Les vers holorimes désignent des vers qui se prononcent de la même façon, mais s'écrivent de manière différente. Un exemple est dans un poème d'Alphonse Allais : "Par les bois du Djinn où s'entasse de l'effroi, Parle et bois du gin ou cent tasses de lait froid".
Un autre exemple de Charles Cros : "Dans ces meubles laqués, rideaux et dais moroses,
Danse, aime, bleu laquais, ris d'oser des mots roses.
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"Gall, amant de la reine, alla, tout magnanime,
Galamment de l'arène à la tour Magne à Nîmes"