En 1944, l'opération Foxley prévoyait d'assassiner Hitler : deux hommes, dont un tireur d'élite, auraient été parachutés discrètement près de sa résidence du Berghof dans les Alpes bavaroises et l'auraient abattu alors qu'il effectuait sa promenade matinale quotidienne. Le plan, faisable sur le papier, fut abandonné car on jugea qu'il était préférable qu'Hitler se maintienne au pouvoir pour mettre fin rapidement à la guerre et au nazisme.
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D'ailleurs je n'ai fait aucun sous entendu... tu interprètes...
Oui il y a des groupes d'extrême gauche très violents mais de là à parler de nazisme...le nazisme se base sur une hiérarchisation des races, il n'y a pas vraiment de groupes similaires en France (à part les djihadistes qui ont une vraie haine raciale des juifs et des chrétiens).
Faut arrêter ce masochisme bien français qui consiste à nous coller tous les défauts du monde...
Quand à l’extrême gauche, ils sont tout aussi dangereux mais à l’opposé...
Et c’est pas mieux avec l’extrême gauche pour d’autres adjectifs.
Ce sont des gens paumés et dangereux (Tous comme les intégristes islamistes aussi... Décidément ça en fait du monde !).
Pour revenir au sujet initial, je ne suis pas certains qu'un autre allemand aurait pu redresser la situation car s'il manquait bien une chose au IIIe Reich, c'était bien un stratège compétent. Cela étant, cette lacune fut en effet aggravée par les bourdes de Hitler qu'il ne faut cependant pas accuser de tous les maux.
L allemagne d’hitler mauvais stratege. Inepsie. Surtout quand l on connait la reussite blizkrieg. Reste que attaquer et maintenir des pays sous l’occupation face au monde entier (avec quelques allies) est particulierement difficile.
Je répondais à un intervenant qui racontait que tous les regimes dictatoriaux étaient socialistes ou communistes... Alors je lui faisais un petit "récap" pour qu'il ne se perde pas dans "l'histoire" ;) en lui parlant des colonels argentins, de Marquo aux Philipinnes, de Pinochet, etc... on peut parler de l'indonésie, et aussi aujourd'hui des régimes Princiers du Golf, etc...
Concernant ta réponse : Mussolini pouvait bien émaner d'où il voulait, c'était bien un régime fasciste. Quant à Hitler il pouvait bien se déclarer ce qu'il voulait, il aimait tellement les communistes qu'il voulait les éradiquer de la planète ;) il a même trouvé dans les pays qu'il a envahis des soldats pour combattre sur le front russe...
Quoi que tu en penses, le background politique de Mussolini et d'Hitler était bien socialiste et leur volonté à tous les deux était bien de renverser les élites et la classe dirigeante de leur pays, qu'il s'agisse de la noblesse (l'Italie étant encore une monarchie et l'Allemagne n'ayant un régime républicain que depuis la fin de la guerre, la noblesse conservait encore un pouvoir important, notamment dans les milieux politiques et militaires) ou de la haute bourgeoisie. On a donc bien, à l'origine du fascisme et du nazisme une idéologie révolutionnaire socialiste ayant pour but de remplacer l'élite capitaliste en place par un ordre nouveau.
Ce n'est que par la suite que les fascistes et les nazis ont évolué en considérant qu'il était plus pertinent d'utiliser à leurs fins le complexe militaro-industriel en place dans leur pays en ralliant à leur cause les dirigeants économiques et politiques prêts à collaborer, plutôt que de faire table rase et de jeter le bébé avec l'eau du bain...
Et non, on ne peut pas non plus qualifier les régimes fascistes italien et espagnol, ni même le régime chinois (depuis la théorie de la couleur du chat de Deng Xiaoping) de capitalistes, à moins d'utiliser de gros guillemets, et encore moins de libéraux. Lorsque un dirigent ou un régime politique peut orienter l'économie d'un pays, ou bien se débarrasser d'un acteur économique important en le spoliant, en le ruinant ou en le trucidant, on appelle ça du dirigisme étatique, voire de la dictature, mais pas du capitalisme. Le seul point commun avec le capitalisme, c'est le développement d'une nomenklatura ou d'une élite de nantis blindée de thune, qui ne conserve ses privilèges qu'en échange de sa soumission au régime. Bref, ça a l'odeur du capitalisme, ça a l'apparence du capitalisme, mais tant que l'économie de marché peut être entièrement contrôlée par l'Etat d'un simple claquement de doigt, ça n'en est pas...