En 1964, la Seine était un fleuve quasiment mort « biologiquement parlant » du fait du très faible taux d’oxygène (moins de 6 mg/l) dans l’eau. Les progrès épuratoires des rejets industriels et domestiques ont permis de ré-oxygéner le fleuve et de passer, en 50 ans, de 3 à 33 le nombre d’espèces de poissons, dont le saumon.

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Laisse tomber, elle est juste là pour faire rire les lecteurs qui qui ne pètent pas plus haut que leur cul contrairement à elle! Moi j’adore remballer les starlettes et les pseudos-intellos.
Une championne du monde! Je t’invite à diner mercredi soir…