Aux États-Unis, il arrive fréquemment qu'un réalisateur doive tourner plusieurs fins pour un même film, en particulier pour les films finissant mal. Par exemple, l'Effet Papillon possède pas moins de quatre fins différentes, heureuses ou dramatiques. Cela peut être aussi à l'occasion de la sortie d'un film en DVD, ou encore d'une opposition entre le réalisateur et le producteur.
Commentaires préférés (3)
Il arrivera un jour où l'on visionnera des films sur-mesures, selon notre humeur. Et ce en quelques coups de télécommande. "Un film dont vous êtes le héros" diront-ils !
Ma première anecdote publiée, je suis émue!
Pour le cas de l'effet papillon, la fin étant trop tragique, le réalisateur a été contraint d'en faire plusieurs autres -il en existe quatre que vous pourrez trouver aisément sur internet :) -, plus ou moins heureuses afin que son film puisse être distribué en salle. Aux États Unis, les happy end sont presque de rigueur, sans doute dans le soucis de toucher un plus large publique.
Le grand bleu possède également deux fins, une pour le public européen, et l'autre pour les salles outre atlantique, plus "heureuse" que la fin originelle.
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Mais quelle en est l'utilité ?
Il arrivera un jour où l'on visionnera des films sur-mesures, selon notre humeur. Et ce en quelques coups de télécommande. "Un film dont vous êtes le héros" diront-ils !
Mais pourquoi qu aux états unis?...
C'est souvent utiliser pour les films d'horreur avec les limites d'âges et non pas en fonction des humeurs ...
Il existe même un jeu sur Xbox ou l'histoire se modifie en fonction des choix et donc on peut avoir plusieurs fins possibles, je crois que c est mass effect le jeu
Il y a aussi la série des "Fable". Ces dernières années il faut croire que de plus en plus de choses s'adaptent au clients... et ce n'est qu'un début
Dans l'effet papillon j'ai seulement vu deux fins , une ou il naît pas et l'autre il dit à sa copine tout jeune qu'il veut plus lui parler et il ce recroise plus grand . Quel sont les deux autres ?
Je me demande s'ils ne restent pas sur un groupe plusieurs des fins pour vérifier celle qui plaît le plus au publique avant de la choisir. Je sais que j'avais déjà vu ça pour un film. Après je ne sais pas la fréquence de la méthode.
Certains ont su contourner le problème comme hitchock dont les film était tellement bien ficellés scénaristiquement parlant qu'il était impossible de les monter autrement que comme il l'avait décidé, il me semble même que certain étaient story boardé ( scénario dessiné) mais la je ne pourrais le dire avec certitude ce sont de lointains souvenirs
Il existe de même pour "Je suis une légende" ou il y a deux fins !
Ma première anecdote publiée, je suis émue!
Pour le cas de l'effet papillon, la fin étant trop tragique, le réalisateur a été contraint d'en faire plusieurs autres -il en existe quatre que vous pourrez trouver aisément sur internet :) -, plus ou moins heureuses afin que son film puisse être distribué en salle. Aux États Unis, les happy end sont presque de rigueur, sans doute dans le soucis de toucher un plus large publique.
Le grand bleu possède également deux fins, une pour le public européen, et l'autre pour les salles outre atlantique, plus "heureuse" que la fin originelle.
Et j'ajouterai que c'est pour cela que le cinéma américain s'exporte beaucoup mieux que les autres c'est que le cinéma américain est en grande majorité un cinéma de genre (film catastrophe, comédie romantique, film de super héros) et non d'auteur comme par exemple en France
Le seul genre qui existe en France est la comédie de boulevard ( trois hommes et un couffin, la vérité si je mens, etc.)
Imaginons un David Lynch avec fins interchangeables et on verra le contresens.
En politique : au choix clientélisme, démagogie ou opportunisme.
Dans le monde de la création : une tromperie.