En Ethiopie, on motivait les athlètes avec de la prison

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Lors des Jeux olympiques de Munich en 1972, le coureur Éthiopien Miruts Yifter ne termina "que" troisième, ce qui lui valut un séjour de trois mois en prison une fois de retour en Éthiopie, pour ne pas avoir été à la hauteur des espoirs placés en lui. Son pays ayant boycotté les JO de 1976, il n'y participa pas, mais remporta finalement les épreuves des 5000 et 10000 mètres aux JO de Moscou en 1980.


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a écrit : je me demande pourquoi le comité olympique ou la communauté internationale n'ont pas été choqué par cette situation. Simplement parce que c'est une bande de laches et qu'ils n'en ont rien a carrer. La preuve, on organise toujours des jo qui coute des milliards dans des pays comme la russie, alors que les gens sont dans la misere ou sont virés de chez eux pour installer des stades.
Idem le foot!!

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Il faut être un vrai winner H24 là-bas

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a écrit : Ce qui est dur, c'est que s'il avait fait 3 secondes de moins, il aurait eu l'or et le record du monde!! Mais il a eu le bronze et la prison...
Comme quoi peu de chose font la différence en sport...
Peu de choses font la difference en sport? Ou dans la vie? Dans son cas c'est la victoire par la menace. J'espère pour lui qu'il aura été mentalement au dessus des ces représailles!

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Sale sale le pays quand même et de mauvaise fois pour l'année qui suit!!!!

a écrit : Ce qui est dur, c'est que s'il avait fait 3 secondes de moins, il aurait eu l'or et le record du monde!! Mais il a eu le bronze et la prison...
Comme quoi peu de chose font la différence en sport...
3 seconde c'est énorme !!

a écrit : Les bleus s'en sortaient bien finalement en 2002! En 1994 ils étaient pas mal non plus ;-)

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Heureusement qu'on ne fait pas ça en France car sinon il y aurait beaucoup d'athlètes en prison...

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