La tueuse en série n'en était pas une

Proposé par
le
dans

Entre 1993 et 2008, plusieurs crimes furent commis dans toute l'Europe. Le lien entre ces différentes affaires était la présence sur les scènes de crime de l'ADN d'une femme inconnue. Après 16 ans de recherches d'Interpol, le mystère fut résolu : l'ADN appartenait en fait à une employée d'une fabrique de cotons-tiges qui aurait mal stérilisé ses gants et dont l'ADN fut transmis sur des centaines de cotons-tiges utilisés par la police scientifique.


Tous les commentaires (81)

a écrit : Des contons-tiges sur un scène de crime ? J'espère que c'est pas l'arme du crime ;) Les cotons-tiges sont utilisé pour prélever de l'ADN!

Posté le

android

(0)

Répondre

a écrit : Et en 16 ans de recherches ils n'ont pas trouvé l'auteur des crimes ? ... Ce qui relit ces crimes sont l'ADN de la dite femme sur les Cotons-Tiges utilisé par le personnel scientifique... Et rien d'autre. Donc il y a un criminel pour chaque affaire, et non pas un seul " auteur ". Ils ont d'ailleurs très bien pu trouvé les criminels par d'autres moyens ; mais là n'est pas vraiment la question :)

Commentaire supprimé Donc il a raison ils ne survivront pas...

Posté le

android

(0)

Répondre

Ça donneras des idées aux avocats : Mr le juge mon client est non coupable il y'a des traces d'ADN du fabricant de l'arme.

a écrit : Des contons-tiges sur un scène de crime ? J'espère que c'est pas l'arme du crime ;) Lol mais non c'est les cotons tiges que la police scientifique utilisé qui sont normalement stérile ^^

Affaire résolu ou pas???!!!!!??
Si quelqu'un pouvait répondre, JMCMB! Merci d'avance ;)

Ils ont du être "coton" d'enfin connaître la réponse de ce mystère !

a écrit : Des contons-tiges sur un scène de crime ? J'espère que c'est pas l'arme du crime ;) Il s'agit en réalité d'écouvillons et pas de coton tiges. Sensiblement le même produit en dehors du fait qu'un coton tige a deux extrémités. Ça choque de voir écrit coton tige partout dans le cas présent

a écrit : Des contons-tiges sur un scène de crime ? J'espère que c'est pas l'arme du crime ;) Non! Car elle manque de puissance, elle ne fait que 2 ouates.

Posté le

android

(7)

Répondre

a écrit : Étrange, j'ai lu autre part qu'elle léchait ses cotons-tiges pour plus facilement les utiliser (je crois pour les entrer dans les tubes à essais) Je crois avoir vu ca dans les enquetes impossibles, mais les deux affaires sont totalement differentes il me semble

Posté le

android

(0)

Répondre

Ce n'est pas l'affaire SK1 ?

Posté le

android

(0)

Répondre

Aller hop au trou !! On veux rien savoir.. Si tout le monde faisait son boulot correctement , on s'en sortirai mieux ;)
Mais filez lui des cotons tige quand même..

J'ai des doutes sur la véracité de cette information. Comment est-il possible que toutes les PS d'Europe aient le même fournisseur et en plus aient reçu le même lot de fabrication de coton-tiges ?

Posté le

android

(1)

Répondre

Élémentaire mon cher Ouate-son...

Posté le

android

(8)

Répondre

a écrit : Et le pire c'est qu'elle avait contaminé tout un lot de cotons tiges qu'ils ont utilisé pendant 16 ans!
Ah c'est sur que ce ne sont pas nos petites boîtes de 100 achetées en grande surface.
Ou alors elle a travaillée pendant 16 ans en contaminant les lots

Posté le

android

(0)

Répondre

a écrit : Et en 16 ans de recherches ils n'ont pas trouvé l'auteur des crimes ? En même temps pendant 16 ans ils ont chercher a qui apartenait l'adn et donc n'ont pas avancer sur les autres pistes. De plus cela ne demande pas beaucoup de travail car ils ont certainement attendu que les empreintes soient entrées dans la base de donnée via une autre affaire.

Posté le

android

(0)

Répondre

a écrit : Les lots de cotons-tiges (vendues dans toute l'Europe) était contaminés par une seule et même personne donc ça envoyé tout le monde sur une fausse piste. Et pendant 16 ans elle a jamais changer de gants ??
>>>

Posté le

android

(1)

Répondre

Pour ceux qui n'ont pas compris les cortons tiges n'étaient pas retrouvés sur la scène de crime mais c'étaient ceux utilisés par les policiers pour relever l'ADN des suspects.