À la fin du XVIIIe siècle, la "Grande Renonciation masculine" vit les hommes abandonner vêtements colorés et ornés pour des tenues sobres et sombres. Ce changement durable reflétait les valeurs bourgeoises de simplicité, opposant une mode masculine austère à la féminité restée flamboyante. Ce phénomène marqua une rupture culturelle majeure dans l'histoire de la mode.
Théorisée en 1930 par John Carl Flügel, cette transition symbolise l'émergence d'une nouvelle éthique valorisant la rationalité et la modestie, face à la frivolité perçue des ornements. Les costumes sombres devinrent la norme pour les hommes, tandis que la mode féminine conservait ses couleurs vives et ses détails luxueux.
Commentaires préférés (3)
Pour rappel, dans la nature, c'est l'inverse :
à Monsieur les attributs les plus exubérants possibles pour séduire Madame, quand Madame reste la plus discrète possible pour éviter les prédateurs, dans le souci de la perpétuation de l'espèce ;)
Ben dis donc jamais vu autant de vote négatifs sur les commentaires, les rapports femmes-hommes sont un sujets visiblement très sensible
Tous les commentaires (23)
L'homme serait-il devenu plus mâture que la femme ?! ;/ ^^
La responsabilité n'est clairement pas naturellement l'apanage du genre masculin ;)
De plus, il est - et ont été bien des hommes dont la vie matrimoniale témoigne contre cette assertion bien "cliché".
Par ailleurs, le travail à la maison est toujours aujourd'hui non rémunéré et non valorisé - quoiqu'on a une petite idée de cette valeur (confère l'épisode de DataGueule relatif au PIB paru il y a quelques jours).
Bon dimanche éveillé, salutations d'un "woke" assumé :D
Pour rappel, dans la nature, c'est l'inverse :
à Monsieur les attributs les plus exubérants possibles pour séduire Madame, quand Madame reste la plus discrète possible pour éviter les prédateurs, dans le souci de la perpétuation de l'espèce ;)
La théorisation en 1930 d'un mouvement datant de 300 ans auparavant...
Et la théorie de la relation domestique du couple ramenée à du salariat...
drôle d’anecdote, pas clivante du tout
Je suis un homme et je relate simplement ce que je vois dans le pays dans lequel je réside.
Je pourrais répondre et te démontrer de plusieurs façons qu'il n'en est rien, au contraire même, mais je perdrais énormément de temps en texte, recherche, et autre, pour de toute façon n'aboutir à rien.
Bonne journée donc
Ben dis donc jamais vu autant de vote négatifs sur les commentaires, les rapports femmes-hommes sont un sujets visiblement très sensible
Allons allons, calmons nous un peu, on respire un bon coup et on se dit que tout va bien, les hommes et les femmes sont les meilleurs amis avec quelques petites querelles de temps en temps pour pimenter un peu la vie et pour que la monotonie ne s’installe pas sempiternellement :).
Intéressant, je n’en avais jamais entendu parler
Comme dit un peu plus haut en commentaire, dommage que le sujet ne puisse apporter que du bruit, de la polémique, du vide quoi… plutôt que des compléments à l’anecdote (les sources sont un peu light je trouve)
(Et c'est quoi le rapport avec le salariat?)
Et l'homme à remis des couleurs ds sa vie , dans les 70 en partant à katmendou mdr
Théorisation ou pas, psychanalyse ou pas, force est de constater que les hommes ont en effet renoncé à une époque à la flamboyance de leurs apparats pour des tenues standardisées et sombres : aux femmes les belles robes colorées, les froufrous, et les précieux sacs à main (autre débat en vue...), aux hommes les stricts costumes trois pièces gris et les smokings noirs... Certes les choses changent (woke did you say ?), mais allez faire un tour au festival de Cannes (pas de jeu de mot animalier débile svp...) ou à une soirée habillée à la Comédie Française et comptez les messieurs en costume rose ou orange...
Je trouve cette anecdote très intéressante
Étant un mec a peu près normal pour qui 'de la beauté des femmes on ne revient jamais' (merci Cabrel), j'ai toujours laissé la beauté à la gente féminine et n'ai jamais bien compris pourquoi c'était manifestement l'inverse chez les animaux...
J'ai trouvé cette histoire de prédation très intéressante (discrétion chez les animaux femelles pour ne pas attirer les prédateurs et mieux préserver la continuation de la race) - d'ailleurs il y a bien d'autres domaines où cette nécessaire discrétion chez l'animal a laissé des traces comportementales chez les humains que nous sommes devenus (à commencer par la pudeur qui est un concept totalement incompréhensible à bien y réfléchir... encore un autre débat en vue...)
Certes la 'prédation' n'est pas à craindre chez les humains (il ne s'agit pas de prédation sexuelle), mais pourquoi les hommes ont-ils abdiqué sur ce point...
Merci de m'avoir fait réfléchir... Moins bête je ne sais pas mais plus curieux d'approfondir le sujet assurément...
Avec un un accent a 'à peu près'...sorry...
Merci pour tous ces votes négatifs rhétoriques. Mais, auriez-vous noté les petits smileys en fin de mes commentaires ? ;)
Les mécanismes sous jacents sont tellement différent qu'une comparaison ou analogie me semble très désuet. Non ?