Les drogues de synthèse sont aussi un désastre écologique

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Si l'on connaît l'effet néfaste des drogues de synthèse sur la santé, on néglige souvent d'aborder l'impact environnemental de la production de ces substances. Ainsi, la production clandestine de 1 kg de MDMA (ecstasy) engendre 6 à 10 kg de déchets toxiques qui, souvent, sont abandonnés en pleine nature.


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a écrit : Bien entendu, l'abandon des déchets dans la nature est complètement liée à la clandestinité des labos. Mais il faut faire la part des choses, on parle de labos immenses ici, d'installations industrielles, pas du chimiste en herbe qui fabrique sa conso du weekend dans son garage.
Et la clandestinité adop
tée par ces labos n'est pas subie, elle est assumée. Pourquoi ces types font de la production clandestine de drogues ? Parce que c'est très rentable. C'est tout.
Et votre comparaison avec un labo pharmaceutique est très pertinente. Imaginons qu'on légalise la production de MDMA. Il faudrait que les fabricants de drogue:
- Organisent et financent des tests longs et coûteux avant la mise sur le marché des produits
- Financent une sécurité sociale, un droit à la formation et des congés payés à leurs "employés", des weekends et un temps de travail hebdo conformes à la loi.
- Faudrait qu'ils respectent leurs employés, qu'ils investissent dans des installations respectant les normes de sécurité: aération, masques, combis, douche de décontamination, détecteur multi-gaz, sas d'étanchéité en le lieu de production et le lieu de restauration...
- Faudrait surtout qu'il déclarent leur chiffres d'affaires et payent l'impôt sur les sociétés.

Pas sûr, qu'avec toutes ces contraintes, ces types se tournent vers le marché légal. D'ailleurs l'encadrement légal de la production de médocs n'a jamais empêché la production clandestine de médocs contrefaits.
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Comment ça, la clandestinité est assumée et non subie ?
A part de rares cas d'organisation humanitaire bénévoles (et encore, il faut avoir des revenus à côté), tout le monde se lève le matin pour exercer une activité rentable. Légal ou non, morale ou non, c'est la seule différence. Je ne vois pas trop où vous voulez en venir du coup :)

Pendant la prohibition, il y avait bien un marché clandestin. Une fois l'alcool relégalisé, les producteurs sont bien revenus en courant alors même qu'ils devaient payer leur salariés et respecter un tas de règles. L'alcool et les médicaments contrefaits sont (à ma connaissances, dans les pays développés) plutôt anecdotiques.

Le marché légal offre un tas de garanties et une sécurité qui attire la plupart des consommateurs (je pense). A partir de là, je ne vois pas pourquoi les "trafiquants" ne se tourneraient pas vers le marché légal... Ils auraient beaucoup à perdre à rester dans la clandestinité.
S'ils abandonnent carrément la production, les producteurs de médocs se feront un plaisir de fabriquer des produits "de qualité" à refourguer au camé du coin ou au bon père de famille... Pas d'inquiétude à avoir quant à la continuité de la production, donc :)

a écrit : C'est qui cette tâche vieille dans sa tête ?
Visiblement tu consomme pas. Tais toi
Il faut être pour pour avoir le droit d'être contre ?

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a écrit : C'est vrai que les déchets finaux ne seront pas mieux traités.
Après pour les dolipranes, je pense que c'est plus lié à l'usage qui est fait des produits.
Je veux dire que les déchets (mégots, bouteilles...) sont laissés là car c'est qqch que l'on consomme sur le moment et qu'
;on oublie ensuite. Exactement de la même manière que l'on trouve partout des emballages de tacos/kebab ou des sac macdo.
Il reste rare de consommer des médicaments rapidement, comme ça dans la rue. Ne serait-ce que parce qu'il faut souvent un verre d'eau avec. Du coup c'est logiquement pas qqqch que l'on trouvera dans la rue (enfin on pars dans du détail là...)

Comment ça ? Les adultes se tourneraient vers le marché légal et laisseraient le marché noir aux jeunes ? Pourquoi ça ? Ce n'est pas ce que l'on observe avec l'alcool. Si le marché est géré correctement, je ne pense pas que les "drogues" seraient différentes de l'alcool.

Je préfère largement un problème géré par la prévention et la connaissance plutôt qu'un problème à la fois complètement ignoré et traité comme le mal ou le vice absolue (il ne faut surtout pas parler de drogues, mais quand qqn est touché, alors il est méprisé et poursuivit, pour simplifier...).
Il faut garder à l'esprit que les jeunes (j'en suis un...) prennent ce genre de substances surtout pour l'aspect social, mais aussi pour braver l'interdit.
Légaliser certaines substances augmenterait à court terme la consommation car l'accès serait simplifié, mais la diminuerait à long terme en supprimant cet aspect "rébellion".

Toute décision engendre des conséquences et de nouveaux problèmes. A nous de les prendre en main, faire l'autruche ne peut qu'empirer la situation.

fin du pavé ;)
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Bof, le tabac est légal et on repassera pour la dissuasion liée à l'élimination d'un interdit à braver.

C'est le fait de s'assimiler aux autres le plus important.

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a écrit : Comment ça, la clandestinité est assumée et non subie ?
A part de rares cas d'organisation humanitaire bénévoles (et encore, il faut avoir des revenus à côté), tout le monde se lève le matin pour exercer une activité rentable. Légal ou non, morale ou non, c'est la seule différence. Je ne vois pas trop
où vous voulez en venir du coup :)

Pendant la prohibition, il y avait bien un marché clandestin. Une fois l'alcool relégalisé, les producteurs sont bien revenus en courant alors même qu'ils devaient payer leur salariés et respecter un tas de règles. L'alcool et les médicaments contrefaits sont (à ma connaissances, dans les pays développés) plutôt anecdotiques.

Le marché légal offre un tas de garanties et une sécurité qui attire la plupart des consommateurs (je pense). A partir de là, je ne vois pas pourquoi les "trafiquants" ne se tourneraient pas vers le marché légal... Ils auraient beaucoup à perdre à rester dans la clandestinité.
S'ils abandonnent carrément la production, les producteurs de médocs se feront un plaisir de fabriquer des produits "de qualité" à refourguer au camé du coin ou au bon père de famille... Pas d'inquiétude à avoir quant à la continuité de la production, donc :)
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La prohibition n'a jamais concerné l'Europe continentale mais les USA, or aux USA il existe encore un grand nombre de distillerie clandestine de bourbon. La fin de la prohibition ne les a pas fait disparaître.
Ceux qui sont REvenus, comme vous le préciser bien, venaient déjà du marché légal.
Les clandestins qui l'ont toujours été continuent de l'être.

La consommation de médicaments contrefaisants n'est pas du tout anecdotique dans les pays développés, ces derniers sont même le premier marché des contrefacteurs.
La production, quant à elle, est quasi inexistante. C'est très différent. La raison en est simple: la main d’œuvre bon marché. On pourrait dire pareil de l'industrie du textile.

Quant au consommateur (je n'en parle pas du tout, mais vous avez abordé ce point), bien entendu, il préfère un produit de qualité. Mais il préfère avant tout un produit bon marché. Ainsi au Canada, ou encore au Colorado, la cannabis issu du marché noir se vend mieux que celui du marché légal (vente à usage récréative autorisée), parce que moins cher, tout simplement.

Un médicament coûte cher à fabriquer quand on respecte toutes les normes. Mais nous sommes protégés, en France, de la contrefaçon de médicaments à bas coût. Ce qui n'est pas le cas au RU ou encore aux USA, très touchés. La raison est simple, le médicament est presque gratuit en France.

Pour avoir une drogue récréative "de qualité industrielle" à prix raisonnable qui ferait disparaître le marché noir, il faudrait donc qu'elle soit subventionnée par l'État.
Peut-être est-ce une idée à étudier, c'est un autre débat, mais je n'ai pas, pour ma part, assez d'éléments de réflexion à ce sujet.

a écrit : Bien entendu, l'abandon des déchets dans la nature est complètement liée à la clandestinité des labos. Mais il faut faire la part des choses, on parle de labos immenses ici, d'installations industrielles, pas du chimiste en herbe qui fabrique sa conso du weekend dans son garage.
Et la clandestinité adop
tée par ces labos n'est pas subie, elle est assumée. Pourquoi ces types font de la production clandestine de drogues ? Parce que c'est très rentable. C'est tout.
Et votre comparaison avec un labo pharmaceutique est très pertinente. Imaginons qu'on légalise la production de MDMA. Il faudrait que les fabricants de drogue:
- Organisent et financent des tests longs et coûteux avant la mise sur le marché des produits
- Financent une sécurité sociale, un droit à la formation et des congés payés à leurs "employés", des weekends et un temps de travail hebdo conformes à la loi.
- Faudrait qu'ils respectent leurs employés, qu'ils investissent dans des installations respectant les normes de sécurité: aération, masques, combis, douche de décontamination, détecteur multi-gaz, sas d'étanchéité en le lieu de production et le lieu de restauration...
- Faudrait surtout qu'il déclarent leur chiffres d'affaires et payent l'impôt sur les sociétés.

Pas sûr, qu'avec toutes ces contraintes, ces types se tournent vers le marché légal. D'ailleurs l'encadrement légal de la production de médocs n'a jamais empêché la production clandestine de médocs contrefaits.
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L'incitation à se tourner vers le marché légal, même s'il y a des coûts supplémentaires pour se débarrasser proprement des déchets et pour respecter la législation sur le travail, c'est que ton usine ne risque pas d'être prise d'assaut et détruite au lance-flammes par l'armée comme un vulgaire laboratoire clandestin (sans qu'une assurance rembourse les pertes d'exploitation bien sûr).

a écrit : L'incitation à se tourner vers le marché légal, même s'il y a des coûts supplémentaires pour se débarrasser proprement des déchets et pour respecter la législation sur le travail, c'est que ton usine ne risque pas d'être prise d'assaut et détruite au lance-flammes par l'armée comme un vulgaire laboratoire clandestin (sans qu'une assurance rembourse les pertes d'exploitation bien sûr). Afficher tout Tu crois qu'il n'y ont pas pensé ? C'est un risque qu'ils ont intégré. Les labos de MDMA prennent soin de bien séparer les différentes opérations de production en divers lieux. Si un maillon de la chaîne est cassé, les pertes sont limitées.
Et si jamais l'armée s'avisait de mettre le feu aux installations (aux Pays-Bas où on fabrique la MDMA, ce serait plutôt la police), ça ferait un sacré feu d'artifice.

a écrit : C'est vrai que les déchets finaux ne seront pas mieux traités.
Après pour les dolipranes, je pense que c'est plus lié à l'usage qui est fait des produits.
Je veux dire que les déchets (mégots, bouteilles...) sont laissés là car c'est qqch que l'on consomme sur le moment et qu'
;on oublie ensuite. Exactement de la même manière que l'on trouve partout des emballages de tacos/kebab ou des sac macdo.
Il reste rare de consommer des médicaments rapidement, comme ça dans la rue. Ne serait-ce que parce qu'il faut souvent un verre d'eau avec. Du coup c'est logiquement pas qqqch que l'on trouvera dans la rue (enfin on pars dans du détail là...)

Comment ça ? Les adultes se tourneraient vers le marché légal et laisseraient le marché noir aux jeunes ? Pourquoi ça ? Ce n'est pas ce que l'on observe avec l'alcool. Si le marché est géré correctement, je ne pense pas que les "drogues" seraient différentes de l'alcool.

Je préfère largement un problème géré par la prévention et la connaissance plutôt qu'un problème à la fois complètement ignoré et traité comme le mal ou le vice absolue (il ne faut surtout pas parler de drogues, mais quand qqn est touché, alors il est méprisé et poursuivit, pour simplifier...).
Il faut garder à l'esprit que les jeunes (j'en suis un...) prennent ce genre de substances surtout pour l'aspect social, mais aussi pour braver l'interdit.
Légaliser certaines substances augmenterait à court terme la consommation car l'accès serait simplifié, mais la diminuerait à long terme en supprimant cet aspect "rébellion".

Toute décision engendre des conséquences et de nouveaux problèmes. A nous de les prendre en main, faire l'autruche ne peut qu'empirer la situation.

fin du pavé ;)
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"Je veux dire que les déchets (mégots, bouteilles...) sont laissés là car c'est qqch que l'on consomme sur le moment et qu'on oublie ensuite." Tu as effectivement raison mais je rajouterai qui se consomme sur le moment ou avec un outil petit, exemple : tu peux avoir un briquet dans la poche, pas un verre d'eau. Pourtant, tu vois peu de briquet par terre. Et puis les cigarettes, c'est dans des poubelles spéciales évidemment.
"Comment ça ? Les adultes se tourneraient vers le marché légal et laisseraient le marché noir aux jeunes ? Pourquoi ça ? Ce n'est pas ce que l'on observe avec l'alcool. Si le marché est géré correctement, je ne pense pas que les "drogues" seraient différentes de l'alcool. " Je dis pas ça, je dis que lorsque les adultes auront le marché légal, la demande pour le marché noir chez les adultes diminuera mais pas celle des ados car ils seront (normalement) privé du marché légal donc la moyenne d'âge des demandeurs du marché noir diminuera.
"Je préfère largement un problème géré par la prévention et la connaissance plutôt qu'un problème à la fois complètement ignoré et traité comme le mal ou le vice absolue" Je suis tout à fait d'accord avec toi, quand on voit les ravages de l'alcool et du tabac sur la santé de la population, on peut se demander pourquoi les autres sont refusés. L'alcool et la drogue ont plus ou moins les mêmes effets sur la conduite...
"Il faut garder à l'esprit que les jeunes (j'en suis un...) prennent ce genre de substances surtout pour l'aspect social, mais aussi pour braver l'interdit. "
Justement, si on légalise le cannabis, une drogue qui fait partie des moins dangereuses, vers où les jeunes vont-ils se tourner ? Vers des drogues plus durs et illégales et donc le problème de l'illégalité sera plus important. Je préfère des gènes qui prennent du cannabis pour braver l'interdit que de l’héroïne, du fentanyl ou de l'ecstasy, bien plus dangereux à court/moyen et long terme. Et je connais pas mal de monde qui a déjà pris du cannabis sans avoir touché aux autres que j'ai nommé mais si le cannabis est légalisé, est-ce que ça continuera...

a écrit : "Je veux dire que les déchets (mégots, bouteilles...) sont laissés là car c'est qqch que l'on consomme sur le moment et qu'on oublie ensuite." Tu as effectivement raison mais je rajouterai qui se consomme sur le moment ou avec un outil petit, exemple : tu peux avoir un briquet dans la poche, pas un verre d'eau. Pourtant, tu vois peu de briquet par terre. Et puis les cigarettes, c'est dans des poubelles spéciales évidemment.
"Comment ça ? Les adultes se tourneraient vers le marché légal et laisseraient le marché noir aux jeunes ? Pourquoi ça ? Ce n'est pas ce que l'on observe avec l'alcool. Si le marché est géré correctement, je ne pense pas que les "drogues" seraient différentes de l'alcool. " Je dis pas ça, je dis que lorsque les adultes auront le marché légal, la demande pour le marché noir chez les adultes diminuera mais pas celle des ados car ils seront (normalement) privé du marché légal donc la moyenne d'âge des demandeurs du marché noir diminuera.
"Je préfère largement un problème géré par la prévention et la connaissance plutôt qu'un problème à la fois complètement ignoré et traité comme le mal ou le vice absolue" Je suis tout à fait d'accord avec toi, quand on voit les ravages de l'alcool et du tabac sur la santé de la population, on peut se demander pourquoi les autres sont refusés. L'alcool et la drogue ont plus ou moins les mêmes effets sur la conduite...
"Il faut garder à l'esprit que les jeunes (j'en suis un...) prennent ce genre de substances surtout pour l'aspect social, mais aussi pour braver l'interdit. "
Justement, si on légalise le cannabis, une drogue qui fait partie des moins dangereuses, vers où les jeunes vont-ils se tourner ? Vers des drogues plus durs et illégales et donc le problème de l'illégalité sera plus important. Je préfère des gènes qui prennent du cannabis pour braver l'interdit que de l’héroïne, du fentanyl ou de l'ecstasy, bien plus dangereux à court/moyen et long terme. Et je connais pas mal de monde qui a déjà pris du cannabis sans avoir touché aux autres que j'ai nommé mais si le cannabis est légalisé, est-ce que ça continuera...
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Je n’aurais pas mis sur le même plan de dangerosité l’héroïne et l’ecstasy… cela dépend d’autres éléments.
De la même façon, le cannabis ou l’alcool peuvent devenir très dangereux dans certaines conditions (combien d’accidents de voiture, de chutes, de noyades liés à ces deux produits ?). La dangerosité n’est pas uniquement liée aux seules caractéristiques du produit. La quantité, la manière de consommer, les actions entreprises sous l’effet du produit, le lieu voire les habitudes de consommation sont tout autant de paramètres à prendre en compte. Seuls le caractère addictif et la toxicité intrinsèque du produit sont quantifiables en laboratoire.

Impossible également de prédire le comportement des gens si on change la loi. Beaucoup de personnes consomment du cannabis pour ces effets et se fichent royalement que ce soit légal ou pas. Les différentes légalisations survenues dans certains pays n’ont pas beaucoup modifié les habitudes des consommateurs. Je trouve très léger l’argument du « jeune qui brave l’interdit et qui se tourne forcément vers les drogues dures en cas de légalisation du cannabis ». Les jeunes consomment ce qui les amuse que ce soit légal ou non et beaucoup ont déjà accès aux drogues dures sans forcément y toucher. Cet argument invérifiable les fait passer pour plus bêtes qu’ils ne sont.

a écrit : Tu crois qu'il n'y ont pas pensé ? C'est un risque qu'ils ont intégré. Les labos de MDMA prennent soin de bien séparer les différentes opérations de production en divers lieux. Si un maillon de la chaîne est cassé, les pertes sont limitées.
Et si jamais l'armée s'avisait de mettre l
e feu aux installations (aux Pays-Bas où on fabrique la MDMA, ce serait plutôt la police), ça ferait un sacré feu d'artifice. Afficher tout
Non, non, je ne crois pas qu'ils n'y ont pas pensé avant moi ! LOL.

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a écrit : Des substances qui polluent l'environnement & le corps (imo)...
Sait-on si la production de cannabis a aussi un impact significatif ?
Oui on le sait, c‘est aussi polluant qu‘une jonquille sauvage. La plus part des amendements étant presque exclusivement des “Compost liquides”

a écrit : Des substances qui polluent l'environnement & le corps (imo)...
Sait-on si la production de cannabis a aussi un impact significatif ?
Le canabis étant une plante je ne vois ou tu veux en venir...? A la limite le mec qui fait pousser en intérieur va polluer du faite de sa conso électrique mais ça reste tout de même une plante l'ami....

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a écrit : Les impôts polluent également, vu la quantité d'arbres qui ont du être abbatus pour imprimer les déclarations... Je propose donc de les rendre illégaux ! Probablement la meilleure intervention de l'année !! Chapeau bas.

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a écrit : Le canabis étant une plante je ne vois ou tu veux en venir...? A la limite le mec qui fait pousser en intérieur va polluer du faite de sa conso électrique mais ça reste tout de même une plante l'ami.... Le cannabis est cultivé en champs dans certains pays. Qui dit champ dit possiblement pesticides par exemple.

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a écrit : Le canabis étant une plante je ne vois ou tu veux en venir...? A la limite le mec qui fait pousser en intérieur va polluer du faite de sa conso électrique mais ça reste tout de même une plante l'ami.... C'est effectivement à ça que je voulais en venir : si ça se trouve t a d'énormes serres qui contiennent de la Marie Jeanne et ,comme le montre une anecdote de ce 27/06, ça pourrait tourner à l'énergie fossile donc pas être aussi inoffensif que les consommateurs l'indiquent...

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