Le célèbre cliché où l'on voit Jacques Chirac sauter au-dessus d'un portique dans le métro a une explication toute simple. Parce qu'il n'avait jamais pris le métro, il ne savait pas qu'il fallait retirer le ticket qu'il venait d'insérer pour débloquer le portique. Coincé et agacé, il décida de sauter.
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Bonjour la communauté,
Aujourd'hui, premier tour, on fait l'effort, ça prend 5 min.
Bon dimanche à tous.
Le plus simple à mettre en place et le plus convainquant pour faire venir les gens aux urnes, serait de comptabiliser le vote blanc !
Une autre, tout droit publiée chez France Inter.
Á l'invitation de la fille de Jean-Louis Debré, Jacques Chirac se rend dans un restaurant bio. "Est-ce que c'est dangereux ?" demande-t-il, avant d'avaler du quinoa pour la première fois de sa vie ainsi que quatre bières, dans une salle "remplie de bobos-bios-gauchos", raconte l'ancien président du Conseil constitutionnel dans les Échos. "Au bout d'une heure, ils étaient tous massés autour de lui pendant que ses officiers de sécurité buvaient du jus de carotte. En sortant, Jacques Chirac a dit 'j'ai faim'. Et tout cela se termine autour d'une entrecôte dans un bistrot".
Tous les commentaires (50)
Bonjour la communauté,
Aujourd'hui, premier tour, on fait l'effort, ça prend 5 min.
Bon dimanche à tous.
De nos jours ça ne pourrait pas vraiment arriver...il n'y a quasiment plus de spontanéité. Si Chirac devait refaire la même aujourd'hui, il se serait "entraîné" plusieurs fois :
"Bon, les gars, j'ai un problème, j'ai jamais pris le métro. Ça doit pas être si difficile que ça mais on va s'entraîner."
Quatre anecdotes aujourd'hui dont deux sur notre Jacquo national, ne serait-ce pas les présidentielles aujourd'hui lol
Par profond agacement, mais sans aucune conviction, je vais sans doute déroger aujourd'hui à ma règle.
Le plus simple à mettre en place et le plus convainquant pour faire venir les gens aux urnes, serait de comptabiliser le vote blanc !
Et ça d’autant plus qu’à défaut de voter blanc, ceux qui boudent les urnes laissent toute latitude aux commentateurs de tous bords pour faire dire à l’abstention ce qui les arrange.
Non parce que qualifiée de premier parti de France par certains, l’abstention est pourtant sans doute bien le seul point commun de tous ceux qui s’abstiennent. Ou alors autant dire que tous ceux qui participent au vote ont eux aussi les mêmes idées.
Maintenant, je pense que le vote blanc fait peur à la classe politique parce qu'elle ne saurait pas quoi en faire. Une majorité de vote blanc signifierait de se remettre en question (pour les politiques) et ça, j'ai bien peur qu'ils ne savent pas faire... Pour preuve, depuis 2002, on entend qu'il faudrait prendre des mesures qui détourneraient les électeurs de l'extrême droite vers les autres partis. A chaque élection, des cris d'orfraie sont poussés en voyant le score de l'extrême droite. Mais, comme sœur Anne, depuis 20 ans, on ne voit toujours rien venir...
Une autre, tout droit publiée chez France Inter.
Á l'invitation de la fille de Jean-Louis Debré, Jacques Chirac se rend dans un restaurant bio. "Est-ce que c'est dangereux ?" demande-t-il, avant d'avaler du quinoa pour la première fois de sa vie ainsi que quatre bières, dans une salle "remplie de bobos-bios-gauchos", raconte l'ancien président du Conseil constitutionnel dans les Échos. "Au bout d'une heure, ils étaient tous massés autour de lui pendant que ses officiers de sécurité buvaient du jus de carotte. En sortant, Jacques Chirac a dit 'j'ai faim'. Et tout cela se termine autour d'une entrecôte dans un bistrot".
Moi ce que je trouve hallucinant, c'est que le maire en fonction de la ville de Paris depuis près de 3 ans ne sache pas comment fonctionnent les transports en commun dans sa ville. N'avoir jamais pris le métro, être élu maire, cela montre bien le décalage des politiques avec les réalités.
Sans faire de condescendance, après cela propose d'améliorer le quotidien des citoyens, si tu ne sais même pas comment fonctionne les transports urbain de ta commune...
On aurait surtout pu lui expliquer le fonctionnement avant qu'il y aille. Mais bon, il ne s'est pas laissé abattre, il a réagi dans son naturel déconcertant. Et c'est pour ça qu'on (la plupart des français) l'aimait.
Personnellement je préfèrerais un vote que je qualifierais de plus démocratique : on met une note sur 5 ou sur 10 a chacun des candidats selon l'affinité qu'on a avec les idées de chacun genre Tartenpion 4/5 - Trucmuche 2/5 - Machin 0/5. C'est ce qu'on appelle le vote alternatif plurinominal.
Puis on additionne tout et le vainqueur est celui qui a le plus de points. Cela permettrait de prendre en compte les avis divisés, les avis mitigés et de ne pas voter pour un président roi directement.
Ou alors..... on fait comme le reste des pays d'Europe et on vote pour des partis et le parti majoritaire forme des coalitions avec les autres partis en fonction des pourcentage. C'est plus compliqué mais le gouvernement est bien plus représentatif de la société.
Enfin ce sont des idées comme ça... car je ne vote pas.
Tu nous avais répondu "Ouais, mes idées ne plairont pas", "de toute manière je n'habite pas en France", etc.
Mon oeil !
(C'est une boutade, une plaisanterie, hein, pas facher, please )
Pour ma part, j'ai l'avis opposé au tien. Je suis pour le vote à deux tours qui, même s'il n'est pas parfait (mais lequel le serait-il ?... ) a l'avantage de choisir celui qui est le plus proche des convictions d'une majorité (relative ou absolue)
Le vote par Parti interposé ou Régime Parlementaire ?
Déjà, s'il n'y a que des majorités relatives... Il faut arriver à fonder des coallitions. Pas si évident... Et pendant ce temps, le pays vit "au jour le jour".
Au moins en France, les choses sont claires: celui qui est élu, est assuré de diriger les affaires pendant cinq ans, sans avoir à se préoccuper s'il doit être en "campagne électorale interminable" durant tout son Mandat.
Des années après, on ré-apprend à en aimer certains. Ou, en tout cas, à ne plus les détester. Certaines « punchlines » de Chirac sont devenues cultes, et on aime rétrospectivement sa « spontanéité » : quand les Hommes politiques actuels balance « qu’il suffit de traverser la rue pour trouver du boulot », ou qu’en « travaillant on pourra s’acheter le même costume », « qu’on va faire chier jusqu’au bout ceux qui nous font chier » ; on crie au scandale partout dans le pays… dans 25 ans on éditera des t shirt avec ces phrases là en louant la spontanéité ? Ce sera trop tard…. Et tout ça, sans prendre parti ni défendre quelconque idéologie politique.
Je serai plus partisan de prendre un panel de personnes choisies par ipsos ou sofres. Comme ils se trompent jamais.
Certains disent que les sondages nous guident, allons jusqu'au bout.
Ils nous font leur sondage avec leur panel de 1400 pélos et ça élit le président.
Ça coûterait moins cher en organisation et on perdrait moins de temps.
Pour le vote blanc, il me semble que vous retardez un peu : il est pris en compte depuis 2014 (ça ne fait que huit ans)
droit-finances.commentcamarche.com/vie-pratique/guide-vie-pratique/2871-le-vote-blanc-est-il-pris-en-compte-en-france/
Pour la question de la majorité, je suis d'accord sans être d'accord mais c'est une question de vocabulaire. Un président est par la loi élu à la majorité des votants (hors blanc et vote nul), il est donc rarement élu à la majorité des votants tout court, encore moins à la majorité des citoyens qui peuvent voter (grosse abstention) et certainement pas du tout à la majorité des personnes de nationalité française (les ados, les prisonniers, etc.).
Pour les coalitions, je suis d'accord que c'est compliqué mais on peut prendre l'exemple des conseils municipaux français qui sont gérés à plusieurs partis (pour les grandes villes avec scrutin proportionnel) avec tout de même un chef (le maire) qui décide. Je ne vois pas ce qui nous empêcherais de le faire pour la gestion d'un pays qui n'est finalement qu'une très grande ville. J'aime bien aussi l'idée des triumvirats mais là on va vraiment me dire que je parle au passé.