Sweeney Todd : un film inspiré d'un fait divers londonien et parisien

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abert
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Le film Sweeney Todd de Tim Burton s'inspire d'une histoire sordide qui se serait passée à Londres au XIXème siècle. Mais une histoire similaire s'est produite à Paris 500 ans auparavant : un barbier égorgeait les clients de passage et les cadavres servaient d'ingrédient à un complice pour faire du pâté. Les deux seront démasqués et envoyés au bûcher.


Tous les commentaires (58)

a écrit : il le faisait passer pour quel sorte de pâté Du pathé de tête a mon avis ^^ Napoléon1998

a écrit : c'est bien comme histoire.mais ça ne parle pas assez du paté:la fabrication,s'il etait gouteux... Désolé de faire la rabat-joie mais oublie pas que des gens sont morts la gorge tranchée alors qu'ils voulaient simplement être rasés et que d'autres ont mangé des restes humains sans le savoir ... Alors t'es gentil mais ça me fait pas rire ;)

Le complice du barbier français était patissier...

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C'est un peu ce qui ce passe dans le livre "Moi, je François Villont" de Jean Teulé

Son complice était en faite un boulanger qui "recycler" ^^ les cadavres en tourte à la viande

D'ailleurs un établissement nommé le Manoir de Paris dont le principe consiste à rejouer des faits glauques s'étant déroulé à Paris au cours du temps contient deux salles où l'on se retrouve d'abord avec le barbier puis avec le boucher qui racontent chacun leur tour comment ils procédaient. C'est un truc sympa à faire, mais attention aux cardiaques, les acteurs dans les différentes pièces totalement immergées dans le noir vous mettent vraiment en situation.

a écrit : c'est bien comme histoire.mais ça ne parle pas assez du paté:la fabrication,s'il etait gouteux... "Oh, maman regarde, un psychopathe"

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a écrit : Désolé de faire la rabat-joie mais oublie pas que des gens sont morts la gorge tranchée alors qu'ils voulaient simplement être rasés et que d'autres ont mangé des restes humains sans le savoir ... Alors t'es gentil mais ça me fait pas rire ;) Si ! C'est drôle ! On a le droit de rire de tout !!!

a écrit : ouais, dans "métronome", le boucher faisait des saucisses d'étudiants qui vivaient juste à côté hébergés par le complice ( une sorte de moine il me semble non?) et les étudiants vivants bouffaient leurs potes en saucisses sans le savoir... Comme un épisode des Simpson lol

a écrit : c'est bien comme histoire.mais ça ne parle pas assez du paté:la fabrication,s'il etait gouteux... T'es un peu toc-toc je trouve

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a écrit : Paté en croûte Pâtés en croûte, c'était quand les victimes étaient âgées!!!

Oui c'est vrai, j'ai vu ça dans le film MÉTRONOME

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a écrit : il le faisait passer pour quel sorte de pâté J'ai entendue dire que la viande d'humain ressemble à du porc..

(Ne me demande pas où j'ai entendu dire c ! >< aucune idée)

a écrit : Désolé de faire la rabat-joie mais oublie pas que des gens sont morts la gorge tranchée alors qu'ils voulaient simplement être rasés et que d'autres ont mangé des restes humains sans le savoir ... Alors t'es gentil mais ça me fait pas rire ;) Ces pates etaient connus dans toute la capitale et tres prises pour leur gout exceptionnel!, qui veux gouter?

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a écrit : J'ai entendue dire que la viande d'humain ressemble à du porc..

(Ne me demande pas où j'ai entendu dire c ! >< aucune idée)
J'ai personnellement mis ma main sur une taque électrique pour comprendre ce qu'il se passait et ça a bien senti le cochon... ensuite à 13 ans époque lointaine où les amis prédominent, nous nous sommes arrachées quelques cheveux chacune (4 filles pour être précise) et nous les avons brûlés en gage d'amitié éternelle (un peu trop flippées pour le pacte de sang :-P ). Chose qui à nouveau a bien senti le cochon grillé. Donc si l'histoire ne dit pas si nous goutons bien le porc, son odeur elle, n'a pas connu de différence pour nos/mon odorat(s).
En espérant ne pas avoir donné d'idée saugrenue ;-)

a écrit : D'autres films sont inspirés de faits divers similaires. C'est le cas de l'Auberge rouge de C. Autant-Lara avec Fernandel et F Rosay en 1951. On alla même jusqu'à raconter que les époux Martin, protagonistes des crimes, servaient leurs victimes en pot-au-feu aux clients suivants. On entend des faits divers similaires aujourd'hui, c'est fort possible.

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a écrit : ouais, dans "métronome", le boucher faisait des saucisses d'étudiants qui vivaient juste à côté hébergés par le complice ( une sorte de moine il me semble non?) et les étudiants vivants bouffaient leurs potes en saucisses sans le savoir... un peu comme Ulysse avec ses compagnons en cochons, non ?

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a écrit : c'est bien comme histoire.mais ça ne parle pas assez du paté:la fabrication,s'il etait gouteux... Et le prix au kilo surtout !!