Henri II et Catherine de Médicis ont dû changer de position pour avoir des enfants

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Le roi Henri II était atteint d'une déformation de la verge, dénommée la maladie de La Peyronie. Cela l'empêcha un temps d'avoir une descendance avec la reine mais curieusement pas avec sa maîtresse. Son premier médecin Jean Fernel comprit la nature du problème (Catherine de Médicis avait elle une rétroversion utérine) et invita le royal couple à changer de position avec succès.


Commentaires préférés (3)

on pense que le problème venait plutôt du roi qui ensemençait pas dans la bonne direction. Il devait pratiquer le missionnaire. En tout cas comme par miracle ce royal couple fut ensuite l'un des plus fécond de l'histoire .

En effet, selon Wikipédia : "Son infertilité temporaire est en fait due à une malformation pénienne causée par un hypospadias (ouverture de l'urètre sur la face inférieure du pénis), comme le diagnostique son médecin Jean Fernel qui lui recommande avec succès de pratiquer le coitus more ferarum (levrette) pour pouvoir procréer"

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a écrit : Faut-il en déduire qu'il s'amusait plus avec sa maîtresse qu'avec sa femme ?... loin de nous cette idée saugrenue ! Aheum. Ceci dit il aurait pu dès le départ penser à varier les positions... À cette époque et pendant très longtemps après la femme "officiel" n'était pas là pour avoir un plaisir érotique, son rôle était de porter des enfants légitimes et vouloir avoir du plaisir avec elle c'était l'insulter de catin.
Le plaisir et s'amuser c'était avec les maîtresses.

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Tous les commentaires (36)

on pense que le problème venait plutôt du roi qui ensemençait pas dans la bonne direction. Il devait pratiquer le missionnaire. En tout cas comme par miracle ce royal couple fut ensuite l'un des plus fécond de l'histoire .

Faut-il en déduire qu'il s'amusait plus avec sa maîtresse qu'avec sa femme ?... loin de nous cette idée saugrenue ! Aheum. Ceci dit il aurait pu dès le départ penser à varier les positions...

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"On ouvre pas des nouvelles portes avec des vieilles clés"...

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En effet, selon Wikipédia : "Son infertilité temporaire est en fait due à une malformation pénienne causée par un hypospadias (ouverture de l'urètre sur la face inférieure du pénis), comme le diagnostique son médecin Jean Fernel qui lui recommande avec succès de pratiquer le coitus more ferarum (levrette) pour pouvoir procréer"

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Pour une fois je ne souhaite pas de photos illustrant l'anecdote

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Il aurait pu être intéressant de préciser en quoi consiste cette déformation.
Sinon, ils n’avaient jamais pensé à changer de position ? Je veux bien que c’est une autre époque , mais le sexe c’est pas lié à la technologie , les positions ne sont pas apparues aujourd’hui

As t’il donné naissance au fantôme à la quequette tordue ?

a écrit : Faut-il en déduire qu'il s'amusait plus avec sa maîtresse qu'avec sa femme ?... loin de nous cette idée saugrenue ! Aheum. Ceci dit il aurait pu dès le départ penser à varier les positions... À cette époque et pendant très longtemps après la femme "officiel" n'était pas là pour avoir un plaisir érotique, son rôle était de porter des enfants légitimes et vouloir avoir du plaisir avec elle c'était l'insulter de catin.
Le plaisir et s'amuser c'était avec les maîtresses.

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a écrit : on pense que le problème venait plutôt du roi qui ensemençait pas dans la bonne direction. Il devait pratiquer le missionnaire. En tout cas comme par miracle ce royal couple fut ensuite l'un des plus fécond de l'histoire . Il a rattrapé son retard le vicelard. Et Bim la Queen couine

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les ébats d'Henri II et Catherine de Médicis pour obtenir un héritier : aussi excitant qu'un vieil étron momifié aspergé d'eau bénite

a écrit : Pour une fois je ne souhaite pas de photos illustrant l'anecdote Excellent

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a écrit : En effet, selon Wikipédia : "Son infertilité temporaire est en fait due à une malformation pénienne causée par un hypospadias (ouverture de l'urètre sur la face inférieure du pénis), comme le diagnostique son médecin Jean Fernel qui lui recommande avec succès de pratiquer le coitus more ferarum (levrette) pour pouvoir procréer" Afficher tout Encore un qui devait se pisser sur ses bottes.

a écrit : Il aurait pu être intéressant de préciser en quoi consiste cette déformation.
Sinon, ils n’avaient jamais pensé à changer de position ? Je veux bien que c’est une autre époque , mais le sexe c’est pas lié à la technologie , les positions ne sont pas apparues aujourd’hui
Il n'est pas impossible que la fornication royale ait été suivie par des témoins, médecins ou autres officiels (la merde royale était bien étudiée avec attention par les meilleurs médecins du royaume). Dans ce cas les cabrioles étaient certainement très limitées. Par contre avec sa maîtresse (qui par définition devait être la reine du cul) ce devait être Versailles avant l'heure....

a écrit : À cette époque et pendant très longtemps après la femme "officiel" n'était pas là pour avoir un plaisir érotique, son rôle était de porter des enfants légitimes et vouloir avoir du plaisir avec elle c'était l'insulter de catin.
Le plaisir et s'amuser c'était avec les maîtresses.
Tu as des sources ?
Car il me semble que, certes le rôle premier d’une reine était effectivement d’assurer la pérennité de la couronne, mais le plaisir n’était pas interdit.
Ce qui fait que les rois avaient du plaisir avec leurs maîtresses et pas leur femme, c’est simplement que les maîtresses ils les choisissaient alors que souvent les reines étaient un mariage politique et par conséquent l’acte sexuel n’avait pour but que la procréation.
Certains rois et reines ont eu des mariages heureux y compris sur le plan sexuel (je pense à Victoria et Albert par exemple )

ah ouais j'oubliai de dire que bien entendu c'est Catherine de Médicis qui fut remis en cause. elle tenta tous les remèdes de rebouteux même les plus débiles. Elle frôla la répudiation car l'infertilité était un motif valable pour le Vatican je pense (qualité essentielle manquante)

a écrit : À cette époque et pendant très longtemps après la femme "officiel" n'était pas là pour avoir un plaisir érotique, son rôle était de porter des enfants légitimes et vouloir avoir du plaisir avec elle c'était l'insulter de catin.
Le plaisir et s'amuser c'était avec les maîtresses.
Je me permets de contribuer sommairement à votre commentaire.
Il me semble avoir vu dans un documentaire sur la Grèce antique que si les femmes servaient - il est vrai - uniquement à procréer, c’était avec d’autres hommes (souvent jeunes - et à plusieurs ?) que l’on s’adonnait aux plaisirs et découvertes sexuelles. À préciser bien sûr.

a écrit : As t’il donné naissance au fantôme à la quequette tordue ? Tu m'as tuée !
Merci pour ce fou rire, avant de dormir ça fait du bien !

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a écrit : Je me permets de contribuer sommairement à votre commentaire.
Il me semble avoir vu dans un documentaire sur la Grèce antique que si les femmes servaient - il est vrai - uniquement à procréer, c’était avec d’autres hommes (souvent jeunes - et à plusieurs ?) que l’on s’adonnait aux plaisirs et découvertes sexuell
es. À préciser bien sûr. Afficher tout
C'est bien ça.
La femme était jugé sale à cause des règles et le plaisir de l'amour c'était d'homme adulte à jeune homme.
Mais je crois que c'était spécifique à Athènes et les cités sous son emprise et non toute la Grèce antique.

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10 enfants en douze ans, tout de même !
Une fois la technique trouvée, elle n'a pas arrêter d'enfanter !