Captain America était très anxieux de le devenir

Proposé par
Invité
le

L'acteur Chris Evans, qui interprète le super-héros Captain America au cinéma, refusa d'abord le rôle, inquiet de l'exposition médiatique que cela allait lui donner et de l'investissement nécessaire (10 films). Après une thérapie, il accepta finalement d'incarner le rôle, et continue d'être suivi pour gérer cette notoriété.


Tous les commentaires (63)

a écrit : Les femmes sont privilégiés en entreprises, vous aurez toujours les meilleurs postes des ouvriers c'est-à-dire les moins pénibles et les chefs seront très doux et gentils donc tu ne peux pas comprendre ce qu'un ouvrier homme ressent. Rassure-moi, c'est une blague hein?

a écrit : Conditionner le bonheur et la satisfaction de sa vie sur les conditions de travail et le salaire associé est la pire idiotie du monde. On peut être riche, célèbre, ne pas travailler, et rester triste toute sa vie, tout comme on peut avoir un métier dur et mal payé et être totalement épanoui dans sa vie.

Ch
acun définit dans sa vie ce qui lui est important et ce n'est pas parce qu'il a des conditions de vie qui extérieurement semblent bien meilleurs qu'il n'a pas le droit d'être triste, anxieux, mal dans sa vie...

Il suffit de voir le nombre de célébrités qui n'y survivent pas et sombrent dans l'alcool et la drogue. C'est pas une vie pour tout le monde et ils ont totalement le droit d'avoir leurs problèmes à leur niveau.

Dire qu'une personne est riche donc n'a pas le droit de se plaindre parce que d'autres sont plus pauvres c'est vraiment débile.

On pourrait poursuivre ton raisonnement. Pauvre homme qui doit se lever tous les matins à 5 heures pour aller travailler à l'usine, dire qu'il aurait pu ne pas avoir de travail et être à la rue ! Pauvre homme qui n'a pas de travail et est à la rue, dire qu'il aurait pu être à la rue et handicapé ! Pauvre homme qui est à la rue et handicapé, dire qu'il aurait pu...

Et dernière chose, tu considères qu'être acteur est un métier facile, mais il y en a beaucoup qui ne percent pas. Prendrais-tu le risque de quitter tes études en sachant que tu as beaucoup plus de chance de rater ta carrière que de la réussir ?
Afficher tout
On ne pas être heureux si on souffre dans sa vie professionnelle. On y passe le plus clair de son temps.

a écrit : Ah lala la belle leçon :) Tu dois t'écouter parler toi ! Évidemment qu'il vaut mieux être un acteur riche que de bosser à l'usine pour un salaire misérable, éteindre son cerveau, finir ses journées cassé à force de gestes répétitifs et être enchaîné à une petite vie et des crédits. J'espère que tu appliques tes grands principes moralisateurs à ta propre vie. J'imagine que tu as déjà fait un tour à l'usine. Afficher tout En dépit de ton manque de pouces verts, tu es tout à fait dans le vrai, incontestablement.

a écrit : En dépit de ton manque de pouces verts, tu es tout à fait dans le vrai, incontestablement. Si tu penses qu'il est tellement dans le vrai malgré son absence de pouces verts, tu dois être capable d'expliquer ce que c'est la "petite vie" dont il parle et pourquoi les ouvriers y seraient condamnés et en quoi ça les empêcherait d'être heureux. Je suppose que le contraire c'est une grande vie et que ça veut dire qu'on peut dépenser sans compter mais est-ce qu'on est forcément heureux dans ce cas ? Et une vie moyenne c'est suffisant pour être heureux ou sinon le bonheur commence à partir de quelle taille de vie ?

a écrit : On ne pas être heureux si on souffre dans sa vie professionnelle. On y passe le plus clair de son temps. On est malheureux uniquement si on accorde de l'importance aux aspects negatifs de sa vie.. Avec le même travail dur et mal payé certains seront malheureux et d'autres trouveront suffisamment de motifs de satisfaction dans leur vie et s'organiseront pour être heureux... C'est la blague du verre à moitié plein et à moitié vide. Diogène qui vivait dans le dénuement le plus complet aurait répondu à un roi, qui lui demandait ce qu'il pouvait faire pour lui faire plaisir, qu'il voulait simplement qu'il fasse un pas de côté pour ne pas lui cacher le soleil. Comme quoi on peut se contenter de ce qu'on a. On peut aussi se donner les moyens d'obtenir davantage. Mais désirer ce qui n'est pas à notre portée et envier ceux qui ont eu plus de chance (que ce soit à propos d'argent ou de toute autre chose) est le meilleur moyen de se rendre malheureux. Il y a des personnes gravement handicapées qui sont apparemment très heureuses et pourtant un lourd handicap est certainement pire qu'un travail pénible.

a écrit : Si tu penses qu'il est tellement dans le vrai malgré son absence de pouces verts, tu dois être capable d'expliquer ce que c'est la "petite vie" dont il parle et pourquoi les ouvriers y seraient condamnés et en quoi ça les empêcherait d'être heureux. Je suppose que le contraire c'est une grande vie et que ça veut dire qu'on peut dépenser sans compter mais est-ce qu'on est forcément heureux dans ce cas ? Et une vie moyenne c'est suffisant pour être heureux ou sinon le bonheur commence à partir de quelle taille de vie ? Afficher tout Le travail est bien plus qu'un "gagne-pain", c'est un moyen de se réaliser, de se sentir utile à la société.
Je suppose que tu as dû entendre parler de l'aliénation par le travail, décrite par Marx. Quand tu es ouvrier (dans l'industrie), tu es réduit au rôle d'outil, de simple rouage dans le mécanisme. Tu ne prends aucune décision, tu n'as aucune liberté d'action et tu ne vois pas le résultat de ton travail: la séparation et la spécialisation des tâches fait que tu ne participe qu'à une petite parcelle de la réalisation de l'objet fini, là où l'artisan conçoit et fabrique son objet de A à Z.
Là encore, autre différence, l'artisan est au contact de ses clients, il peut être félicité, remercié.
Je suppose que si tu apprécie ta Renault, tu ne vas pas aller au Portugal ou au Maroc féliciter les ouvriers qui ont fabriqué ta voiture, non ?
L'ouvrier ne profite pas non plus du succès des objets qu'il fabrique. On a vendu beaucoup plus de Renault que prévu ? Payons davantage nos ouvriers ! Tu sais bien que cela ne passe passe pas comme ça: alors que cela devrait se passer comme ça.
Je ne dis pas, à aucun moment, que la richesse fait le bonheur. J'ai la chance d'avoir un niveau de vie plus que correct, cela ne m'empêche pas d'être triste et même malheureux parfois. Par contre, j'ai la chance d'avoir un boulot où me témoigne de la reconnaissance et dans lequel je suis très libre.
Je dis donc que les conditions de travail jouent un rôle prépondérant dans notre bien-être et je dis que les conditions de travail de l'ouvrier industriel moderne sont bien tristes.

a écrit : Rassure-moi, c'est une blague hein? Je me demande si vous avez déjà bossé dans le dur ici ou si y'a que des gens dans des bureaux ? Ça te paraît si fou que les femmes ouvrières ont les meilleurs postes ? Va poser la question à n'importe lequel et tu verras si c'est une blague...

a écrit : Ah mais ca existe vraiment les gens qui bossent seulement 35h/semaine ? Je ne sais pas dans quelle mesure tu es sérieux dans ta remarque, mais c'est claire que 35 c'est rien et ou énorme...
De nos jours le CDI temps plein est une denrée rare. Beaucoup de postes d'encadrement dépassent allègrement sans être payé, alors que les temps partiels pullulent.
Les 35h00 dépassées et non payés car forfaités sont une honte...mais c'est le lot de la grande distribution, et sous la houlette de franchisés de restauration rapide...

a écrit : Le travail est bien plus qu'un "gagne-pain", c'est un moyen de se réaliser, de se sentir utile à la société.
Je suppose que tu as dû entendre parler de l'aliénation par le travail, décrite par Marx. Quand tu es ouvrier (dans l'industrie), tu es réduit au rôle d'outil, de simple
rouage dans le mécanisme. Tu ne prends aucune décision, tu n'as aucune liberté d'action et tu ne vois pas le résultat de ton travail: la séparation et la spécialisation des tâches fait que tu ne participe qu'à une petite parcelle de la réalisation de l'objet fini, là où l'artisan conçoit et fabrique son objet de A à Z.
Là encore, autre différence, l'artisan est au contact de ses clients, il peut être félicité, remercié.
Je suppose que si tu apprécie ta Renault, tu ne vas pas aller au Portugal ou au Maroc féliciter les ouvriers qui ont fabriqué ta voiture, non ?
L'ouvrier ne profite pas non plus du succès des objets qu'il fabrique. On a vendu beaucoup plus de Renault que prévu ? Payons davantage nos ouvriers ! Tu sais bien que cela ne passe passe pas comme ça: alors que cela devrait se passer comme ça.
Je ne dis pas, à aucun moment, que la richesse fait le bonheur. J'ai la chance d'avoir un niveau de vie plus que correct, cela ne m'empêche pas d'être triste et même malheureux parfois. Par contre, j'ai la chance d'avoir un boulot où me témoigne de la reconnaissance et dans lequel je suis très libre.
Je dis donc que les conditions de travail jouent un rôle prépondérant dans notre bien-être et je dis que les conditions de travail de l'ouvrier industriel moderne sont bien tristes.
Afficher tout
Tu as tout à fait raison : le travail est un moyen de se réaliser. Mais tu oublies juste quelques détails: ce n'est pas le seul moyen, tout le monde n'a pas besoin de se "réaliser", etc. Et la meilleure preuve c'est qu'il y a des gens qui ont un travail intéressant et qui sont malheureux et des ouvriers à la chaîne qui sont heureux... Donc ton raisonnement n'est pas bon.

a écrit : Un bien long commentaire pour pas grand chose.
Évidemment qu'on peut être heureux dans n'importe quel travail. Mais c'est plus facile quand tu gagnes bien ta vie sans te tuer à la tâche.
Après ça, le but des acteurs est de devenir riches et célèbres , donc, faut pas faire semblant de crac
her dans la soupe quand on te propose le rôle de ta vie, ou te plaindre des inconvénients d'une célébrité après laquelle tu courrais , je trouve ça indécent.

Et s'il y a des acteurs qui boivent, se droguent ou se suicident, ils n'ont pas l'exclusivité, il n'y a qu'à regarder le actus des dizaines de personnes se suicident chaque année à cause de leur boulot.
Afficher tout
Se tuer à la tache dans une activité qui nous pationne c'est vivre. C'est la meilleure chose qui puisse t'arriver.

a écrit : Tu as tout à fait raison : le travail est un moyen de se réaliser. Mais tu oublies juste quelques détails: ce n'est pas le seul moyen, tout le monde n'a pas besoin de se "réaliser", etc. Et la meilleure preuve c'est qu'il y a des gens qui ont un travail intéressant et qui sont malheureux et des ouvriers à la chaîne qui sont heureux... Donc ton raisonnement n'est pas bon. Afficher tout Le bien-être au travail n'est pas une condition suffisante au bonheur mais c'est une condition nécessaire. Je doute fortement qu'un individu malheureux dans son travail soit heureux dans son existence.
Et ce n'est pas parce qu'un individu se satisfait d'un sort terrible qu'il faut se résigner à l'accepter.
Je ne doute qu'il ait existé des femmes heureuses alors qu'elle n'avait ni le droit de vote ni celui d'ouvrir un compte à leur nom. Je ne doute pas qu'il ait existé des esclaves noirs heureux aux USA.
Je crois que tous ces gens que tu appelles "heureux" sont en fait résignés. Et contrairement au handicap, autre exemple que tu as mis en avant, l'aliénation par le travail n'est pas un fait irréversible et elle n'est pas naturelle, elle est le fruit de décisions humaines. On doit la dénoncer et on doit y mettre un terme.
Ton ouvrier à la chaîne "heureux" serait ravi qu'on lui donne des conditions de vie meilleures, il serait ravi qu'on lui donne un intéressement aux bénéfices, tout comme un hémiplégique serait ravi qu'on redonne l'usage de ses jambes d'ailleurs.

a écrit : Le bien-être au travail n'est pas une condition suffisante au bonheur mais c'est une condition nécessaire. Je doute fortement qu'un individu malheureux dans son travail soit heureux dans son existence.
Et ce n'est pas parce qu'un individu se satisfait d'un sort terrible qu'il fa
ut se résigner à l'accepter.
Je ne doute qu'il ait existé des femmes heureuses alors qu'elle n'avait ni le droit de vote ni celui d'ouvrir un compte à leur nom. Je ne doute pas qu'il ait existé des esclaves noirs heureux aux USA.
Je crois que tous ces gens que tu appelles "heureux" sont en fait résignés. Et contrairement au handicap, autre exemple que tu as mis en avant, l'aliénation par le travail n'est pas un fait irréversible et elle n'est pas naturelle, elle est le fruit de décisions humaines. On doit la dénoncer et on doit y mettre un terme.
Ton ouvrier à la chaîne "heureux" serait ravi qu'on lui donne des conditions de vie meilleures, il serait ravi qu'on lui donne un intéressement aux bénéfices, tout comme un hémiplégique serait ravi qu'on redonne l'usage de ses jambes d'ailleurs.
Afficher tout
Ce n'est pas moi qui appelle les gens "heureux" et ce n'est pas "mon" ouvrier à la chaîne. J'essaie simplement de faire profiter les lecteurs des études, réflexions, et autres découvertes qu'il y a eu sur ce sujet en dénonçant quelques préjugés bien ancrés. Et c'est d'autant plus important sur ce sujet précisément car certains qui croient que telle ou telle condition est nécessaire pour être heureux pourraient découvrir qu'il n'en est rien et qu'ils se rendent malheureux sans raison et ils se coucheraient non seulement moins bêtes mais également plus heureux. Alors au lieu de commencer par asséner que le bien-être au travail serait une condition nécessaire au bonheur, ce qui me semble sortir directement de ton immagination sans aucun fondement et pas d'une étude sérieuse, tu ferais mieux de te documenter sur ce sujet si ça t'intéresse : il y a quantités d'ouvrages qui ont été publiés sur le bonheur. Et ça serait dommage de chercher à réinventer la roue alors qu'elle existe déjà. Tu pourras constater que le bonheur est beaucoup plus facile à atteindre qu'on ne le croit généralement et d'autant plus si on se débarrasse des préjugés de prétendues conditions nécessaires. Les enfants qui font des caprices croient qu'ils seront malheureux tant qu'ils n'auront pas obtenu ce qu'ils réclament. Avec l'âge et la sagesse on peut apprendre à arrêter de faire des caprices et de se rendre ainsi malheureux pour rien. Le Dalaï Lama a dit "Le secret du bonheur est le contentement". Tu noteras qu'il n'y a pas "bien être au travail" dans cette citation et je pense qu'on peut lui faire confiance pour savoir de quoi il parle. Il a dit aussi et c'est peut être plus explicite: "La sensation d'être heureux ou malheureux dépend [...] de notre perception de la situation et notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons".

a écrit : 60 % du temps éveillé ???
Rassurez-moi vous n'êtes pas passé au 67h/ semaine quand même ?

8h de sommeil par jour, soit 16h d'éveil par jour et 112h d'éveil par semaine...
35/112 ça nous donne moins de 31,3%
Et encore je ne compte pas les 5 semaines de congés payés...

EDIT : Ces dernières nous rapprochent plus de 28%
Tout le monde ne fait pas 35h/sem...

a écrit : Tout le monde ne fait pas 35h/sem... J'ai jamais dit ça...
Moi le premier, je fait plus du 45-50h et on est encore loin des 67h...
Je voulais juste souligner que 60% de temps éveillé c'était loin de la réalité.

Mais personellement je vais au boulot avec plaisir, quand c'est a contre coeur j'vois mal comment rester plus que 35h

Posté le

android

(1)

Répondre

a écrit : Ce n'est pas moi qui appelle les gens "heureux" et ce n'est pas "mon" ouvrier à la chaîne. J'essaie simplement de faire profiter les lecteurs des études, réflexions, et autres découvertes qu'il y a eu sur ce sujet en dénonçant quelques préjugés bien ancrés. Et c'est d'autant plus important sur ce sujet précisément car certains qui croient que telle ou telle condition est nécessaire pour être heureux pourraient découvrir qu'il n'en est rien et qu'ils se rendent malheureux sans raison et ils se coucheraient non seulement moins bêtes mais également plus heureux. Alors au lieu de commencer par asséner que le bien-être au travail serait une condition nécessaire au bonheur, ce qui me semble sortir directement de ton immagination sans aucun fondement et pas d'une étude sérieuse, tu ferais mieux de te documenter sur ce sujet si ça t'intéresse : il y a quantités d'ouvrages qui ont été publiés sur le bonheur. Et ça serait dommage de chercher à réinventer la roue alors qu'elle existe déjà. Tu pourras constater que le bonheur est beaucoup plus facile à atteindre qu'on ne le croit généralement et d'autant plus si on se débarrasse des préjugés de prétendues conditions nécessaires. Les enfants qui font des caprices croient qu'ils seront malheureux tant qu'ils n'auront pas obtenu ce qu'ils réclament. Avec l'âge et la sagesse on peut apprendre à arrêter de faire des caprices et de se rendre ainsi malheureux pour rien. Le Dalaï Lama a dit "Le secret du bonheur est le contentement". Tu noteras qu'il n'y a pas "bien être au travail" dans cette citation et je pense qu'on peut lui faire confiance pour savoir de quoi il parle. Il a dit aussi et c'est peut être plus explicite: "La sensation d'être heureux ou malheureux dépend [...] de notre perception de la situation et notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons". Afficher tout Puisque tu sembles aimer la philosophie, je vais te donner en toute humilité une petite définition:

Argument d'autorité:
Invoquer une autorité (ici le Dalaï-Lama) en accordant de la valeur à un propos en fonction de son origine plutôt qu'en fonction de son contenu. Ce moyen rhétorique diffère de l'emploi de la raison.

En clair, ce n'est pas parce que le Pape ou le Président de la Tour Eiffel a dit un truc que c'est vrai.
Il me semble que ce brave Dalaï Lama n'est pas contraint de travailler à la chaîne.

Je vais maintenant reprendre ta citation pour l'étudier un peu:
"La sensation d'être heureux ou malheureux dépend [...] de notre perception de la situation et notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons".

Donc l'esclave, la femme battue, l'ouvrier exploité ferait mieux de la fermer, de se satisfaire du peu qu'ils ont, d'ignorer les injustices dont ils sont victimes et de voir le bon côté de l'existence ??

Je te cite encore: "tu ferais mieux de te documenter sur ce sujet si ça t'intéresse : il y a quantités d'ouvrages qui ont été publiés sur le bonheur."
J'attends ta bibliographie, grâce à laquelle je comprendrai enfin comment on peut être heureux avec des conditions de travail désastreuses et injustes.

a écrit : Puisque tu sembles aimer la philosophie, je vais te donner en toute humilité une petite définition:

Argument d'autorité:
Invoquer une autorité (ici le Dalaï-Lama) en accordant de la valeur à un propos en fonction de son origine plutôt qu'en fonction de son contenu. Ce moyen rhétorique diffè
re de l'emploi de la raison.

En clair, ce n'est pas parce que le Pape ou le Président de la Tour Eiffel a dit un truc que c'est vrai.
Il me semble que ce brave Dalaï Lama n'est pas contraint de travailler à la chaîne.

Je vais maintenant reprendre ta citation pour l'étudier un peu:
"La sensation d'être heureux ou malheureux dépend [...] de notre perception de la situation et notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons".

Donc l'esclave, la femme battue, l'ouvrier exploité ferait mieux de la fermer, de se satisfaire du peu qu'ils ont, d'ignorer les injustices dont ils sont victimes et de voir le bon côté de l'existence ??

Je te cite encore: "tu ferais mieux de te documenter sur ce sujet si ça t'intéresse : il y a quantités d'ouvrages qui ont été publiés sur le bonheur."
J'attends ta bibliographie, grâce à laquelle je comprendrai enfin comment on peut être heureux avec des conditions de travail désastreuses et injustes.
Afficher tout
Toutes ces idées sortent de ta petite tête ou c'est la synthèse de ce que tu as appris en écoutant et lisant ce qu'en disent les spécialistes (choisis non pas parce qu'ils font autorité mais parce que si on s'intéresse à un sujet et si de nombreuses personnes ont réfléchi pendant longtemps sur ce sujet, la première chose à faire est de se documenter pour savoir ce qu'ils ont trouvé sinon tu vas essayer plusieurs formes de roues jusqu'à constater que finalement c'est la forme ronde qui fonctionne le mieux quand tu voudras transporter quelque chose) ? Je ne vais pas te faire un cours sur la manière d'être heureux, je te répète que tu trouveras facilement de quoi te documenter si tu le souhaites. Je pourrais te conseiller des livres du Dalaï Lama ou d'autres auteurs mais tu vas encore critiquer mes choix. Je ne vais pas tomber dans ton piège qui consiste à demander une bibliographie pour pouvoir me sortir après une nouvelle diatribe sur l'argument d'autorité. Et je suspecte que tu n'as aucune envie de te documenter : tu préfères garder tes préjugés. On apprend ça aussi quand on étudie ce sujet : il y a des gens dont la raison de vivre est la révolte, non pas la révolte pour améliorer leur condition mais la révolte ppur la révolte et c'est le moteur de leur existence et s'il obtiennent ce qu'ils voulaient, leur vie devient vide tout à coup et ils peuvent choisir un autre combat ou même se suicider ! Alors si tu te sens actuellement plus confortable avec tes préjugés et tes révoltes et tu ne veux pas faire l'effort de lire un peu sur ce sujet, ce n'est pas moi qui peux te faire changer d'avis avec mes quelques petits commentaires sur ce site...

a écrit : Toutes ces idées sortent de ta petite tête ou c'est la synthèse de ce que tu as appris en écoutant et lisant ce qu'en disent les spécialistes (choisis non pas parce qu'ils font autorité mais parce que si on s'intéresse à un sujet et si de nombreuses personnes ont réfléchi pendant longtemps sur ce sujet, la première chose à faire est de se documenter pour savoir ce qu'ils ont trouvé sinon tu vas essayer plusieurs formes de roues jusqu'à constater que finalement c'est la forme ronde qui fonctionne le mieux quand tu voudras transporter quelque chose) ? Je ne vais pas te faire un cours sur la manière d'être heureux, je te répète que tu trouveras facilement de quoi te documenter si tu le souhaites. Je pourrais te conseiller des livres du Dalaï Lama ou d'autres auteurs mais tu vas encore critiquer mes choix. Je ne vais pas tomber dans ton piège qui consiste à demander une bibliographie pour pouvoir me sortir après une nouvelle diatribe sur l'argument d'autorité. Et je suspecte que tu n'as aucune envie de te documenter : tu préfères garder tes préjugés. On apprend ça aussi quand on étudie ce sujet : il y a des gens dont la raison de vivre est la révolte, non pas la révolte pour améliorer leur condition mais la révolte ppur la révolte et c'est le moteur de leur existence et s'il obtiennent ce qu'ils voulaient, leur vie devient vide tout à coup et ils peuvent choisir un autre combat ou même se suicider ! Alors si tu te sens actuellement plus confortable avec tes préjugés et tes révoltes et tu ne veux pas faire l'effort de lire un peu sur ce sujet, ce n'est pas moi qui peux te faire changer d'avis avec mes quelques petits commentaires sur ce site... Afficher tout Je prends la peine d'argumenter sérieusement et de discuter ce que tu avances de façon péremptoire, et toi tu ignores mes propos (et les incohérences que je souligne dans ton discours) et tu te contentes de m'insulter ("ta petite tête").
C'est donc là ton concept du débat ??
Sache que l'injure est l'arme de ceux qui n'ont rien à dire.

Dans ces conditions autant mettre un terme à cette discussion qui n'en a jamais été une d'ailleurs.
Et évite à l'avenir de m'interpeller à propos de mes interventions, comme tu l'as fait ici, si tu refuses la confrontation d'idées.

Je te laisse malgré tout quelques idées de lecture qui font autorité:

-Charles Taylor, Multiculturalism: Examining the Politics of Recognition.
Il y est rappelé que "la reconnaissance n'est pas une politesse que l'on se fait, c'est un besoin vital"

Sur les conséquences désastreuses du travail à la chaîne et sur la division du travail:
- Karl Marx, Manuscrits de 1844, on peut y lire qu' "Une conséquence immédiate du fait que l'homme est rendu étranger au produit de son travail : l'homme est rendu étranger à l'homme."

Sur le fait que l'homme ait besoin de se reconnaître dans ce qu'il produit justement:
- Feuerbach,
"Sans objet l’homme n’est rien... Or l’objet auquel un sujet se rapporte par essence et nécessité n’est rien d’autre que l’essence propre de ce sujet, mais objectivée."

Enfin, si tu crois que le stoïcisme (courant dans lequel se situe les propos du Dalaï-Lama que tu m'as rapportés, mais ça tu le sais déjà) exclut toute forme de révolte et de lutte contre les injustices, je te conseille de méditer cette formule de Marc-Aurèle:

"Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre.»

a écrit : Je prends la peine d'argumenter sérieusement et de discuter ce que tu avances de façon péremptoire, et toi tu ignores mes propos (et les incohérences que je souligne dans ton discours) et tu te contentes de m'insulter ("ta petite tête").
C'est donc là ton concept du débat ??
Sache
que l'injure est l'arme de ceux qui n'ont rien à dire.

Dans ces conditions autant mettre un terme à cette discussion qui n'en a jamais été une d'ailleurs.
Et évite à l'avenir de m'interpeller à propos de mes interventions, comme tu l'as fait ici, si tu refuses la confrontation d'idées.

Je te laisse malgré tout quelques idées de lecture qui font autorité:

-Charles Taylor, Multiculturalism: Examining the Politics of Recognition.
Il y est rappelé que "la reconnaissance n'est pas une politesse que l'on se fait, c'est un besoin vital"

Sur les conséquences désastreuses du travail à la chaîne et sur la division du travail:
- Karl Marx, Manuscrits de 1844, on peut y lire qu' "Une conséquence immédiate du fait que l'homme est rendu étranger au produit de son travail : l'homme est rendu étranger à l'homme."

Sur le fait que l'homme ait besoin de se reconnaître dans ce qu'il produit justement:
- Feuerbach,
"Sans objet l’homme n’est rien... Or l’objet auquel un sujet se rapporte par essence et nécessité n’est rien d’autre que l’essence propre de ce sujet, mais objectivée."

Enfin, si tu crois que le stoïcisme (courant dans lequel se situe les propos du Dalaï-Lama que tu m'as rapportés, mais ça tu le sais déjà) exclut toute forme de révolte et de lutte contre les injustices, je te conseille de méditer cette formule de Marc-Aurèle:

"Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre.»
Afficher tout
Tu mélanges tout. Évidement qu'il y a de la littérature qui parle des conditions de travail et c'est évident qu'il vaut mieux travailler dans de bonnes conditions que dans des mauvaises conditions. Mais ces auteurs-là ne parlent pas de la recherche du bonheur. Ce sont des choses complètement différentes. Et c'est justement ce qui empêche les gens d'être heureux s'ils restent bloqués sur leurs conditions de travail, même s'ils ne peuvent rien y changer, alors que d'autres qui ont un autre mode de pensée peuvent être heureux avec les mêmes conditions de travail. Le bonheur est le fait d'être heureux et c'est une chose différente du bien être au travail. Et ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit : je ne dis pas que l'exploitation des ouvriers est normale et qu'il faut la subir et se résigner. Je dis simplement qu'il ne faut pas mélanger la notion de bonheur avec tout ça. Quant à la petite tête c'est une insulte uniquement si tu crois que ta tête est plus grosse que celles de tous les penseurs qui t'ont précédés réunies sinon tu devrais trouver ça normal d'avoir une petite tête.

a écrit : Conditionner le bonheur et la satisfaction de sa vie sur les conditions de travail et le salaire associé est la pire idiotie du monde. On peut être riche, célèbre, ne pas travailler, et rester triste toute sa vie, tout comme on peut avoir un métier dur et mal payé et être totalement épanoui dans sa vie.

Ch
acun définit dans sa vie ce qui lui est important et ce n'est pas parce qu'il a des conditions de vie qui extérieurement semblent bien meilleurs qu'il n'a pas le droit d'être triste, anxieux, mal dans sa vie...

Il suffit de voir le nombre de célébrités qui n'y survivent pas et sombrent dans l'alcool et la drogue. C'est pas une vie pour tout le monde et ils ont totalement le droit d'avoir leurs problèmes à leur niveau.

Dire qu'une personne est riche donc n'a pas le droit de se plaindre parce que d'autres sont plus pauvres c'est vraiment débile.

On pourrait poursuivre ton raisonnement. Pauvre homme qui doit se lever tous les matins à 5 heures pour aller travailler à l'usine, dire qu'il aurait pu ne pas avoir de travail et être à la rue ! Pauvre homme qui n'a pas de travail et est à la rue, dire qu'il aurait pu être à la rue et handicapé ! Pauvre homme qui est à la rue et handicapé, dire qu'il aurait pu...

Et dernière chose, tu considères qu'être acteur est un métier facile, mais il y en a beaucoup qui ne percent pas. Prendrais-tu le risque de quitter tes études en sachant que tu as beaucoup plus de chance de rater ta carrière que de la réussir ?
Afficher tout
Bonjour, je suis d'accord avec vous sur une majorité de points mais un bémol quand même, nombreux sont ceux qui se lancent dans le métier d'acteurs parce qu'ils ont Papa et Maman derrière pour assurer le côté financier du truc. J'en connais plusieurs qui suivent ou ont suivi les cours Florent par exemple sans avoir à bosser à côté avec les parents qui payent l'appartement, les courses ...

Posté le

android

(0)

Répondre

ho le pauvre petit ! il lui faut une therapie pour accepter d'avoir du succes et du fric ? quel courage je vais pleurer