Les premiers mots de Neil Armstrong sur la Lune sont restés célèbres, mais on se souvient moins de ceux de ses successeurs. Pete Conrad (Apollo 12) déclara "C'est un petit pas pour Neil, mais pas pour moi", Alan Shepard (Apollo 14) "La route a été longue, mais nous y sommes !" et David Scott (Apollo 15), plus philosophe « Alors que je me tiens ici dans les merveilles de l’inconnu à Hadley, je crois réaliser qu’il y a une vérité fondamentale de notre nature. L’Homme doit explorer. Et ceci est l’exploration à son summum. »

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Où comment démolir le mythe^^
D'ailleurs Armstrong n'a jamais posé le pied sur la lune, il a posé le pied dans la godasse de sa combinaison spatiale qui, elle, a marché sur la lune ;)
J'adore le cynisme ;)
C'est un petit pas pour un humain, mais un bond de géant pour l'humanité.
Attention avec l'intelligence, au plus on est intelligent, au plus on a besoin d'être sur que c'est de l'humour :)
D'où un petit smiley rigolard à la fin d'un texte quant on dit une blague :) (sourire)
C'est pourtant pas compliqué de lire mon premier commentaire sourcé.
La phrase exacte avec son véritable sens est (confirmée par Neil en personne) : c'est un petit pas pour UN homme (dans le sens de ' c'est un petit pas pour UN humain') mais un bond de géant pour l'humanité.
"C'est un petit pas pour l'homme" (avec le H minuscule = le sexe masculin) ne peut en aucun s'attribuer à lui-même. Neil serait-il donc le seul représentant du sexe masculin ?
Et si on écrivait "homme" avec un H majuscule, on en revient à mon explication précédente : Homme (avec la majuscule) = l'humanité. Donc répétition et sens de la phrase incohérente.
Faut lire un peu l'ensemble des commentaires et les sources qui vont avec. Ca nous éviterait des répétitions inutiles. Merci.
Merci captain obvious. Tu nous le raconte une 4 ème fois?
Hector973
Mais au fait et concrètement omis l'exploit qui restera gravé a travers les génération, que nous a apporte et nous apporte cette conquête
C'est vrai. J'ai oublié le smiley. J'aurais pu aussi employer le conditionnel. Je devais être mal réveillé.
Tu sembles avoir des difficultés pour lire l'ensemble des commentaires avant d'écrire. Les "évidences" ne semblent pas non plus être ton fort ;-)
Faut bien que quelqu'un te prenne par la main et s'occupe de toi :-)
Mouhahaha bien placé !! je t'offre le pop corn.
Perso je suis plutôt d'accord avec lui..
Salut !
Ou le commandant Shepard dans Mass Effect
Pourquoi depuis personne n'y retourne bizzare non ???!!!
Tu peux être d'accord avec lui si tu le veux. Mon premier commentaire sourcé semble satisfaire d'autres personnes qui ont visiblement mieux compris mes propos (et la réalité des faits). Salut :-)
Il me semble qu'il n'y a pas eu de tirage au sort, mais que la Nasa a préféré Neil (civil à la base) a Buzz (militaire) pour donner une meilleure image.
À vérifier mais je me souviens de ça dans un documentaire.
En parlant au de ce commentaire dont tu es si fier... tu poses un faux problème : Dans tous les cas c'est "homme" avec un "h" minuscule.
Que ça soit dans la version "un homme" ou "l'homme": Neil parle simplement de lui même à la troisième personne. (Ça a l'air de te chambouler le cerveau). Voilà voilà...
Merci pour les sources cependant.
Tu as un réel talent de conteur, avec ta dernière phrase qui credibilise l'ensemble du texte, on pourrait presque y croire malgré l'énormité de la phrase de Mme Rosenberg.
Si il a dit "Houston on a un problème"
Pas plus que ça pour le chamboulement. Je sais bien qu'il parle de lui en disant "a man". Il va évidemment pas parler de son voisin qui tond la pelouse sur Terre.
Ce précisait juste que la phrase exacte pour rester cohérente était "un petit pour UN homme". Et non "un petit pour l'homme".
Même si dans les deux cas, on comprend que c'est de lui qu'il s'agit.
Voila voila :-)
P.S : rien à voir avec la fierté. Juste de préciser un élément qui a quand même nécessité une analyse approfondie avec un logiciel. Rien que ça.
Depuis la zone 51 !
Il faut savoir que la phrase de Conrad cité ci-dessus est dû à un pari qu'il avait fait avec un de ses amis, ce dernier etant persuadé que la Nasa ne le laisserait pas prononcer ses mot, et que la phrase culte de Neil Armstrong était écrite à l'avance par la nasa. Finalement, Conrad gagna le pari, mais ne pu jamais récupérer les 500 dollars qu'il avait gagné... Dommage