Les brins d'arrêt du Charles de Gaulle font référence à la mythologie

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Sur le porte-avions Charles de Gaulle, les 3 brins d'arrêt utilisés pour stopper les avions à l'atterrissage sont nommés Athéna pour le premier (déesse de la guerre: il faut l'esprit guerrier pour l'accrocher), Aphrodite pour le deuxième (l'amour: atterrissage parfait) et le dernier Andromède (la dernière chance).


Tous les commentaires (38)

a écrit : Grosso modo, si le pilote sent qu'il s'est loupé ou que le personnel au sol trouve que l'arrivée est incorrect, le signal lui est donné de remettre les gazs et retenter l'approche.
Par contre si il a un probleme technique qui ne lui permet qu'une seule approche et qu'il est mal enga
gé, la barriere d'arret est déployée. Au pire l'avion sera abimé.

Donc :
Si il rate les 3 brins ---> il remet les gazs et se fera charrier pendant des semaines
Si il sent qu'il a raté son approche ou que le personnel au sol lui demande de se dérouter ---> il remet les gazs et retente.
Si il a un probleme technique ---> barriere déployée.
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Ce n'est pas exact. Il n'aurait pas le temps de remettre les gaz. Il remet les gaz SYSTÉMATIQUEMENT au cas où il rate. D'où le bruit caractéristique lors de l'apontage. de

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a écrit : tu préfère: "crash contrôlé"? ;) J'ai l'impression d'avoir affaire à un pilote de l'armée de l'air ! (donc forcément un jaloux des marins du ciel) ;)

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a écrit : Quand même, parler d'atterrissage sur un porte-avions ça la fout mal... ;) D’où le terme spécifique d’appontage.

Néanmoins le terme d’atterrissage est correct. En raison de la conquête spatiale et pour ne pas avoir à créer un terme spécifique pour chaque corps céleste sur lequel on se pose, il a été décidé que « atterrir » désigne l’action de se poser sur toute surface solide et « amerrir » sur une surface liquide. Un pont d’envol étant solide, on y atterrit.

a écrit : Grosso modo, si le pilote sent qu'il s'est loupé ou que le personnel au sol trouve que l'arrivée est incorrect, le signal lui est donné de remettre les gazs et retenter l'approche.
Par contre si il a un probleme technique qui ne lui permet qu'une seule approche et qu'il est mal enga
gé, la barriere d'arret est déployée. Au pire l'avion sera abimé.

Donc :
Si il rate les 3 brins ---> il remet les gazs et se fera charrier pendant des semaines
Si il sent qu'il a raté son approche ou que le personnel au sol lui demande de se dérouter ---> il remet les gazs et retente.
Si il a un probleme technique ---> barriere déployée.
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Il me semble que le pilote mets les gaz à fond dès que les roues touchent le pont, il n'y a aucun signal qui indique qu'un brin à été accroché ou non, et le délai de réaction et la montée en vitesse des moteurs serait trop longs au vu de la "longueur" d'un pont d'atterrissage.

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a écrit : J'ai l'impression d'avoir affaire à un pilote de l'armée de l'air ! (donc forcément un jaloux des marins du ciel) ;) Bataille entre gonfleurs d'hélice? :)

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a écrit : Avec vos messages ça me semble plus cohérent.
Il est prêt à et non il fait.
En fait, pour chaque atterrissage, le pilote doit remettre plein gaz au moment de toucher le pont d'envol. Seulement avec l'inertie du moteur (il met un certain avant d'atteindre sa pleine puissance) cela ne l'empeche pas de s'arrêter et dès qu'il a accroché un brin il éteint les gazs.

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a écrit : J'ai l'impression d'avoir affaire à un pilote de l'armée de l'air ! (donc forcément un jaloux des marins du ciel) ;) Oh non, rien qu'en montant sur un escabeau j'ai déjà le vertige, je te rassure, mais j'ai beaucoup d'imagination! :)

a écrit : En fait, pour chaque atterrissage, le pilote doit remettre plein gaz au moment de toucher le pont d'envol. Seulement avec l'inertie du moteur (il met un certain avant d'atteindre sa pleine puissance) cela ne l'empeche pas de s'arrêter et dès qu'il a accroché un brin il éteint les gazs. les vidéos d'appontage sont spectaculaires...
D'AILLEURS je me pose une question à laquelle j'ai déjà la réponse: sur tous les porte-avions, il y a deux pistes, une pour décoller et une pour atterrir qui est décaléeà gauche et qui mène direct dans la flotte... juste au cas où... histoire de pas se manger la tour et les avions au décollage en cas de problème technique à l'appontage, on ne sait jamais!... ^^

Tout est prévu, si ca crash, ca fait pas tout exploser!

a écrit : Grosso modo, si le pilote sent qu'il s'est loupé ou que le personnel au sol trouve que l'arrivée est incorrect, le signal lui est donné de remettre les gazs et retenter l'approche.
Par contre si il a un probleme technique qui ne lui permet qu'une seule approche et qu'il est mal enga
gé, la barriere d'arret est déployée. Au pire l'avion sera abimé.

Donc :
Si il rate les 3 brins ---> il remet les gazs et se fera charrier pendant des semaines
Si il sent qu'il a raté son approche ou que le personnel au sol lui demande de se dérouter ---> il remet les gazs et retente.
Si il a un probleme technique ---> barriere déployée.
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Il remet de toutes façons les gaz à fond car l’inertie du réacteur ne lui permettrait pas d’être à fond s’il le fait plus tard. Mais les filets sont assez résistants pour retenir un avion à 180kmh avec les gaz à fond.

a écrit : Je n'ai pas trouvé pour le Charle de Gaulle, mais les porte avions de la 2eme GM les brins étaient espacés d'une 10-15aine de metres.
Pour les plans de porte avions que j'ai trouvé les plus récents, il semble que ca oscille entre 20 et 25m entre les brins et jusqu'à 30m pour l'espace entr
e le dernier brin et la barriere.

Tape dans google images :
"Plan brin d'arret porte avion"
Tu auras des images à l'échelle de plusieurs porte avions dont le HMS Queen Elizabeth qui est un des plus récent.
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Oui mais le CDG est plus petit comme porte avion les brin sont plus proche de souvenirs avec une discussion avec un chien jaune ils sont espacés plus entre 10 à 15 m je te parle de cela il y a longtemps pour y avoir servi dessus et ça viens de me mettre un coup de vieux

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a écrit : Oui mais le CDG est plus petit comme porte avion les brin sont plus proche de souvenirs avec une discussion avec un chien jaune ils sont espacés plus entre 10 à 15 m je te parle de cela il y a longtemps pour y avoir servi dessus et ça viens de me mettre un coup de vieux C'est pour ca que je disais que j'avais trouvé pour les porte-avions de la 2eme GM et pour les plus récent.
Le Charles de Gaulle est à peu près entre les deux (meme si plus contemporain à notre époque que la 2eme GM), il a quand meme plus de 30 ans maintenant !!

J'ai continué de cherché un peu, j'ai trouvé un peu de tout, à priori les portes avions contemporains au CdG ont des brins espacés d'une vingtaine de metres.
J'imagine que la taille compte pour beaucoup ainsi que les avions destinés à être accueillis.
A creuser.

a écrit : Grosso modo, si le pilote sent qu'il s'est loupé ou que le personnel au sol trouve que l'arrivée est incorrect, le signal lui est donné de remettre les gazs et retenter l'approche.
Par contre si il a un probleme technique qui ne lui permet qu'une seule approche et qu'il est mal enga
gé, la barriere d'arret est déployée. Au pire l'avion sera abimé.

Donc :
Si il rate les 3 brins ---> il remet les gazs et se fera charrier pendant des semaines
Si il sent qu'il a raté son approche ou que le personnel au sol lui demande de se dérouter ---> il remet les gazs et retente.
Si il a un probleme technique ---> barriere déployée.
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Je crois avoir entendu que les gaz sont mis à fond quoiqu'il arrive tout juste avant l'appontage, car il y a un petit délai entre la remise de gaz et l’accélération effective, donc si il remet les gaz que quand il se rend compte que les brins sont raté, c'est trop tard. Le pilote coupe tout dès qu'il a accroché.

a écrit : C'est pour ca que je disais que j'avais trouvé pour les porte-avions de la 2eme GM et pour les plus récent.
Le Charles de Gaulle est à peu près entre les deux (meme si plus contemporain à notre époque que la 2eme GM), il a quand meme plus de 30 ans maintenant !!

J'ai continué de cherch
é un peu, j'ai trouvé un peu de tout, à priori les portes avions contemporains au CdG ont des brins espacés d'une vingtaine de metres.
J'imagine que la taille compte pour beaucoup ainsi que les avions destinés à être accueillis.
A creuser.
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Oui pour les brins la taille de la piste et les modèles d'avions jouent beaucoup même si le CDG peut accueillir différents avions de toutes armées mondiale en cas de nécessité quand ils sont en mission de coalition il n'est pas rare de voir des anglais des américains des indiens venir visiter le CDG pendant les coalitions, le CDG est un bon compromis entre ce que nous avions lors de la seconde guerre mondiale et les portes avions de notre époque même si nous en avions eu un très beau et performant avant le CDG qui oui à déjà 30 ans mais à subit un rajeunissement à sa dernière mise en cale sèche le radar par exemple

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a écrit : Bataille entre gonfleurs d'hélice? :) Faut bien se charrier, même si l'aéronavale est au dessus :)

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a écrit : D’où le terme spécifique d’appontage.

Néanmoins le terme d’atterrissage est correct. En raison de la conquête spatiale et pour ne pas avoir à créer un terme spécifique pour chaque corps céleste sur lequel on se pose, il a été décidé que « atterrir » désigne l’action de se poser sur toute surface solide et
« amerrir » sur une surface liquide. Un pont d’envol étant solide, on y atterrit. Afficher tout
Alors, peut-être qu'une tête pensante a "décidé que" le terme atterrir est correct quand un avion se pose sur un bâtiment. Seulement va dire à un marin que son avion atterrit sur le Charles de Gaulle, tu seras bien reçu tu verras ahaha

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a écrit : Alors, peut-être qu'une tête pensante a "décidé que" le terme atterrir est correct quand un avion se pose sur un bâtiment. Seulement va dire à un marin que son avion atterrit sur le Charles de Gaulle, tu seras bien reçu tu verras ahaha C'est tout aussi bizarre qu'un marin qui dit à un maçon qu'il navigue sur un bâtiment... ^^

a écrit : C'est tout aussi bizarre qu'un marin qui dit à un maçon qu'il navigue sur un bâtiment... ^^ Ah ça, je ne le conteste pas :p

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a écrit : Ah ça, je ne le conteste pas :p D'ailleurs, j'aurais appris en cherchant pourquoi on parle de bâtiment pour un navire militaire que la distinction est à faire selon plusieurs termes.

Ainsi, d'après wiki, on parle d'embarcation pour un bateau de petite taille (de l'ordre de quelques mètres de longueur), de navire pour un bateau maritime ponté de fort tonnage, de vaisseau pour les mêmes navires anciens à voile et de bâtiment pour un navire de guerre ou de commerce.
Juridiquement, « bateau » désigne un bâtiment destiné à la navigation sur les fleuves et canaux, tandis qu'un « navire » est destiné à la navigation maritime.

Bref du coup, je ne sais toujours pas pourquoi on parle de bâtiment de guerre mais j'imagine qu'il s'agit d'un lien direct à la construction navale où on bâtissait les navires et les vaisseaux.