Le four crématoire ne brûle pas complètement les os

Proposé par
le

Commentaires préférés (3)

Au Japon, lors d'un rituel bouddhiste, deux proches des proches du défunts récupèreront après la crémation les fragments d'os restant (en commençant par les pieds et en finissant par le crâne) en se les faisant passer avec des baguettes avant de les déposer dans l'urne funéraire.

a écrit : Il me semble que l’os qui reste sans jamais disparaître c’est le coccyx. En tout cas, pour les personnes 6 pieds sous terre. Pour la crémation, je ne comprends pas pourquoi on préfère réduire en cendres un défunt plutôt que de l’enterrer. Curieux ton incompréhension sur pourquoi préférer la crémation plutôt que l'enterrement.
Je dirai que c'est à la préférence de chacun (même si ça paraît un peu léger comme comparaison : je vais quand même dire que c'est comme si tu disais " curieux que les gens préfèrent la couleur bleue à la couleur verte "^^ ).

Perso, je préfère être incinérée - même si je ne serai plus là pour vérifier si on a respecté ma demande -
Car clairement je préfère de très loin que mes cendres soient dispersées dans la nature en montagne , au moins mes restes sont à l'air libre et un peu partout , c'est beau comme dernier voyage !
Alors qu'être enterrée , c'est être enfermée dans une boîte à laisser son corps pourrir, se décomposer et se faire bouffer par des insectes ....

Non, vraiment , je trouve ça curieux que des gens préfèrent être enterrés plutôt que d'être dispersés a l'air libre ;)

Personnellement, chaque fois que j’ai contemplé une personne, proche ou non, décédée, j’ai trouvé que le terme « dépouille » était approprié : ce n’est plus la personne que j’ai connu, c’est juste ce qu’il en reste. Chacun ses croyances concernant où elle est : disparu à tout jamais ou « quelque part ».
Donc, pour la « dépouille », ce n’est pas très important et, pour là où se trouve l’être « disparu », chacun a ses convictions et c’est très respectable.
Pour moi-même, quand j’y je serai mort, je souhaite surtout que les personnes qui restent et que ma mort touche de près trouvent une solution pour eux. Peu importe si à priori ils peuvent penser à ce que j’aurais « aimé ». Ce que je souhaite avant tout est que cela leur convienne et, si possible, y trouvent un apaisement pour continuer à vivre.


Tous les commentaires (28)

Au Japon, lors d'un rituel bouddhiste, deux proches des proches du défunts récupèreront après la crémation les fragments d'os restant (en commençant par les pieds et en finissant par le crâne) en se les faisant passer avec des baguettes avant de les déposer dans l'urne funéraire.

a écrit : Au Japon, lors d'un rituel bouddhiste, deux proches des proches du défunts récupèreront après la crémation les fragments d'os restant (en commençant par les pieds et en finissant par le crâne) en se les faisant passer avec des baguettes avant de les déposer dans l'urne funéraire. On peut d'ailleurs voir une représentation de cette pratique dans la série Les Gouttes de Dieu

J’ai regardé la vidéo promotionnelle. Ça fait bizarre de parler de cendrier…

a écrit : On peut d'ailleurs voir une représentation de cette pratique dans la série Les Gouttes de Dieu J’étais justement en train de me poser la question « dans quel film ai je déjà vu cette pratique ? »

Il me semble que l’os qui reste sans jamais disparaître c’est le coccyx. En tout cas, pour les personnes 6 pieds sous terre. Pour la crémation, je ne comprends pas pourquoi on préfère réduire en cendres un défunt plutôt que de l’enterrer.

a écrit : J’ai regardé la vidéo promotionnelle. Ça fait bizarre de parler de cendrier… C'est le terme légal, un contenant qui accueille les cendres. L'urne n'est pas obligatoire, une simple casserole (si tel est le souhait de la famille) suffit....

a écrit : Il me semble que l’os qui reste sans jamais disparaître c’est le coccyx. En tout cas, pour les personnes 6 pieds sous terre. Pour la crémation, je ne comprends pas pourquoi on préfère réduire en cendres un défunt plutôt que de l’enterrer. Ma femme, le jour où elle sera décédée (pas pour tout de suite, je vous rassure et espérons dans de nombreuses années) souhaite être incinérée car elle a l'angoisse de se réveiller dans un cercueil sous terre... C'est suite à ce que l'enseignante de cathé avait raconté quand elle était petite : "des fois quand on rouvre les cercueils on voit que les gens ont gratté à l'intérieur pour essayer de sortir".

a écrit : Au Japon, lors d'un rituel bouddhiste, deux proches des proches du défunts récupèreront après la crémation les fragments d'os restant (en commençant par les pieds et en finissant par le crâne) en se les faisant passer avec des baguettes avant de les déposer dans l'urne funéraire. Tu parles au futur. Pourquoi?

a écrit : Tu parles au futur. Pourquoi? Parce qu'il n'est pas encore incinéré

a écrit : Il me semble que l’os qui reste sans jamais disparaître c’est le coccyx. En tout cas, pour les personnes 6 pieds sous terre. Pour la crémation, je ne comprends pas pourquoi on préfère réduire en cendres un défunt plutôt que de l’enterrer. Curieux ton incompréhension sur pourquoi préférer la crémation plutôt que l'enterrement.
Je dirai que c'est à la préférence de chacun (même si ça paraît un peu léger comme comparaison : je vais quand même dire que c'est comme si tu disais " curieux que les gens préfèrent la couleur bleue à la couleur verte "^^ ).

Perso, je préfère être incinérée - même si je ne serai plus là pour vérifier si on a respecté ma demande -
Car clairement je préfère de très loin que mes cendres soient dispersées dans la nature en montagne , au moins mes restes sont à l'air libre et un peu partout , c'est beau comme dernier voyage !
Alors qu'être enterrée , c'est être enfermée dans une boîte à laisser son corps pourrir, se décomposer et se faire bouffer par des insectes ....

Non, vraiment , je trouve ça curieux que des gens préfèrent être enterrés plutôt que d'être dispersés a l'air libre ;)

Personnellement, chaque fois que j’ai contemplé une personne, proche ou non, décédée, j’ai trouvé que le terme « dépouille » était approprié : ce n’est plus la personne que j’ai connu, c’est juste ce qu’il en reste. Chacun ses croyances concernant où elle est : disparu à tout jamais ou « quelque part ».
Donc, pour la « dépouille », ce n’est pas très important et, pour là où se trouve l’être « disparu », chacun a ses convictions et c’est très respectable.
Pour moi-même, quand j’y je serai mort, je souhaite surtout que les personnes qui restent et que ma mort touche de près trouvent une solution pour eux. Peu importe si à priori ils peuvent penser à ce que j’aurais « aimé ». Ce que je souhaite avant tout est que cela leur convienne et, si possible, y trouvent un apaisement pour continuer à vivre.

a écrit : Curieux ton incompréhension sur pourquoi préférer la crémation plutôt que l'enterrement.
Je dirai que c'est à la préférence de chacun (même si ça paraît un peu léger comme comparaison : je vais quand même dire que c'est comme si tu disais " curieux que les gens préfèrent la couleur bleue à la
couleur verte "^^ ).

Perso, je préfère être incinérée - même si je ne serai plus là pour vérifier si on a respecté ma demande -
Car clairement je préfère de très loin que mes cendres soient dispersées dans la nature en montagne , au moins mes restes sont à l'air libre et un peu partout , c'est beau comme dernier voyage !
Alors qu'être enterrée , c'est être enfermée dans une boîte à laisser son corps pourrir, se décomposer et se faire bouffer par des insectes ....

Non, vraiment , je trouve ça curieux que des gens préfèrent être enterrés plutôt que d'être dispersés a l'air libre ;)
Afficher tout
D’accord avec toi!
Personnellement je vais même plus loin. Mon souhait (précisé sur mon testament) est qu’une partie de mes cendres soit attachée sur un gros feu d’artifice, histoire de partir en beauté et avec panache. Certaines entreprises de pompes funèbres françaises commencent à proposer ce service.

a écrit : D’accord avec toi!
Personnellement je vais même plus loin. Mon souhait (précisé sur mon testament) est qu’une partie de mes cendres soit attachée sur un gros feu d’artifice, histoire de partir en beauté et avec panache. Certaines entreprises de pompes funèbres françaises commencent à proposer ce service.
Quant à mes cendres, j'aimerai qu'une toute petite partie (1 g à 7 g) soit envoyée en orbite (5000 € à 15000 €) ou soit envoyée sur la Lune (10000 € à 30000 €), ma préférée ;)

Vous pouvez commencer à cotiser ^^

J'ai une petite philosophie dans la vie : quand au bout du bout j'hésite toujours, je prends le moins cher ! Ce qui se passe après la vie me semble tellement pas important que j'adopterai cette doctrine pour mes obsèques (-:

J’ouvrais littéralement SCMB pour me changer les idées suites à la dispersion des cendres e ma grand mère - qui a souhaité qu’on les mélange avec celles de Jean l’amour de sa vie. Ben c’est raté :0S - mais instructif

a écrit : Il me semble que l’os qui reste sans jamais disparaître c’est le coccyx. En tout cas, pour les personnes 6 pieds sous terre. Pour la crémation, je ne comprends pas pourquoi on préfère réduire en cendres un défunt plutôt que de l’enterrer. Moi je ne comprends pas pourquoi on préfère enterrer quelqu'un, prendre une grande place sur terre, que les autres vont devoir entretenir... alors qu'on peut être réduit en cendre et ne plus emmerder les autres.

J'ai perdu mon grand père à 12 ans. C'était quelqu'un de très important pour moi mais je n'ai pas réussi à aller à son enterrement.
Pourtant je ne suis allé qu'une seule fois sur sa tombe. Je n'ai pas besoin de ça pour penser à lui et je trouve ça inutile.

;-)

a écrit : Personnellement, chaque fois que j’ai contemplé une personne, proche ou non, décédée, j’ai trouvé que le terme « dépouille » était approprié : ce n’est plus la personne que j’ai connu, c’est juste ce qu’il en reste. Chacun ses croyances concernant où elle est : disparu à tout jamais ou « quelque part ».
Donc, p
our la « dépouille », ce n’est pas très important et, pour là où se trouve l’être « disparu », chacun a ses convictions et c’est très respectable.
Pour moi-même, quand j’y je serai mort, je souhaite surtout que les personnes qui restent et que ma mort touche de près trouvent une solution pour eux. Peu importe si à priori ils peuvent penser à ce que j’aurais « aimé ». Ce que je souhaite avant tout est que cela leur convienne et, si possible, y trouvent un apaisement pour continuer à vivre.
Afficher tout
Très bien dit.

On dirait une pub pour le télé-achat .... dans un tout autre registre