En français, il existe un degré supérieur au registre soutenu, principalement utilisé dans la poésie et la tragédie, qui use d’un vocabulaire spécifique, de constructions archaïques ou sophistiquées, etc. C’est le registre sublime aussi appelé littéraire, noble ou relevé.

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Non :)
D’amour mourir belle marquise, vos beaux yeux me font.
Bien que d'accord, un simple "non" sans explication me paraît fort mince. Vous qui maîtrisez, merci d'explicitez s'il vous plaît... ;-)
Le verbe "savoir" conjugué ne se termine jamais par "e". Et "su" ou "sus" est hors sujet dans le contexte de cette anecdote ;)
PS: C'est pas que je maîtrise, c'est que j'utilise Google quand je ne sais pas. Tout le monde peut le faire d'où ma réponse courte.
Peut-être voulait-il conjuguer le verbe suer ? Par exemple : mon surpoids, il faudrait que je le sue pour l'éliminer ! Et ton explication n'est pas correcte car justement savoir se termine par un "e" au subjectif : que je le sache, que je le susse... Alors en effet il valait mieux dire non et laisser les gens chercher par eux-mêmes.
Toi rester dans le sujet c'est vraiment pas ton truc.. au lieu de speculer et de créer des polemiques stériles sur tous les sujets, lis le fil de discussion et tu comprendras de quoi on parle. Et si suivre une discussion représente trop d'efforts n'hésite surtout pas a... ne pas intervenir.
Et toi comptendre le second degré ce n'est vraiment pas ton truc. Évidemment j'ai compris qu'il ne voulait pas conjuguer le verbe suer, mais il tombe par hasard sur le verbe suer, ce que j'illustre par un petit exemple bien tiré par les cheveux comme il se doit pour rester dans le thème du registre sublime tourné en ironie (c'est le sujet de l'anecdote et des discussion si tu n'avais pas remarqué). Et l'exactitude c'est pas trop ton truc non plus car c'est complètement faux de prétendre que les conjugaisons du verbe savoir ne peuvent pas se terminer par un "e", d'autant plus au subjonctif, dont on parle justement dans le fil de discussion. Je n'avais pas remarqué à qui j'écrivais mais maintenant que tu me le fais remarquer, je constate en effet que ce n'est pas la première fois que nous avons cette discussion : tes commentaires contiennent des ereurs et des inexactitudes alors que tu es bien en peine d'en trouver dans les miens et ça t'énerve... (à part bien sûr une faute de frappe qui a transformé subjonctif en subjectif dans mon dernier commentaire, mais c'est quand même moins grave qu'écrire un commentaire pour prétendre que le verbe avoir ne peut pas se terminer par "e" et je me demande même qu'est ce qui peut pousser quelqu'un à inventer des règles fausses et écrire un commentaire exprès ? D'autant plus qu'il y a aussi le participe passé qui peut se terminer par un "e" : cette leçon, je l'ai sue. Encore eût-il fallu que je l'eusse sue...).
Un puits.
Et surtout, c'est un sketch.
Le second degré toussa toussa...
Un puit, sans 's'.
Tu aurais pu vérifier quand même au lieu de te griller comme ça ! Puits prend un s même au singulier (et, du coup, c'est un mot invariable). C'est comme un fonds de commerce ou un fonds de pension : fonds aussi prend un s au singulier, sauf que dans son cas il existe aussi le mot fond sans s qui ne veut pas dire là même chose : il reste un fond de soupe, dans le fond de la casserole. Pour puits on ne risque pas de se tromper normalement, puisqu'il prend toujours un s, une fois qu'on le sait.
Arf ! C'est un mot que je n'ai pas utilisé depuis longtemps alors... mea-culpa.
J'ai quand même vérifié sur plusieurs dictionnaires en ligne et seul Wiktionnaire nous dit ceci :
"Puit. Rétroformation populaire d’un singulier à partir du mot correct actuel puits, du latin puteus, dont l’orthographe avec t est un « hyperétymologisme » des grammairiens de la Renaissance alors que le mot français de l’époque s’écrivait puis donnant des dérivés sans t : épuiser, puiser, puisatier, puisard".
Je sais, je ne fait pas mon âge... ^^
Oh belle langue française ;-)
C est arrivé