Des scientifiques ont observé une similitude entre les tueurs en série et les abeilles. Dans les 2 cas, ils agissent près de chez eux (les abeilles récupèrent le pollen, le tueur tue) mais avec une zone de sécurité très proche de chez eux où ils n'agissent pas pour ne pas éveiller l'attention (des prédateurs pour les abeilles, de la police pour les tueurs). En modélisant le comportement des abeilles, ces scientifiques pensent pouvoir localiser plus facilement les zones de recherche de tueurs en série.
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En lisant la première phrase, j'ai cru que c'était le début d'une mauvaise blague.
En même temps, il est peu probable qu’un tueur assassine son voisin ou quelqu’un a 300km de chez lui.
Damn ! On a mis les meilleurs enquêteurs sur l'affaire alors que c'était Maya depuis le début! ...
Pour plus de precision par rapport à l anecdote je pense qu il s agirait plutot de propolis au lieu du "miel" à proprement parlé. Il s agit du polen tout juste transformé.
La ressemblance bien que peu flatteuse, par rapport aux abeilles c’est au niveau de l’instinct animal. Il faut 2 zones, une au centre ou rien ne se fait discrétion oblige (protéger la ruche ou ne pas éveiller les soupçons...), et une autre plus grande autour pour « travailler » (tuer ou travailler)... cela pourrait aussi s’appliquer au voleur ou autre type de criminel qui fonctionne sur la répétition.
www.apiculture.net/blog/miel-de-sapin-n107
Au fait, j'en profite mais j'ai été chercher l'origine de la phrase d'einstein sur les abeilles. Surprise, il ne l'a jamais dite, il n'avait d'ailleurs pas de compétences en entomologie.
Pour rebondir sur un précédent commentaire :
La chauve-souris et le papillon sont tous les deux capables de voler mais c'est pas pour autant que le mécanisme qui leur permet de le faire est semblable.
Perso ça me laisse perplexe dans le sens où l'élément de comparaison ici, à savoir l'équilibre entre discrétion et practicité peut certainement se baser sur un phénomène instinctif mais dans le cas du tueur en série, on doit quand même prendre en compte l'intelligence qui lui permettrait de se soustraire à un schéma particulier.
Le miel est le résultat de la transformation du nectar par les abeilles en se le passant de jabot à jabot (trophallaxie pour les adeptes de vocabulaire scientifique!).
Le pollen est récolté sur les fleur, aggloméré sous forme de pelotes, porté sur les pattes, et sert uniquement à nourrir les grandes larves (avant, elles seront nourries de gelée royale, sécretée par les abeilles-la reine en sera nourrie toute sa vie).
La propolis est un antibiotique/antiseptique, une matière résineuse qu'elles trouvent sur les bourgeons de certains arbres. Elles s'en serviront pour boucher les petits courants d'air de la ruche, ou momifier les indésirables trop lourds pour en être sortis par exemple.
Donc pour résumer: la gelée royale, la cire sont des sécrétions naturelles; le miel est une transformation du nectar; le nectar, la propolis et le pollen sont récolté par les abeilles.
Pour ceux que ça interesse: musee-du-miel.com/vie_ruche/colonie-abeilles.php
Tu fais bien de dire "presque les seuls".
Allons donc, apres la (oui, LA, cest un nom feminin) propolis qui serait le "pollen tout juste transformé", en voila une nouvelle définition. Je suis très curieuse de connaître votre source. Je ne vois aucun intérêt pour les abeilles à mélanger le pollen qui est une nourriture, à la cire qui sert seulement à bâtir les alvéoles, mais soit, je sens que vous pouvez encore me surprendre! [Que l'on trouve une part de cire et des traces de pollen dans la propolis lorsque l'apiculteur la récolte est logique, mais ce que vous dites est tout à fait différent... ]. À quoi servirait cette propolis "non végétale"? Dites moi tout...