L’expression se murger date du début du XXe siècle quand les Parisiens avaient l’habitude d’aller boire dans la rue Alphonse Murge, aujourd'hui disparue, qui était connue pour ses nombreux marchands d’alcool.
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L’expression se murger date du début du XXe siècle quand les Parisiens avaient l’habitude d’aller boire dans la rue Alphonse Murge, aujourd'hui disparue, qui était connue pour ses nombreux marchands d’alcool.
Tous les commentaires (56)
Parmi les étymologies possibles de murge et murger il y aurait :
- le mot murge existait déjà pour désigner un muret de pierres, et donc murge et murger pour désigner une cuite pourraient en découler par un glissement de sens (qui reste à expliquer, peut-être parce que les personnes ivres trébuchaient sur ces murets ?)
- le mot murger pourrait être du verlan voulant dire mur-(lon)ger car les personnes ivres longent les murs pour avoir quelquechose à quoi se retenir et éviter de zigzager en marchant.
On peut trouver des graphiques pour la comparaison des différentes drogues:
en.wikipedia.org/wiki/File:Drug_danger_and_dependence-small.png
fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Graphe_montrant_l%27impact_n%C3%A9gatif_relatif_de_diff%C3%A9rentes_drogues_r%C3%A9cr%C3%A9atives_sur_l%27usager_et_sur_autrui.svg
www.bbc.com/news/uk-11660210
en.m.wikipedia.org/wiki/File:Rational_scale_to_assess_the_harm_of_drugs_%28mean_physical_harm_and_mean_dependence%29.svg
J'ai pensé à la même chose.
Trop beau pour être vrai.
Cette antonomase aurait été plus documentée si véridique.
Bref, j'ai parcouru un plan de Paris de 1925 et le quartier de l'ex halle aux vins de Bercy ne possédait pas de rue à ce nom ( pour l'essentiel les rues avaient des noms de crus).
Une jolie légende urbaine.
Vous parlez du sucre?
Ah oui quand même. Construire un lotissement et y laisser un nom de rue. On sent bien l'humilité du gars à travers son acte ^^
Ça marche aussi le sucre mais c’est un peu différent. On en a besoin d’un minimum pour survivre contrairement aux autres substances.
Pitié. Mais non le sucre n'est pas une substance additive comme une drogue...
Son exemple de la prohibition est pourtant édifiant. Cela n'a pas résolu le souci au contraire. Reste la prévention, les taxes, l'éducation.
On ne parle pas d'un promoteur qui aurait voulu laisser son nom à un lotissement de maisons Phénix dans une ville nouvelle au cours des années 1970. Dans le 1er arrondissement à Paris, ça date forcément de tellement longtemps, que c'était sûrement normal à l'époque de désigner une nouvelle construction par le le nom du propriétaire du terrain. Ce qui fait l'originalité de ce nom de rue, c'est que, contrairement à toutes les autres rues qui étaient sûrement logiquement très nombreuses à porter le nom du propriétaire à l'époque, ce nom a résisté à tous les créatifs qui auraient pu être tentés de trouver mieux, au cours des siècles, et même plus récemment à la vigilance de ceux qui cherchent des rues à débaptiser sans qu'un descendant ne s'en offusque, à chaque fois qu'il faut honorer une victime d'attentat ou un membre du parti du maire.
C'est plutôt la mairie de Paris qui n'avait aucune imagination et une certaine paresse. Déjà... ^-^
En 1860, quand les arrondissements que nous connaissons ont été créés, entre autres par l'annexion des villages alentours, il a bien fallu baptister les lotissements nouveaux construits sur les friches.
Le climat politique ambiant de l'époque, second empire, a du limiter le choix des noms illustres : pas de républicains encore moins de royalistes.
Les écrivains et scientifiques ? Déjà pris.
Les femmes? Bah non.
Donc on a filé le nom du proprio du terrain.
Ainsi à Paris on voit souvent des plaques de rue genre Jules Tartemolle (Propriétaire)
Bah si complètement.
Le sucre est une drogue mais pas un stupéfiant puisque c'est légal.
C'est même la drogue la plus puissante et addictive.
OK, comme tu n'avais pas précisé le lieu ni l'année, j'avais effectivement imaginé que c'était dans un lotissement comme ça pousse partout. merci pour le complément
J'avais écrit un long pavé pour te répondre mais finalement je me suis dit que je n'avais aucune envie de débattre avec toi et que j'avais fait une erreur en répondant à ton com.
Il y avait quand même des indices : je parlais des rues de Paris et je pense que ça fait longtemps qu'on ne dit plus "lotir" à propos des terrains de Paris (j'avais d'ailleurs trouvé que ce verbe était vraiment daté dans l'explication que j'avais lue sur l'origine du nom de cette rue et je l'ai repris textuellement dans mon commentaire ci-dessus pour respecter l'histoire).
Si c’est très addictifs et de nombreuses études scientifiques etayent ce propos.
Tape « étude scientifique addiction sucre » sur Google et tu constateras cela.
A la limite, ce que je peux t’accorder, c’est qu’on se débarrasse assez rapidement de cette dépendance, sans trop de difficulté « mentale ». Deux trois jours sans sucre ajouté et derrière les aliments trop sucrés deviennent très vite dégoûtant.
Mais absolument pas. Arrêtez de raconter les bêtises des journaux.
Un debunk trouvé en 5s.
www.liberation.fr/checknews/2018/01/29/le-sucre-est-il-plus-addictif-que-la-cocaine_1625877/
Il n'y a pas unanimité sur le sujet.
Au contraire, cet article cite une étude qui a montré que, s'ils ont le choix, le sujets étudiés préfèrent une dose de sucre plutôt qu'une dose de cocaïne ! (cette étude a été faite sur des rats, mais on ne peut pas exclure que certains des auteurs des commentaires fassent partie de cette population, ils ont l'air tellement sûrs d'eux quand ils disent que c'est addictif).
Je suis entièrement d'accord. J'ai du me justifier au restaurant auprès d'une de mes collègues qui m'a a largement insisté pour savoir pourquoi je ne buvais pas et que c'était peu courant. Et c'est loin d'être la première fois. Ceci étant, beaucoup de personnes également ne boivent pas du tout d'alcool et il y en a de plus en plus, je ne me sens plus aussi seule
Ca fait déjà un moment que les machines prennent des décisions à notre place, on les a fabriquées pour ça.
Tu voulais dire quoi?
Intéressant et très détaillé comme commentaire, mais quid de la "rue des enfants qui pissent" à Saint Maximin (près d'Uzès)?
C'est une vraie rue hein, mais je te taquine. :)