolé Agathe, je ne te vise pas)
Pourquoi il faut obligatoirement conn
aitre l'anglais pour conduire un camion? (coefficient 7 en BEP conduite routière!!!)

Je vais me démerder, quoi, j'ai pas besoin de comprendre le théoème de Pythagore pour faire un élevage de poules, faut juste donner a manger aux poules et avoir un BEP agriculture moyenne générale en Anglais y compris en mathématiques.

-Cock-a-doodle Doo?
-Cocorico²!

Sans déconner... et pour faire le ménage, il faut quoi, BAC+2 en aspirateur et balai a franges? On en est la hein...

-ILRESTE UNE TACHE!!!
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Mais Nico, moi je suis d'accord avec toi !
J'ai parlé de réformer les facs, ce qui serait bien aussi serait de réformer réellement le secondaire !
Il faudrait un système un peu comme en Allemagne, où il y a 3 bac différents, mais tous les 3 très respectés. Ce ne sont pas des voies mal vues, pas respectées comme en France.

Et il faudrait que la société change d'état d'esprit. Il ne faut pas avoir honte d'envoyer son enfant en CAP coiffure, ou lui faire apprendre le métier de chaudronnier, ou autre. Et il ne faudrait pas que les profs envoient systématiquement les mauvais dans ces voies ! Il y a des enfants qui sont brillants et qui s'épanouissent bien plus en utilisant des outils qu'en utilisant un stylo.

M'enfin, changer les mentalités...c'est difficile.

a écrit : Mouais, je partage pas totalement ton analyse.
On a tendance à ériger un schéma comme étant l'accomplissement ultime : bon résultat scolaire -> bonne université -> profession intellectuelle.
Mais avec ça, tout le monde a le même objectif, mais peu de monde peuvent l'atteindre, ceux qui ne
l'atteignent pas sont frustrés et une bonne partie de ceux qui l'atteignent se rendent compte que ça ne les rends pas heureux. Notre société donnele même idéal a tout le monde, c'est dommage.
Alors que des professions "méprisés" typiquement les professions manuelles sont de grandes sources d'accomplissement et offre un revenu plus qu'acceptable.

Je pense que l'école devrait remplir deux objectifs : offrir les bases culturelles et intellectuelles nécessaires à l'exercice démocratique (histoire, philosophie, économie, science etc.). Et l'exploration d'activités permettant un futur choix éduqué d'activité professionnelle.
Pour ce dernier point ce serait bien d'avoir des cours (plus dans le sens d'activité récurrente) de menuiserie, de bricolage en général, de cuisine, de navigation si t'es en bord de mer etc.
Et puis faut surtout changer la mentalité. Les lycés pros sont moins considérés que les généraux etc.

Je ne pense pas que l'école telle qu'elle était lors de mon passage remplissait ces objectifs.
Ce n'est que mon avis.
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Je pense que l’analyse est bonne.
Et c’est précisément parce qu’on n’a pas besoin de citoyens qui réfléchissent par eux-mêmes que le sabotage de l’institution est à l’œuvre.
Il suffit de produire de bons électeurs qui savent en gris lire et écrire.
Pour la réflexion, ils regarderont la TV et voteront comme on leur dira (Toqueville)

a écrit : Je pense que l’analyse est bonne.
Et c’est précisément parce qu’on n’a pas besoin de citoyens qui réfléchissent par eux-mêmes que le sabotage de l’institution est à l’œuvre.
Il suffit de produire de bons électeurs qui savent en gris lire et écrire.
Pour la réflexion, ils regarderont la TV et votero
nt comme on leur dira (Toqueville) Afficher tout
-Fais ce que je te dis et ne fais pas ce que je fais

C'est ça?

J'avoue que je suis assez d'accord, en vrai, ca matchait (je voulais écrire "marchait" mais j'aime bien la faute de frappe^^) bien avant, quand les informations étaient unilatérales, le haut de la pyramide n'aime pas que le bas réfléchisse, et ce qui est dramatique dans notre affaire, c'est que le haut essaie d'expliquer aux instit comment ils doivent faire leur travail, ...

Ca ne peut pas marcher

Il n'y a pas de sabotage de(s) institutions, il n'y a que la vérité, si nos systèmes se cassent la gueule, ce n'est pas par mauvaise volonté de vouloir mieux faire, c'est parce que ca ne fonctionne plus.

On m'a collé a 14 ans dans un "Institut de Rééducation Psychothérapeutique", et on m'a reproché que ca coutait une blinde, mais merde, moi j'avais rien demandé, je voulais juste qu'on me foute la paix... Qu'on me laisse penser ce que je veux,
Y'en a, il est impossible de les formater, de les transformer en bonnes petites fourmis bien obéissantes, ce n'est pas pour autant que ces "renégats" sont dangereux pour la société, et c'est ca que le haut de la pyramide n'arrive pas à comprendre... chacun(e) doit trouver sa place, mais pas de force, MERDOUM!!! ^^

a écrit : Bon, après, j'ai déjà vu des élèves qui se contentaient de 12 de moyenne générale, sauf en maths où ils avaient 18, uniquement parce que c'étaient des feignasses. Et pour le coup, ils étaient bien plus brillants que ceux qui avaient 16 de moyenne générale, en travaillant à fond. Et j'ai des élèves qui ont 18 de moyenne en maths qui méritent peut-être d'aller en prépa, mais qui vont exploser en plein vol, alors que j'en ai régulièrement 2 ou 3 qui ont 14 de moyenne sans se fouler, et qui ont un esprit très critique et brillant...qui pourraient exceller en prépa.

En gros, les informations chiffrées avec uniquement des moyennes dans des matières plus ou moins importantes n'est pas le plus important selon moi quand on recrute quelqu'un dans le supérieur.
Ce qui est important c'est : est-ce que cet élève sait rebondir, et est-ce qu'il en a encore sous la pédale ?

Je n'arrive toujours pas à savoir si je suis contre Parcoursup. Ce que je sais, c'est que j'en ai marre de voir des gens vouloir faire psycho-socio ou médecine alors que c'est bouché...tandis qu'on n'arrive plus à remplir des classes de prépa, et que les bancs de la fac de maths sont quasiment vides.
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À mon époque, années 80 au collège, seule la moyenne générale comptait pour passer en classe supérieure. Par exemple, j'avais 18 de moyenne en math et la même en physique (hormis les 0 pointés pour devoirs non rendus ^^)... sans me forcer. Mais ma moyenne générale était catastrophique tellement je ne m'intéressais pas aux autres matières. La pire étant le français.
C'est comme ça que je me suis retrouvé en CPPN (Classe Pré-Professonnelle de Niveau réservée aux situations d'échecs scolaire) après avoir fait deux 6ème et deux 5ème.

Je ne sais pas où ç'en est aujourd'hui mais n'était-ce pas dommage de ne pas savoir déceler les facilités d'un élève dans certaines matières et l'orienter vers des classes plus spécialisées dès le collège ? Bon, à l'époque, il n'y avait pas autant de BAC, spécialisés ou non, qu'aujourd'hui. Le mien aurait été le C.

Pourquoi ne pas faire un peu comme à la fac dès le collège ? Par exemple, avoir math et français (philo ?) "allégés" obligatoires et avoir n modules obligatoires parmi un panel important que l'élève choisirai selon ses préférences/facilités ?
Dans mon cas, j'aurais certainement choisi math (plus poussée), physique et chimie, et je n'aurai pas été en échec scolaire... ;)

a écrit : À mon époque, années 80 au collège, seule la moyenne générale comptait pour passer en classe supérieure. Par exemple, j'avais 18 de moyenne en math et la même en physique (hormis les 0 pointés pour devoirs non rendus ^^)... sans me forcer. Mais ma moyenne générale était catastrophique tellement je ne m'intéressais pas aux autres matières. La pire étant le français.
C'est comme ça que je me suis retrouvé en CPPN (Classe Pré-Professonnelle de Niveau réservée aux situations d'échecs scolaire) après avoir fait deux 6ème et deux 5ème.

Je ne sais pas où ç'en est aujourd'hui mais n'était-ce pas dommage de ne pas savoir déceler les facilités d'un élève dans certaines matières et l'orienter vers des classes plus spécialisées dès le collège ? Bon, à l'époque, il n'y avait pas autant de BAC, spécialisés ou non, qu'aujourd'hui. Le mien aurait été le C.

Pourquoi ne pas faire un peu comme à la fac dès le collège ? Par exemple, avoir math et français (philo ?) "allégés" obligatoires et avoir n modules obligatoires parmi un panel important que l'élève choisirai selon ses préférences/facilités ?
Dans mon cas, j'aurais certainement choisi math (plus poussée), physique et chimie, et je n'aurai pas été en échec scolaire... ;)
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En fait ça serait super bien, mais ça coûterait extrêmement cher, et pas possible de faire ça dans de petits établissements. Car les profs coûtent très cher à l'État. Il y a quelques temps j'ai postulé pour donner des heures de BTS dans un autre établissement. Et on m'a dit que j'avais le profil idéal, mais que je coûtais trop cher, car agrégée. Car les EDT sont très très difficiles à organiser, surtout que les profs ont leur petites exigences... (j'en connais un qui n'a pas travaillé un lundi ni un vendredi depuis des années. Il modifie l'EDT à sa guise dès qu'il obtient son EDT, afin d'avoir des week-end de 4 jours. Et personne ne lui dit jamais rien. Par exemple)

a écrit : En fait ça serait super bien, mais ça coûterait extrêmement cher, et pas possible de faire ça dans de petits établissements. Car les profs coûtent très cher à l'État. Il y a quelques temps j'ai postulé pour donner des heures de BTS dans un autre établissement. Et on m'a dit que j'avais le profil idéal, mais que je coûtais trop cher, car agrégée. Car les EDT sont très très difficiles à organiser, surtout que les profs ont leur petites exigences... (j'en connais un qui n'a pas travaillé un lundi ni un vendredi depuis des années. Il modifie l'EDT à sa guise dès qu'il obtient son EDT, afin d'avoir des week-end de 4 jours. Et personne ne lui dit jamais rien. Par exemple) Afficher tout J'ai mis un peu de temps à traduire EDT ^^

Après, c'est votre soupe interne. Dès l'instant que derrière, l'élève n'en subit pas les conséquences.
Je travaille dans le secteur hospitalier et ce genre de pratique est courante sans que le patient n'en souffre.

L'idée que j'avais était de réformer complètement l'enseignement secondaire.
Chaque classe serait dédiée à une matière.
Par exemple, telle classe = français allégé. De 8h à 9h => 6ème, de 9h à 10h => 5ème, etc. Idem pour toutes les matières.
Aux profs de s'organiser pour occuper le calendrier et aux élèves de faire leur propres EDT afin de respecter les modules choisis.

Tu vois l'idée... ;)

a écrit : À mon époque, années 80 au collège, seule la moyenne générale comptait pour passer en classe supérieure. Par exemple, j'avais 18 de moyenne en math et la même en physique (hormis les 0 pointés pour devoirs non rendus ^^)... sans me forcer. Mais ma moyenne générale était catastrophique tellement je ne m'intéressais pas aux autres matières. La pire étant le français.
C'est comme ça que je me suis retrouvé en CPPN (Classe Pré-Professonnelle de Niveau réservée aux situations d'échecs scolaire) après avoir fait deux 6ème et deux 5ème.

Je ne sais pas où ç'en est aujourd'hui mais n'était-ce pas dommage de ne pas savoir déceler les facilités d'un élève dans certaines matières et l'orienter vers des classes plus spécialisées dès le collège ? Bon, à l'époque, il n'y avait pas autant de BAC, spécialisés ou non, qu'aujourd'hui. Le mien aurait été le C.

Pourquoi ne pas faire un peu comme à la fac dès le collège ? Par exemple, avoir math et français (philo ?) "allégés" obligatoires et avoir n modules obligatoires parmi un panel important que l'élève choisirai selon ses préférences/facilités ?
Dans mon cas, j'aurais certainement choisi math (plus poussée), physique et chimie, et je n'aurai pas été en échec scolaire... ;)
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"Classe Pré-Professonnelle de Niveau réservée aux situations d'échecs scolaire"

Oh pinaise, ils t'ont pas raté, toi... Pire que ça, c'est la voie de garage, mécanique simplifiée VEE (Vis Et Ecrous)^^
Ravi que tu te sois bien démerdé, sincèrement! ;)

a écrit : J'ai mis un peu de temps à traduire EDT ^^

Après, c'est votre soupe interne. Dès l'instant que derrière, l'élève n'en subit pas les conséquences.
Je travaille dans le secteur hospitalier et ce genre de pratique est courante sans que le patient n'en souffre.

L'idée que j'avais était de réformer complètement l'enseignement secondaire.
Chaque classe serait dédiée à une matière.
Par exemple, telle classe = français allégé. De 8h à 9h => 6ème, de 9h à 10h => 5ème, etc. Idem pour toutes les matières.
Aux profs de s'organiser pour occuper le calendrier et aux élèves de faire leur propres EDT afin de respecter les modules choisis.

Tu vois l'idée... ;)
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Eh oui mais ca marche pas comme ça, tu comprends, les emplois du temps, c'est hachement compliqué, il faudrait faire un algorithme, ca éviterait les trous... les permanences, pardon... ^^

Plus sérieusement, je suis d'accord, A quoi ca sert de demander à un gamin ce qu'il veut faire comme métier à 10 ans quand il en aura 20 si c'est pour l'enfoncer parce qu'il est nul en français (ca marche encore comme ça, hein, la moyenne générale, je te rassure)
En primaire, bon, ça va, il faut des points d'appui, mais à partir du collège, il faudrait au moins des semaines de stage, genre 10 par an... histoire de goûter un peu à tout, on fait bien ça avec la bouffe, pourquoi on le fait pas avec l'avenir pro?! ...

Je déteste l'électronique, mais ca, avant de faire un stage d'une semaine à nettoyer du café renversé sur des circuits imprimés avec un coton-tige, je ne le savais pas... °)

a écrit : "Classe Pré-Professonnelle de Niveau réservée aux situations d'échecs scolaire"

Oh pinaise, ils t'ont pas raté, toi... Pire que ça, c'est la voie de garage, mécanique simplifiée VEE (Vis Et Ecrous)^^
Ravi que tu te sois bien démerdé, sincèrement! ;)
En CPPN, on te faisait toucher à quatre métiers. Ayant émis le souhait de devenir électromécanicien, j'ai été dirigé dans un LEP vers les métiers du bâtiment et j'ai touché à la peinture, la maçonnerie, la menuiserie et à ce qui se rapproche le plus de mon souhait, l'électricité.
À la fin, chaque prof souhaitait que je choisisse leur discipline.

Cette classe m'a quand même servi à préférer la menuiserie à l'électricité. J'ai obtenu à 17 ans mon CAP en alternance de menuisier du bâtiment et d'agencement en deux ans dans un CFA et j'ai terminé dixième de ma région, excusez du peu ;)
Aujourd'hui, l'alternance peu me faire bénéficier d'une carrière longue pour ma retraite. Qu'en sera-t-il demain ?

C'est après 17 années de pratique dans un CHU que j'ai décidé de passer un DAEU/B (équivalent bac S) puis une licence MMI (Math, Mécanique (branche de la physique) et Informatique).

Voilà, tu as mon CV ^^

a écrit : Eh oui mais ca marche pas comme ça, tu comprends, les emplois du temps, c'est hachement compliqué, il faudrait faire un algorithme, ca éviterait les trous... les permanences, pardon... ^^

Plus sérieusement, je suis d'accord, A quoi ca sert de demander à un gamin ce qu'il veut faire comme mé
tier à 10 ans quand il en aura 20 si c'est pour l'enfoncer parce qu'il est nul en français (ca marche encore comme ça, hein, la moyenne générale, je te rassure)
En primaire, bon, ça va, il faut des points d'appui, mais à partir du collège, il faudrait au moins des semaines de stage, genre 10 par an... histoire de goûter un peu à tout, on fait bien ça avec la bouffe, pourquoi on le fait pas avec l'avenir pro?! ...

Je déteste l'électronique, mais ca, avant de faire un stage d'une semaine à nettoyer du café renversé sur des circuits imprimés avec un coton-tige, je ne le savais pas... °)
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Ou imposer à un élève qui se destine à une carrière littéraire ou sociale de savoir dériver une fonction...

J'ai vécu ça aussi, un stage inutile. Ayant choisi devenir électromécanicien, on m'a envoyé faire un stage de 3 semaines en ... menuiserie, dans une boîte fabriquant des vitrines réfrigérées où j'ai repeins les bureaux !!!
Le statut de stagiaire en menuiserie t'interdisait de toucher à un quelconque outil. Alors, plutôt que ne rien faire (pas de smartphone à l'époque) j'ai apprécié de peindre ;)