Airbnb, une histoire de matelas gonflable

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A l'origine d'Airbnb, il y avait deux fondateurs qui accueillaient des personnes chez eux sur un matelas gonflable afin d’arrondir leurs fins de mois. Ils créèrent alors le site airbedandbreakfast.com, dont la traduction est « matelas gonflable et petit déjeuner ». Le terme actuel est donc une contraction de l’adresse originale et si vous tapez cette dernière vous serez redirigé sur le site actuel.


Commentaires préférés (3)

Pour être souvent passé par ce site, on est désormais loin de l'idée initiale. Les personnes qui proposent des hébergements sont maintenant bien souvent des propriétaires qui louent leurs différents bien en logement indépendant. Donc vous ne dormez plus "chez l'habitant" mais dans une location standard.

Maintenant c’est plus « arrondir » les fins de mois,
C’est « agrandir » le mois (où le « Moi » ) tout simplement ;)

a écrit : J’imagine aisément que les fondateurs ont été viré depuis belle lurette ^^

Ça me fait penser a des statistiques que j’avais trouvé lors d’une étude de marché pour mon projet de création d’entreprise.

Tous le monde le sait, 1 seule entreprise sur 3 passe la barre fatidique des 3 ans.

/> Mais ce qui est intéressant, c’est ce qu’il se passe après pour les dirigeant dans les start-up de plus de 3 ans :
75% sont virés contre leur grée (j’insiste : contre leur grée. Je parle pas de ceux qui revendent leur part... cf plus loin).

Et dans le 1/4 restant on a pêle-mêle :
- ceux qui ont revendue volontairement leur actions pour se faire du fric (ce qui était leur but à la base)
- ceux qui ont été re-légué au placard, sans être viré. (Un poste de responsable sans pouvoir)
- ceux qui avaient une bonne gueule et une belle histoire de départ qui sont conservés dans la boîte, mais ne sont plus que des « figures de proue » pour faire la promo commerciale, mais n’ont plus aucun pouvoir décisionnel.
- ceux qui sont relégués à un job technique, mais plus à la direction de quoi que ce soit.

Et enfin seulement fait extrêmement rarissime : ceux qui ont conservé un tant soit peu le contrôle de leur entreprise... mais c’est vraiment anecdotique.

^^
Ça donne une autre idée des « start up » c’est surtout une structure commerciale et juridique créé pour permettre aux grands financiers de pomper les idées qu’ils sont incapable d’avoir eux même, sans avoir à prendre de risque.

C’est pour ça qu’on en fait une telle propagande, en particulier auprès des jeunes créateurs, leur faisant croire que c’est la « voie obligée » pour créer une entreprise qui marche ! ^^
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Tu as pris le temps de regarder les sources vraiment? Non mais franchement, ta première phrase est si affirmative !!
Nonobstant ceci, selon les sources, les trois fondateurs sont toujours à la tête de la société, d’ailleurs leur histoire de démarrage est incroyable et m’a fait sourire; Extrait de Wikipédia : «Afin de financer le site Internet, les trois fondateurs créent une édition spéciale de boîtes de céréales pour le petit déjeuner, en s'inspirant pour le design des candidats à la présidentielle américaine de l'époque, Barack Obama et John McCain. Ils créent ainsi les « Obama O's » et « Cap'n McCain ». En deux mois, 800 boîtes de céréales sont vendues à 40 $ pièce et ils gagnent ainsi plus de 30 000 $ pour le développement de leur entreprise. » Entre nous, Réussir à vendre une boîte de céréales 40 $ il faut le faire ;).


Tous les commentaires (24)

D'ailleurs certains matelas gonflable sont bien plus confortable que des lits

Pour être souvent passé par ce site, on est désormais loin de l'idée initiale. Les personnes qui proposent des hébergements sont maintenant bien souvent des propriétaires qui louent leurs différents bien en logement indépendant. Donc vous ne dormez plus "chez l'habitant" mais dans une location standard.

Maintenant c’est plus « arrondir » les fins de mois,
C’est « agrandir » le mois (où le « Moi » ) tout simplement ;)

J’imagine aisément que les fondateurs ont été viré depuis belle lurette ^^

Ça me fait penser a des statistiques que j’avais trouvé lors d’une étude de marché pour mon projet de création d’entreprise.

Tous le monde le sait, 1 seule entreprise sur 3 passe la barre fatidique des 3 ans.

Mais ce qui est intéressant, c’est ce qu’il se passe après pour les dirigeant dans les start-up de plus de 3 ans :
75% sont virés contre leur grée (j’insiste : contre leur grée. Je parle pas de ceux qui revendent leur part... cf plus loin).

Et dans le 1/4 restant on a pêle-mêle :
- ceux qui ont revendue volontairement leur actions pour se faire du fric (ce qui était leur but à la base)
- ceux qui ont été re-légué au placard, sans être viré. (Un poste de responsable sans pouvoir)
- ceux qui avaient une bonne gueule et une belle histoire de départ qui sont conservés dans la boîte, mais ne sont plus que des « figures de proue » pour faire la promo commerciale, mais n’ont plus aucun pouvoir décisionnel.
- ceux qui sont relégués à un job technique, mais plus à la direction de quoi que ce soit.

Et enfin seulement fait extrêmement rarissime : ceux qui ont conservé un tant soit peu le contrôle de leur entreprise... mais c’est vraiment anecdotique.

^^
Ça donne une autre idée des « start up » c’est surtout une structure commerciale et juridique créé pour permettre aux grands financiers de pomper les idées qu’ils sont incapable d’avoir eux même, sans avoir à prendre de risque.

C’est pour ça qu’on en fait une telle propagande, en particulier auprès des jeunes créateurs, leur faisant croire que c’est la « voie obligée » pour créer une entreprise qui marche ! ^^

a écrit : J’imagine aisément que les fondateurs ont été viré depuis belle lurette ^^

Ça me fait penser a des statistiques que j’avais trouvé lors d’une étude de marché pour mon projet de création d’entreprise.

Tous le monde le sait, 1 seule entreprise sur 3 passe la barre fatidique des 3 ans.

/> Mais ce qui est intéressant, c’est ce qu’il se passe après pour les dirigeant dans les start-up de plus de 3 ans :
75% sont virés contre leur grée (j’insiste : contre leur grée. Je parle pas de ceux qui revendent leur part... cf plus loin).

Et dans le 1/4 restant on a pêle-mêle :
- ceux qui ont revendue volontairement leur actions pour se faire du fric (ce qui était leur but à la base)
- ceux qui ont été re-légué au placard, sans être viré. (Un poste de responsable sans pouvoir)
- ceux qui avaient une bonne gueule et une belle histoire de départ qui sont conservés dans la boîte, mais ne sont plus que des « figures de proue » pour faire la promo commerciale, mais n’ont plus aucun pouvoir décisionnel.
- ceux qui sont relégués à un job technique, mais plus à la direction de quoi que ce soit.

Et enfin seulement fait extrêmement rarissime : ceux qui ont conservé un tant soit peu le contrôle de leur entreprise... mais c’est vraiment anecdotique.

^^
Ça donne une autre idée des « start up » c’est surtout une structure commerciale et juridique créé pour permettre aux grands financiers de pomper les idées qu’ils sont incapable d’avoir eux même, sans avoir à prendre de risque.

C’est pour ça qu’on en fait une telle propagande, en particulier auprès des jeunes créateurs, leur faisant croire que c’est la « voie obligée » pour créer une entreprise qui marche ! ^^
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Et oui...
On fait croire que créer sa propre entreprise est simple et te rapporte du pognon en peu de temp alors que la réalité est bien plus sombre ...mais après tout qui ne tente rien n’a rien .

a écrit : J’imagine aisément que les fondateurs ont été viré depuis belle lurette ^^

Ça me fait penser a des statistiques que j’avais trouvé lors d’une étude de marché pour mon projet de création d’entreprise.

Tous le monde le sait, 1 seule entreprise sur 3 passe la barre fatidique des 3 ans.

/> Mais ce qui est intéressant, c’est ce qu’il se passe après pour les dirigeant dans les start-up de plus de 3 ans :
75% sont virés contre leur grée (j’insiste : contre leur grée. Je parle pas de ceux qui revendent leur part... cf plus loin).

Et dans le 1/4 restant on a pêle-mêle :
- ceux qui ont revendue volontairement leur actions pour se faire du fric (ce qui était leur but à la base)
- ceux qui ont été re-légué au placard, sans être viré. (Un poste de responsable sans pouvoir)
- ceux qui avaient une bonne gueule et une belle histoire de départ qui sont conservés dans la boîte, mais ne sont plus que des « figures de proue » pour faire la promo commerciale, mais n’ont plus aucun pouvoir décisionnel.
- ceux qui sont relégués à un job technique, mais plus à la direction de quoi que ce soit.

Et enfin seulement fait extrêmement rarissime : ceux qui ont conservé un tant soit peu le contrôle de leur entreprise... mais c’est vraiment anecdotique.

^^
Ça donne une autre idée des « start up » c’est surtout une structure commerciale et juridique créé pour permettre aux grands financiers de pomper les idées qu’ils sont incapable d’avoir eux même, sans avoir à prendre de risque.

C’est pour ça qu’on en fait une telle propagande, en particulier auprès des jeunes créateurs, leur faisant croire que c’est la « voie obligée » pour créer une entreprise qui marche ! ^^
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Tu as pris le temps de regarder les sources vraiment? Non mais franchement, ta première phrase est si affirmative !!
Nonobstant ceci, selon les sources, les trois fondateurs sont toujours à la tête de la société, d’ailleurs leur histoire de démarrage est incroyable et m’a fait sourire; Extrait de Wikipédia : «Afin de financer le site Internet, les trois fondateurs créent une édition spéciale de boîtes de céréales pour le petit déjeuner, en s'inspirant pour le design des candidats à la présidentielle américaine de l'époque, Barack Obama et John McCain. Ils créent ainsi les « Obama O's » et « Cap'n McCain ». En deux mois, 800 boîtes de céréales sont vendues à 40 $ pièce et ils gagnent ainsi plus de 30 000 $ pour le développement de leur entreprise. » Entre nous, Réussir à vendre une boîte de céréales 40 $ il faut le faire ;).

a écrit : D'ailleurs certains matelas gonflable sont bien plus confortable que des lits Ça va plus loin que « matelas gonflable et petit déjeuner », il y a une sorte de jeu de mot.

Matelas gonflable = airbed
Chambre avec petit déjeuner = bed and breakfast, ou fréquemment BnB

Si je ne me trompe pas, c’est donc un mot valise:

Airbed + BnB = Airbnb

a écrit : Tu as pris le temps de regarder les sources vraiment? Non mais franchement, ta première phrase est si affirmative !!
Nonobstant ceci, selon les sources, les trois fondateurs sont toujours à la tête de la société, d’ailleurs leur histoire de démarrage est incroyable et m’a fait sourire; Extrait de Wikipédia : «Af
in de financer le site Internet, les trois fondateurs créent une édition spéciale de boîtes de céréales pour le petit déjeuner, en s'inspirant pour le design des candidats à la présidentielle américaine de l'époque, Barack Obama et John McCain. Ils créent ainsi les « Obama O's » et « Cap'n McCain ». En deux mois, 800 boîtes de céréales sont vendues à 40 $ pièce et ils gagnent ainsi plus de 30 000 $ pour le développement de leur entreprise. » Entre nous, Réussir à vendre une boîte de céréales 40 $ il faut le faire ;). Afficher tout
The american dream...

Enfin le concept initial se rapproche bcp plus du couchsurfing que de ce qu'est airbnb aujourd'hui.

a écrit : Tu as pris le temps de regarder les sources vraiment? Non mais franchement, ta première phrase est si affirmative !!
Nonobstant ceci, selon les sources, les trois fondateurs sont toujours à la tête de la société, d’ailleurs leur histoire de démarrage est incroyable et m’a fait sourire; Extrait de Wikipédia : «Af
in de financer le site Internet, les trois fondateurs créent une édition spéciale de boîtes de céréales pour le petit déjeuner, en s'inspirant pour le design des candidats à la présidentielle américaine de l'époque, Barack Obama et John McCain. Ils créent ainsi les « Obama O's » et « Cap'n McCain ». En deux mois, 800 boîtes de céréales sont vendues à 40 $ pièce et ils gagnent ainsi plus de 30 000 $ pour le développement de leur entreprise. » Entre nous, Réussir à vendre une boîte de céréales 40 $ il faut le faire ;). Afficher tout
C’est vrai que y’a pas bcp d’exemples de boites connues où les fondateurs sont restés aux commandes :
- Steve Jobs
- Bill Gates
- Mark Zuckerberg
- Jeff Bezos
- Granjon
- Niel

a écrit : Tu as pris le temps de regarder les sources vraiment? Non mais franchement, ta première phrase est si affirmative !!
Nonobstant ceci, selon les sources, les trois fondateurs sont toujours à la tête de la société, d’ailleurs leur histoire de démarrage est incroyable et m’a fait sourire; Extrait de Wikipédia : «Af
in de financer le site Internet, les trois fondateurs créent une édition spéciale de boîtes de céréales pour le petit déjeuner, en s'inspirant pour le design des candidats à la présidentielle américaine de l'époque, Barack Obama et John McCain. Ils créent ainsi les « Obama O's » et « Cap'n McCain ». En deux mois, 800 boîtes de céréales sont vendues à 40 $ pièce et ils gagnent ainsi plus de 30 000 $ pour le développement de leur entreprise. » Entre nous, Réussir à vendre une boîte de céréales 40 $ il faut le faire ;). Afficher tout
Je n’ai pas regardé les sources, mais j’en profitais pour faire un peu d’anti propagande et rappeler la réalité de la situation sur les start-up.

Histoire que ceux qui seraient enthousiasmés par la cette voies cherchent d’autres voies pour entreprendre que celle qui les plumera dans plus de 95% des cas.
Ça n’est qu’un business modèle, et ce modèle est très peu efficace pour les entrepreneurs (et beaucoup plus pour les investisseurs... c’est à dire, ceux qui leur piqueront l’idée, le blé, et tout pouvoir. C’est pour ça qu’on le présente toujours comme « merveilleux » )

Que ces derniers soient ou non encore chef de leur entreprise. Ça n’est pas la question, au contraire même. Les « petites histoires merveilleuse des start-up » font partit de la propagande. Désolé de casser un peu le rêve pour éviter que des jeunes influençables se laissent bouffer par ces images fausse de « gloire et d’argent facile »

Par ailleurs, je doute très fortement qu’ils détiennent un réel pouvoir sur leur structure. J’avais bien compris qu’ils étaient encore dedans puisque ça fait partit des « belles histoires »

Airbnb ne s’est développé (comme tout modèle start-up) que sur la participation de très gros investisseurs. Et les très gros investisseurs ne donnent pas leur argent sans détenir un pouvoir réel sur les structures, et leur rentabilisation.

Je penche plus sur la figure de proue. Puisque leur personnalité et leur histoire « fait rêver » ;)

a écrit : Et oui...
On fait croire que créer sa propre entreprise est simple et te rapporte du pognon en peu de temp alors que la réalité est bien plus sombre ...mais après tout qui ne tente rien n’a rien .
Il y a surtout des centaines d’autres façon de créer son entreprise. C’est surtout ça l’arnaque.

a écrit : Il y a surtout des centaines d’autres façon de créer son entreprise. C’est surtout ça l’arnaque. Comme...?
C'est bien de démystifier le bazar, mais c'est quoi les trucs + intéressant? (Histoire de pas laisser les wannabe entrepreneurs dans le désespoir le plus profond)

Tout comme le site Amazon,

son anciens nom de domaine www.relentless.com entré dans L'URL, et vous serez rediriger vers Amazon.com

J'avais parlé une fois en soiré à un mec super sympa qui loue une chambre AirBnB dans son appart à Paris.
Le mec me disait sérieusement qu'il faisait pas ça pour arrondir ses fins de mois en premier lieu, mais surtout pour "faire découvrir la ville" aux jeunes touristes venues des 4 coins du monde entre copines ou même seules.
Il regardait "Amélie Poulin" et "Le père Noël est une ordure" plusieurs fois par mois XD

a écrit : Je n’ai pas regardé les sources, mais j’en profitais pour faire un peu d’anti propagande et rappeler la réalité de la situation sur les start-up.

Histoire que ceux qui seraient enthousiasmés par la cette voies cherchent d’autres voies pour entreprendre que celle qui les plumera dans plus de 95% des cas.r /> Ça n’est qu’un business modèle, et ce modèle est très peu efficace pour les entrepreneurs (et beaucoup plus pour les investisseurs... c’est à dire, ceux qui leur piqueront l’idée, le blé, et tout pouvoir. C’est pour ça qu’on le présente toujours comme « merveilleux » )

Que ces derniers soient ou non encore chef de leur entreprise. Ça n’est pas la question, au contraire même. Les « petites histoires merveilleuse des start-up » font partit de la propagande. Désolé de casser un peu le rêve pour éviter que des jeunes influençables se laissent bouffer par ces images fausse de « gloire et d’argent facile »

Par ailleurs, je doute très fortement qu’ils détiennent un réel pouvoir sur leur structure. J’avais bien compris qu’ils étaient encore dedans puisque ça fait partit des « belles histoires »

Airbnb ne s’est développé (comme tout modèle start-up) que sur la participation de très gros investisseurs. Et les très gros investisseurs ne donnent pas leur argent sans détenir un pouvoir réel sur les structures, et leur rentabilisation.

Je penche plus sur la figure de proue. Puisque leur personnalité et leur histoire « fait rêver » ;)
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Non, moi ça va merci...
Après cela dépend ce qu’on inclus dans le concept fourre-tout de « start-up ». Personne de veut « start-down » pu « start-slow ».
C’est quoi les start-up ? La tech ? Les inventions ? Les nouveautés ? L’internet ?
C’est très vague.
Et, je n’ai pas fais d’étude exhaustive sur le sujet mais j’ai pleins de connaissances (moi y compris) qui sont encore totalement au contrôle de leur « start-up », qui fonctionne bien après plus de 3 ans. Alors après bien sûr c’est rarement des bénéfices qui se comptent millions car pour grandir vite il faut effectivement faire entrer des investisseurs. Mais ça peut être de bonnes boites rentables,

a écrit : J'avais parlé une fois en soiré à un mec super sympa qui loue une chambre AirBnB dans son appart à Paris.
Le mec me disait sérieusement qu'il faisait pas ça pour arrondir ses fins de mois en premier lieu, mais surtout pour "faire découvrir la ville" aux jeunes touristes venues des 4 coins d
u monde entre copines ou même seules.
Il regardait "Amélie Poulin" et "Le père Noël est une ordure" plusieurs fois par mois XD
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« Super sympa » ?
Le mec il ne fait découvrir la ville qu’aux jeunes femmes ? Creepy...

a écrit : Je n’ai pas regardé les sources, mais j’en profitais pour faire un peu d’anti propagande et rappeler la réalité de la situation sur les start-up.

Histoire que ceux qui seraient enthousiasmés par la cette voies cherchent d’autres voies pour entreprendre que celle qui les plumera dans plus de 95% des cas.r /> Ça n’est qu’un business modèle, et ce modèle est très peu efficace pour les entrepreneurs (et beaucoup plus pour les investisseurs... c’est à dire, ceux qui leur piqueront l’idée, le blé, et tout pouvoir. C’est pour ça qu’on le présente toujours comme « merveilleux » )

Que ces derniers soient ou non encore chef de leur entreprise. Ça n’est pas la question, au contraire même. Les « petites histoires merveilleuse des start-up » font partit de la propagande. Désolé de casser un peu le rêve pour éviter que des jeunes influençables se laissent bouffer par ces images fausse de « gloire et d’argent facile »

Par ailleurs, je doute très fortement qu’ils détiennent un réel pouvoir sur leur structure. J’avais bien compris qu’ils étaient encore dedans puisque ça fait partit des « belles histoires »

Airbnb ne s’est développé (comme tout modèle start-up) que sur la participation de très gros investisseurs. Et les très gros investisseurs ne donnent pas leur argent sans détenir un pouvoir réel sur les structures, et leur rentabilisation.

Je penche plus sur la figure de proue. Puisque leur personnalité et leur histoire « fait rêver » ;)
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Ou alors on petit faire confiance aux gens pour être critique, notamment pour ne pas être assez simpliste voire benêt pour limiter une structure juridique à un modèle d'entreprise. Par ailleurs je ne vois où est la propagande. Personnellement j'ai vu plus d'échecs que de succès pour les starts up, et je pense que tout le monde comprend que les succès sont plus médiatisés que les échecs, ce n'est pas propre aux starts up. J'ai aussi vu, mais ce n'est que mon avis, pas mal de start up qui vendaient du rêve pour attirer les investisseurs, sans qu'il n'y ait rien derrière.

a écrit : « Super sympa » ?
Le mec il ne fait découvrir la ville qu’aux jeunes femmes ? Creepy...
Creepy, je te l'accorde XD
Après il devait surement avoir des locataires mecs parfois. Et puis il était sociable et "cool" pendant la soirée, je le connais pas plus que ça ^^

a écrit : Non, moi ça va merci...
Après cela dépend ce qu’on inclus dans le concept fourre-tout de « start-up ». Personne de veut « start-down » pu « start-slow ».
C’est quoi les start-up ? La tech ? Les inventions ? Les nouveautés ? L’internet ?
C’est très vague.
Et, je n’ai pas fais d’étude exhaustive
sur le sujet mais j’ai pleins de connaissances (moi y compris) qui sont encore totalement au contrôle de leur « start-up », qui fonctionne bien après plus de 3 ans. Alors après bien sûr c’est rarement des bénéfices qui se comptent millions car pour grandir vite il faut effectivement faire entrer des investisseurs. Mais ça peut être de bonnes boites rentables, Afficher tout
Toute jeune entreprise n’est pas une start-up. C’est parodique de dire qu’on a « créé sa start up » en général.

La start up comme son nom l’indique commence en haut, c’est à dire avec de très gros investissements de départ, ou vise à cours terme à une croissance extrêmement rapide pour obtenir rapidement ces investissements.

Il s’agit de prendre le plus rapidement possible une position dominante sur un marché. (Qui peut être réduit à une niche)

C’est donc à grands renforts d’emprunt et d’appel à l’investissement que ça fonctionne. Et sur une énorme campagne de communication.
En gros, il s’agit de plaire (beaucoup) aux banquiers et investisseurs qui vont concentrer la majeure partie de l’attention. Et surtout l’état d’esprit dans lequel sont rédigés les statuts, et l’élaboration du business modèle.

L’idée n’est pas de viser l’équilibre budgétaire, ou de grimper lentement, encore moins de réfléchir à la stabilité d’une structure, mais de dégager très rapidement un énorme bénéfice pour contenter les « Business Angels »
Donc d’arnaquer profondément ses clients. Sinon, ça ne marche pas. Les arnaquer directement, ou les capturer dans un piège type uber qui les ferons payer plus tard leur confiance.

C’est là que le bas blesse pour moi, ça rompt le contrat social de base entre client et entrepreneur.
Là où ça blesse pour les entrepreneurs, c’est que leur profils seront ponctionnés par les banques et les investisseurs.

La majeure partie du travail de création est en réalité de faire une étude de marché gratuite pour ces investisseurs, (parce que ça a beaucoup de valeur une étude de marché) et de « tester le modèle » en prenant tous les risques, pour permettre au requins de la finance après de prendre le contrôle de l’entreprise.
Alors que les faibles ressources de départ des entrepreneurs exigerait plutôt de commencer rapidement.

On fait même des « fermes » à start-up aujourd’hui, pour ceux qui aiment bien se sentir à la place de volailles. Fermes financés et soutenus par de gros groupes, qui testent ainsi les nouvelles idées par les autres, avant soit de les vampiriser dès qu’elles commencent à montrer des signes intéressant, soit de développer elles-même ces idées quand celui qui a essuyé les plâtre s’est vautré.
Une idée novatrice se vautre en premier. Il faut qu’elle fasse son chemin avant de pouvoir devenir rentable.

La revente des business modèles et des idées des pauvres types qui s’y retrouvent fourni même un marché extrêmement lucratif. ( Oui, parce que vous croyez qu’on vous conseille partout à ce point de communiquer vos idées et vos business modèles par hasard ? )

Le problème, c’est qu’on oriente des jeunes dans une logique qui ne sert pas leurs propres intérêts.

On les focalises sur des emprunts lourds, sur des appels à investisseurs et sur la comm. Plutôt que sur le tissage d’une relation de confiance véritable avec ses clients, et de se trouver des fournisseurs de confiance et surtout à leur hauteur ( parce que se créer des clients dépendant est aussi le but des gros industriels qui soutiennent les choses )
On les focalise sur les idées nouvelle et peu fiables, plutôt que de les orienter vers des activités peut-être moins novatrices, mais où ils seront certains de pouvoir développer leur entreprise.

On joue sur l’ambition et l’aveuglement des jeunes rêveurs qui s’imaginent changer le monde et doivent se transformer eux-mêmes en symboles de l’ulta-libéralisme pour plaire à ces gros investisseurs.

L’idée même d’orienter des jeunes inexpérimentés sur les idées les plus risquées, en exigent d’eux qu’ils croissent à une vitesse rendant leur structure très instable, et en tissant des liens de soumissions contractuels avec les pires exploitant expérimentés et démesurément puissant ... ça devrait mettre la puce à l’oreille pourtant, si on prenait un peu le temps d’y réfléchir.