Des naufragés retrouvés 15 mois plus tard

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En septembre 1966, l'histoire des naufragés d’Ata émut le monde entier. Alors que tout le monde les croyait morts, un bateau de pêche retrouva 6 adolescents disparus 15 mois plus tôt. Ils s'étaient aventurés en mer après s'être échappés de l'école, et avaient fait naufrage sur l'île déserte d'Ata. Ils avaient survécu en s'organisant pour chasser et cultiver, et étaient parvenus à faire un feu qu'ils avaient alimenté durant plus d'un an.


Commentaires préférés (3)

L’histoire raconte qu’il n’ont plus jamais séché de cours

a écrit : Sa Majesté des Mouches IRL, débrouillards les jeunes - il devait y avoir un scout ou un fils d'agriculteur parmi eux ;) À l'inverse de la compétition choisie dans la fictionnelle "Sa majesté des mouches", c'est ici la coopération qui a été choisie par ces jeunes garçons qui leur a permis de tous survivre dans la réalité.

a écrit : Sa Majesté des Mouches IRL, débrouillards les jeunes - il devait y avoir un scout ou un fils d'agriculteur parmi eux ;) Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix - il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.


Tous les commentaires (34)

Sa Majesté des Mouches IRL, débrouillards les jeunes - il devait y avoir un scout ou un fils d'agriculteur parmi eux ;)

L’histoire raconte qu’il n’ont plus jamais séché de cours

Ça me fait penser à "2 ans de vacances " de Jules Vernes

a écrit : Sa Majesté des Mouches IRL, débrouillards les jeunes - il devait y avoir un scout ou un fils d'agriculteur parmi eux ;) À l'inverse de la compétition choisie dans la fictionnelle "Sa majesté des mouches", c'est ici la coopération qui a été choisie par ces jeunes garçons qui leur a permis de tous survivre dans la réalité.

Je vous encourage à regarder la vidéo sur YouTube. « the Castaways 1966 »

a écrit : Sa Majesté des Mouches IRL, débrouillards les jeunes - il devait y avoir un scout ou un fils d'agriculteur parmi eux ;) Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix - il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.

Question: quel est l'intérêt de mettre en référence des sources où un abonnement est requis si ce n'est de frustrer le lecteur ??!

a écrit : Ça me fait penser à "2 ans de vacances " de Jules Vernes J'ai pensé de suite à la même chose.
Superbe livre d'ailleurs.

a écrit : Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix -
il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.
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:) et bien, je ne pensais pas que mon commentaire irriterait ainsi. Non que ce soit strictement nécessaire mais il me semble qu'avoir quelques notions de base est utile dans ce genre de situation et il se trouve que la plupart des scouts en disposent. Fils d'agriculteur me paraît être un bon moyen d'avoir ces mêmes dispositions à se débrouiller dans la nature - et accessoirement à entreprendre une culture de quelque nature que ce soit, non ? On en pense ce qu'on veut mais en tant que petit citadin j'ai beaucoup appris en matière de débrouillardise chez les scouts :) nul doute que la coopération d'intelligences courageuses est un bon facteur de survie, je ne vais pas insister sur les valeurs prônées par un mouvement que certains d'entre vous semble dénigrer par principe. Cela dit, "scout toujours prêt" ;)

Pour ma référence littéraire c'est tiré du souvenir confus d'une lecture de minot narrant les aventures de gamins livrés à eux même sur un île déserte, le rapprochement s'arrêtait là :)

a écrit : Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix -
il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.
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C'est sur que ton émission scriptée au possible est aussi une référence ;)

a écrit : Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix -
il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.
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Oui m’enfin je pense que d’un point de vue purement probabiliste, une équipe de bérets verts formés à survivre un minimum de façon autonome dans la nature ont plus de chances de s’en sortir qu’une bande de gamins qui n’ont jamais mis les pieds dans la forêt.

a écrit : :) et bien, je ne pensais pas que mon commentaire irriterait ainsi. Non que ce soit strictement nécessaire mais il me semble qu'avoir quelques notions de base est utile dans ce genre de situation et il se trouve que la plupart des scouts en disposent. Fils d'agriculteur me paraît être un bon moyen d'avoir ces mêmes dispositions à se débrouiller dans la nature - et accessoirement à entreprendre une culture de quelque nature que ce soit, non ? On en pense ce qu'on veut mais en tant que petit citadin j'ai beaucoup appris en matière de débrouillardise chez les scouts :) nul doute que la coopération d'intelligences courageuses est un bon facteur de survie, je ne vais pas insister sur les valeurs prônées par un mouvement que certains d'entre vous semble dénigrer par principe. Cela dit, "scout toujours prêt" ;)

Pour ma référence littéraire c'est tiré du souvenir confus d'une lecture de minot narrant les aventures de gamins livrés à eux même sur un île déserte, le rapprochement s'arrêtait là :)
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Du calme Calimero, Raspa a exprimé son point de vue (qu'on soit d'accord ou pas) mais n'a jamais, comme personne ici, dénigré aucun mouvement que ce soit !

a écrit : C'est sur que ton émission scriptée au possible est aussi une référence ;) Oh oui, ça c'est sûr ! C'est pour illustrer mon propos : on est bon sur ce pour quoi on a été formé.

Si tu sais survivre dans la nature avec un matériel de base rudimentaire (hache, couteau, pierre à feu et bache en plastique) très bien. Cela dit, si tu te retrouves un jour sans rien de tout cela... Ca va etre bien plus dur car tu n'as pas appris sans tes éléments de base.
Et tu retrouves cela dans d'autres éléments que la survie.

a écrit : Oui m’enfin je pense que d’un point de vue purement probabiliste, une équipe de bérets verts formés à survivre un minimum de façon autonome dans la nature ont plus de chances de s’en sortir qu’une bande de gamins qui n’ont jamais mis les pieds dans la forêt. Si on rentre dans les forces spéciales, oui tout de suite...
Tu as dans ton groupe un survivaliste spécialisé dans les situations extrêmes... tout de suite ça va dépoter

a écrit : :) et bien, je ne pensais pas que mon commentaire irriterait ainsi. Non que ce soit strictement nécessaire mais il me semble qu'avoir quelques notions de base est utile dans ce genre de situation et il se trouve que la plupart des scouts en disposent. Fils d'agriculteur me paraît être un bon moyen d'avoir ces mêmes dispositions à se débrouiller dans la nature - et accessoirement à entreprendre une culture de quelque nature que ce soit, non ? On en pense ce qu'on veut mais en tant que petit citadin j'ai beaucoup appris en matière de débrouillardise chez les scouts :) nul doute que la coopération d'intelligences courageuses est un bon facteur de survie, je ne vais pas insister sur les valeurs prônées par un mouvement que certains d'entre vous semble dénigrer par principe. Cela dit, "scout toujours prêt" ;)

Pour ma référence littéraire c'est tiré du souvenir confus d'une lecture de minot narrant les aventures de gamins livrés à eux même sur un île déserte, le rapprochement s'arrêtait là :)
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Tant mieux pour toi, surtout si ça c'est bien passé, j'ai été scout aussi. J'ai vu l'envers du décors et sans rentrer dans les détails, la où j'étais les valeurs de compassion/fraternité/humanité était très faible.
C'était plus du "Oui sergent!" et du respect absolu de l'aîné. Même avec juste 1an de différence, il devenait ton supérieur.
Que dire aussi du partage du repas : les chefs les meilleurs morceaux, les nouveaux une mini portion.

Ils ne sont pas tous pareils, mais ils ne sont donc pas gage d'une réussite si tu échoues quelque part ;)

Un agriculteur, ça veut tout et rien dire. Si tu as grandi dans une ferme d'un grand céréalier et qu'il ne fait que ça... récolter du tarot, sans engrais et produit... tout de suite c'est pas la même tasse de café.
Après le tarot c'est comme la pomme de terre : ce n'est pas le plant le plus dur.

a écrit : J'ai pensé de suite à la même chose.
Superbe livre d'ailleurs.
Oui j'ai pensé à ça aussi mais version télévisée...une série "2 ans de vacances" avait été diffusée en 1974, d'après l'œuvre de Jules Verne, je l'avais vue lors d'une rediffusion dans les années 80 sur tf1

a écrit : Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix -
il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.
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Je trouve ta réponse non constructive.....dans l'émission que tu cites comme "référence" n'est la que pour faire de l'audience.....l'être humain se réjouit de voir l'echec de son semblable.....en effet il est plus facile de critiquer que de féliciter ses paires..... revenons à nos brouettes
En effet une personne aillant des notions agricoles ou bien manuel aura de plus grande aptitudes a la survie qu'une personne citadines (bien extrapoler le mot citadin car je vous vois arriver "on peut être citadin et manuel)
On vas parlé plutôt de col bleu et col blanc comme au Québec
Un col blanc sera + en galère qu'un col bleu

a écrit : Aaaaah bah oui, si on réussit à survivre dans la nature, c'est forcément qu'on est scout ou fils d'agriculteur !

Dans l'émission très sensationnelle "Retour à l'instinct primaire" - où un homme et une femme nue doivent survivre 21 jours avec juste 2 outils de le choix -
il y a toujours un des deux qui est un ancien marines, chasseur, agriculteur, survivaliste etc.
Et vous savez quoi ? C'est presque toujours cette personne qui ne servira à rien. Perdu, déboussolé, ne sachant pas comment faire sans ses outils, la personne est vite "out".

Quand on se retrouve sur une île "déserte", avec aucun outil, fils d'agriculteur ou scout, ça ne change rien : tu es dans la merde. Survivre à partir de rien, ce n'est pas la même chose que de faire fonctionner une ferme ou de savoir chasser avec une ficelle et un couteau.

En l'occurrence, ici, les 6 ados venaient tous du pensionnat. Peu d'informations sur leur famille, si ce n'est qu'ils ont reçu au moins quelques connaissances de base de leur île et coutume.
Ils ont fugué, car ils voulaient explorer le monde... Mais avec 0 connaissance en navigation. Dès la première nuit le bateau est HS suite à une tempête. Ils vont dériver 8 jours e attrapant quelques poissons à mains nues. Ils allaient passer l'arme à gauche quand ils trouvèrent l'île.
Au début, pas besoin de talent particulier : noix de coco, œufs et oisillons et eaux de pluies.
Après trois mois difficiles... Ils trouvent les restes de l'ancien village tongien. L'île déserte ne devient plus si déserte. Ils trouvent du taro, bananiers, des poulets, et même un peu de matériel. A partir de là, la vie devient plus "facile". Ils pêchent, chassent, cultivent le taro, cueillent les bananes, font une guitare, du sport pour s'entretenir et, surtout, pour tuer l'ennuie. Ils ont même fait un système pour régler les disputes.
C'est surtout leur fraternité/compassion et créativité qui les ont préservés.

Pas besoin de scout ou d'agriculteur pour survivre, il faut des débrouillards avec une tête bien faite.
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Il faut terriblement se méfier de ce genre d'émissions TV... J'ai eu l'occasion d'assister en Rep Dom à des tournages de Koh-Lanta ; des scènes sur une plage. On imagine qu'ils sont "seuls au monde", mais déjà cette plage n'était pas du tout "sauvage" ; au contraire, très connue et assez fréquentée (Playa Coson, près de Las Terrenas, pour ceux qui connaissent)... Et puis spectateurs derrière des barrières, du monde de tournage partout sur la plage, des tentes en retrait, des barnums, des caméras, des éclairages, des micros à rallonges, une antenne médicale... Aussi des prises refaites : "on t'entend pas coco, plus fort"... "Non, on la refait, sois plus en colère contre lui"... C'est du cinéma ! on les fait jouer comme des acteurs ! Et puis, il n'y a pas eu de Koh-Lanta en Rep Dom ! alors ils sont venus comment pour tourner ces scènes de plages !? Et repartis ensuite comment sur les lieux du soi-disant tournage officiel ? Comment sinon en avion ? pendant qu'on les croit sur une île déserte...
Alors "Retour à l'instinc primaire", je ne crois pas trop non plus à la réelle "survie" ;)