On a greffé un coeur de porc sur un babouin

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a écrit : Miiims l'a mentionné, mais la recherche de "l'immortalité" reste un sujet épineux je trouve, avec de multiples questions sous-jacentes :
- A quel prix (les riches pourraient se soigner de tout, les pauvres continueront à mourir)
- Comment gère-t-on la surpopulation mondiale si on se met
à vivre 150 ou 200ans ?
- Si on considère qu'on travaille 50% de sa vie, est-ce que ça implique de travailler 75 voire 100ans ?
- Quid du mariage ?
Et certainement un tas d'autres questions plus intéressantes que celles-ci !
Bref, le progrès doit il être limité ? Si oui, suivant quels critères ?
Vous avez 4h ;)
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- Aujourd'hui, les riches sont bien mieux soignés que les pauvres. Le problème existe déjà.
- La surpopulation mondiale comme problème est toujours un débat. Si on considère la pollution par exemple, pour 6 fois plus d'êtres humains, il y a eu 700 fois plus de CO2 dans l'atmosphère donc la surpopulation n'est pas la cause de tous nos maux actuels.
- On augmente la durée du travail en fonction de notre espérance de vie. Le problème se pose déjà. Reste à savoir si certains métiers seront robotisés.
- Le mariage ? La moitié finisse en divorce et cela augmente.

Si je lis bien ton commentaire, les problèmes que tu évoques existent tous déjà, que notre espérance de vie prennent 100 ans de plus.

a écrit : Je suis en partie d’accord avec toi sur le fait que les progrès de la Science sont quand même bon pour nous dans le sens ou ça améliore notre espérance et nos conditions de vie. Ca il n’y a pas de problème. Le seul problème est de fixer une limite car la nature a toujours fonctionné sans que nous agissions avec la sélection naturelle en ne gardant que le « meilleur » et en éliminant le « faible» c’est le principe de l’évolution qui a fait ce que nous sommes aujourd’hui. Maintenant si on se met à modifier des êtres afin d’enlever ces « faiblesses » alors ce n’est plus de la sélection naturelle et LA ca peu causer des problemes plus grave pour la planete (bon pour moi on l’a deja bien entammer notre planete mais cest un autre debat...) Si tout le monde est parfait sans « faiblesse » et qu’en plus on augmente considerablement l’esperance de vie de certains qui ne sont pas senser survivre alors on aura un probleme de demographie encore plus grave que ce qu’il y a deja. Il nous faut deja 1,6 terre pour nourrir « tout » le monde et ce n’est qu’une infime partie du probleme... Afficher tout Cela fait 20 000 ans que l'on fait ça avec des loups pour obtenir des chiwawa..

a écrit : @ LePetitFou et @ Miiims:

D'ailleurs le verbe pallier, que ce soit dans votre intervention ou dans l’anecdote elle-même, est mal orthographié. Il prend 2 "L": paLLier.

Avec un seul "L", cela désigne l'endroit situé entre 2 volées d'escaliers.
Exact. Comme quoi, balayer devant sa porte, tout ça... C'est pas réservé aux autres !

a écrit : Eugénisme (définition du cnrtl):
Ensemble des recherches (biologiques, génétiques) et des pratiques (morales, sociales) qui ont pour but de déterminer les conditions les plus favorables à la procréation de sujets sains et, par là même, d'améliorer la race humaine.

L’eugénisme n’est pas amoral
en soi. Ce sont les méthodes mises en places pour y parvenir qui peuvent l’être.

D’ailleurs l’eugénisme amorale pour l’humain comme l'élimination des sujets non sains existe d’une certaine manière dans la nature. Les faibles sont souvent sacrifiés ou se suicident (chez les loups ou les colonies de fourmis entre autres) afin de protéger le groupe mais par le jeu des générations il y a eugénisme.
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Sauf que l'eugénisme pose quand même un problème que la sélection naturelle ne pose pas.
La sélection naturelle ne se fait pas consciemment : un élément non apte à vivre finit par mourir, parce qu'il ne survit pas à son environnement (n'arrive pas à se nourrir/défendre...), et ne se reproduit pas
Jusqu'à preuve du contraire, les animaux n'ont pas de morale (peut-être qu'un jour on découvrira que si, mais ça signifiera pas que chaque espèce a la même morale), quand ils tuent les plus faibles c'est parce que "intuitivement" ils savent que c'est pour éviter à la meute (et donc à eux individuellement) d'en pâtir.
(J'avoue que ce que je dis est assez approximatif, si quelqu'un de spécialisé pouvait confirmer)

Mais l'eugénisme, c'est un choix conscient de quelques individus sur ce qu'est la NORME de l'humain "sain"
Doit-on, si on sait détecter ces troubles avant la naissance, empêcher les personnes aveugles, autistes, sourdes, paraplégiques... de vivre ?
Où est la limite entre avorter d'un bébé atteint d'un handicap lourd, comme la trisomie (je prends cet exemple parce que l'avortement peut être pratiqué, il est socialement accepté dans cette situation) et un autre atteint de surdité ? Et les "troubles" psychologiques, que l'on connaît mal ?
Parce que techniquement, on peut dire que ces personnes ne sont pas adaptées à la société que l'on a formée. Mais on peut aussi dire tout aussi justement que cette société est mal adaptée à la diversité des profils humains.

Je vais prendre un exemple bateau : aurait-il fallu avorter de Stephen Hawking ? D'Einstein, si on lui avait découvert une dyslexie (après tout, c'est aussi considéré comme un handicap) ?

Comment peut-on déterminer quel type d'humain a le droit de "tenter sa chance", quand on ne sait pas ni si son handicap l'empêchera d'apporter ses connaissances à la société toute entière, ni si, individuellement (au-delà de la question "doit on forcément être utile à la société"), son handicap l'empêchera d'être heureux ? Comment juger ?

Pour moi, et ce n'est qu'un avis personnel, il vaut mieux se garder de faire ce genre de choix (de la même façon, je suis contre la mutilation d'un enfant né intersexe. Les risques que le choix soit le mauvais sont trop importants, il aura bien le temps de choisir, ou pas, en grandissant. D'ailleurs, être intersexe est considéré comme un handicap par notre société, mais on peut remettre ce regard en question : à part notre regard, rien n'empêche de vivre normalement, rien ne fait souffrir ces personnes, alors que leur imposer un sexe les fait souffrir au-delà de ça)
Les fœtus inaptes à vivre meurent déjà, la sélection naturelle se fait encore
Je ne sais pas si je tiendrai le même discours si j'apprenais que mon enfant sera atteint de trisomie. Aujourd'hui, je crois que je le garderai, pour les raisons évoquées plus haut, je ne suis personne pour choisir s'il doit vivre ou non
Mais face a la situation ? Aurais-je les épaules pour assumer un enfant handicapé ? En suis-je capable ? Est-ce que l'égoïsme n'est pas plutôt de ne pas prendre la décision de lui éviter des souffrances certaines ?

L'eugénisme, s'il était mis en place (enfin on peut débattre du fait qu'il soit déjà présent), deviendrait une norme, et son poids empêcherait les parents de se poser la question.

De plus, on peut imaginer que l'eugénisme empêcherait à l'humain d'évoluer en fonction de son environnement, puisque les mutations seront refusées


Pour moi, ça impliquerait trop de choses dont on ne mesure pas les conséquences, on devrait éviter de jouer avec
L'idée contraire est défendable, si on se place dans une vision qui accepte que l'humain puisse à terme tout contrôler, mais ce n'est pas ma position

Si le porc n'est pas génétiquement le plus proche de l'homme, il l'est d'un point de vue immunitaire. En plus ses organes sont de la même taille que ceux de l’homme. Y a t il du cochon en l'homme ?

a écrit : Sauf que l'eugénisme pose quand même un problème que la sélection naturelle ne pose pas.
La sélection naturelle ne se fait pas consciemment : un élément non apte à vivre finit par mourir, parce qu'il ne survit pas à son environnement (n'arrive pas à se nourrir/défendre...), et ne se reproduit pasr /> Jusqu'à preuve du contraire, les animaux n'ont pas de morale (peut-être qu'un jour on découvrira que si, mais ça signifiera pas que chaque espèce a la même morale), quand ils tuent les plus faibles c'est parce que "intuitivement" ils savent que c'est pour éviter à la meute (et donc à eux individuellement) d'en pâtir.
(J'avoue que ce que je dis est assez approximatif, si quelqu'un de spécialisé pouvait confirmer)

Mais l'eugénisme, c'est un choix conscient de quelques individus sur ce qu'est la NORME de l'humain "sain"
Doit-on, si on sait détecter ces troubles avant la naissance, empêcher les personnes aveugles, autistes, sourdes, paraplégiques... de vivre ?
Où est la limite entre avorter d'un bébé atteint d'un handicap lourd, comme la trisomie (je prends cet exemple parce que l'avortement peut être pratiqué, il est socialement accepté dans cette situation) et un autre atteint de surdité ? Et les "troubles" psychologiques, que l'on connaît mal ?
Parce que techniquement, on peut dire que ces personnes ne sont pas adaptées à la société que l'on a formée. Mais on peut aussi dire tout aussi justement que cette société est mal adaptée à la diversité des profils humains.

Je vais prendre un exemple bateau : aurait-il fallu avorter de Stephen Hawking ? D'Einstein, si on lui avait découvert une dyslexie (après tout, c'est aussi considéré comme un handicap) ?

Comment peut-on déterminer quel type d'humain a le droit de "tenter sa chance", quand on ne sait pas ni si son handicap l'empêchera d'apporter ses connaissances à la société toute entière, ni si, individuellement (au-delà de la question "doit on forcément être utile à la société"), son handicap l'empêchera d'être heureux ? Comment juger ?

Pour moi, et ce n'est qu'un avis personnel, il vaut mieux se garder de faire ce genre de choix (de la même façon, je suis contre la mutilation d'un enfant né intersexe. Les risques que le choix soit le mauvais sont trop importants, il aura bien le temps de choisir, ou pas, en grandissant. D'ailleurs, être intersexe est considéré comme un handicap par notre société, mais on peut remettre ce regard en question : à part notre regard, rien n'empêche de vivre normalement, rien ne fait souffrir ces personnes, alors que leur imposer un sexe les fait souffrir au-delà de ça)
Les fœtus inaptes à vivre meurent déjà, la sélection naturelle se fait encore
Je ne sais pas si je tiendrai le même discours si j'apprenais que mon enfant sera atteint de trisomie. Aujourd'hui, je crois que je le garderai, pour les raisons évoquées plus haut, je ne suis personne pour choisir s'il doit vivre ou non
Mais face a la situation ? Aurais-je les épaules pour assumer un enfant handicapé ? En suis-je capable ? Est-ce que l'égoïsme n'est pas plutôt de ne pas prendre la décision de lui éviter des souffrances certaines ?

L'eugénisme, s'il était mis en place (enfin on peut débattre du fait qu'il soit déjà présent), deviendrait une norme, et son poids empêcherait les parents de se poser la question.

De plus, on peut imaginer que l'eugénisme empêcherait à l'humain d'évoluer en fonction de son environnement, puisque les mutations seront refusées


Pour moi, ça impliquerait trop de choses dont on ne mesure pas les conséquences, on devrait éviter de jouer avec
L'idée contraire est défendable, si on se place dans une vision qui accepte que l'humain puisse à terme tout contrôler, mais ce n'est pas ma position
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Et si on prend le problème dans l'autre sens. Je rappelle tout de même que la volonté d'avoir un enfant est la responsabilité des parents et non un droit de vivre pour un humain qui n'existe pas.

Imaginons que nous arrivions à détecter les maladies et les handicaps avant la naissance. Qui sommes nous pour prendre la responsabilité de ne pas le faire et risquer qu'un être humain handicapé vive une vie de souffrance et d'exclusion ?

Je vous invite à lire cet article par exemple ou nous avons plusieurs exemple de problème juridiques concernant les enfants nés avec un handicap décelable avant naissance ou issus de viol. Peut-on attaquer ces parents parce qu'ils nous ont donné la vie ?
www.liberation.fr/societe/1999/12/10/dedommage-pour-le-fait-d-etre-ne-pour-la-premiere-fois-la-justice-a-indemnise-un-enfant-concu-au-cou_291335
ou
actu.dalloz-etudiant.fr/fileadmin/actualites/pdfs/OCTOBRE2010/D1999-445.pdf

a écrit : Le simple fait de détecter certaines maladies pendant les 3 premiers mois de grossesse type trisomie 21, c'est déjà de l'eugénisme non ? Non ce n'est pas de l'eugénisme, et ça répond aussi à votre commentaire précédent.
Ici on ne décide pas de garder ou non l'enfant pour purifier notre espèce, on décide pour le bien de l'enfant lui même. Aucun parant dans ce cas ne se dit qu'il va faire avorter pour ne pas dégénérer notre race avec un être anormal (c'est le discour des eugénistes).

a écrit : - Aujourd'hui, les riches sont bien mieux soignés que les pauvres. Le problème existe déjà.
- La surpopulation mondiale comme problème est toujours un débat. Si on considère la pollution par exemple, pour 6 fois plus d'êtres humains, il y a eu 700 fois plus de CO2 dans l'atmosphère donc la surpopu
lation n'est pas la cause de tous nos maux actuels.
- On augmente la durée du travail en fonction de notre espérance de vie. Le problème se pose déjà. Reste à savoir si certains métiers seront robotisés.
- Le mariage ? La moitié finisse en divorce et cela augmente.

Si je lis bien ton commentaire, les problèmes que tu évoques existent tous déjà, que notre espérance de vie prennent 100 ans de plus.
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D'où le terme "reste" au départ de mon commentaire : ce sont déjà des questions d'actualité, dont la criticité augmente sans doute plus vite encore que l'espérance de vie !

a écrit : La raison du plus fort est toujours la meilleure Non les bêtes ne meurent pas pour vous nourrir. Vous les tuez pour vous nourrir. Nuance.

en même temps, d'après certaines théories, cet appétit d'immortalité est, comme tout, le résultat de la sélection naturelle. Que la nature merde, fidèle à sa chère habitude, c'est son problème ...

Lorsque tout sera automatisé, lorsque la minorité de riches n'aura plus besoin de nous ...

a écrit : Non les bêtes ne meurent pas pour vous nourrir. Vous les tuez pour vous nourrir. Nuance. C'était en fait une réponse à LeNotre, à 14h29. Je m'étais trompé de commentaire

a écrit : A priori le process de la greffe de cerveau de pigon et de mouton sur l'être humain est déjà connu depuis très longtemps ! Le progrès est peut être là où on l'attend le moins. J'allai justement dire que la limite à la transplantation d'organe était au niveau du cerveau qui me semble impossible. Mais avec ta réflexion on se pose des questions sur certains qui ont du subir une transplantation de cervelle de pigeon ou de mouton... en effet (ou une ablation...)

a écrit : Les défenseurs des droits des animaux en PLS après cette anecdote ... C'est toute l'humanité qui devrait l'être, c'est le début de la fin

a écrit : Non ce n'est pas de l'eugénisme, et ça répond aussi à votre commentaire précédent.
Ici on ne décide pas de garder ou non l'enfant pour purifier notre espèce, on décide pour le bien de l'enfant lui même. Aucun parant dans ce cas ne se dit qu'il va faire avorter pour ne pas dégénérer notre
race avec un être anormal (c'est le discour des eugénistes). Afficher tout
Ça revient au même au final sans l’intention.

Je fais partie des personnes à qui ces recherches- et découvertes- pourraient radicalement changer la vie.
Je suis diabétique de type 1 depuis mes 10 ans, et je suis en vie grâce au fait que je vis au 21e siècle dans un pays qui peut me rembourser de l'insuline produite articiellement. À savoir qu'il y a encore 60 ans cette même insuline, indispensable pour transformer le glucose en énergie, était extraite de pancréas de porcs.
Je suis pour le bien-être des animaux, mais je suis partagée par l'espoir qu' un jour on pourra me greffer un pancréas qui me permettrait d'avoir une vie à peu près normale, de ne pas dépendre de 6-7 piqûres par jour, de réduire les risques liés aux conséquences du diabète sur le corps à long terme (je pense notamment au fait de devenir aveugle, devoir être amputé d'un membre et j'en passe...) et de vivre en meilleure santé. Alors certains parlent d'eugenisme, mais on peut aussi penser au fait que le nombre sans cesse augmentant de cancers, de maladies chroniques et auto immumes telles que le diabète, l'asthme, les allergies, sont certainement liées aux activités de l'homme, dont la principale suspecte est la pollution et l'omniprésence de celle-ci dans notre environnement.
Alors si les avancées de la médecine peuvent être une solution à ces problèmes de santé publique, méritent-elles d'être qualifiées d'eugénisme ou devrait-on plutôt parler d'ajustement face aux problèmes créés par l'homme ?

a écrit : Je fais partie des personnes à qui ces recherches- et découvertes- pourraient radicalement changer la vie.
Je suis diabétique de type 1 depuis mes 10 ans, et je suis en vie grâce au fait que je vis au 21e siècle dans un pays qui peut me rembourser de l'insuline produite articiellement. À savoir qu'il y
a encore 60 ans cette même insuline, indispensable pour transformer le glucose en énergie, était extraite de pancréas de porcs.
Je suis pour le bien-être des animaux, mais je suis partagée par l'espoir qu' un jour on pourra me greffer un pancréas qui me permettrait d'avoir une vie à peu près normale, de ne pas dépendre de 6-7 piqûres par jour, de réduire les risques liés aux conséquences du diabète sur le corps à long terme (je pense notamment au fait de devenir aveugle, devoir être amputé d'un membre et j'en passe...) et de vivre en meilleure santé. Alors certains parlent d'eugenisme, mais on peut aussi penser au fait que le nombre sans cesse augmentant de cancers, de maladies chroniques et auto immumes telles que le diabète, l'asthme, les allergies, sont certainement liées aux activités de l'homme, dont la principale suspecte est la pollution et l'omniprésence de celle-ci dans notre environnement.
Alors si les avancées de la médecine peuvent être une solution à ces problèmes de santé publique, méritent-elles d'être qualifiées d'eugénisme ou devrait-on plutôt parler d'ajustement face aux problèmes créés par l'homme ?
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A mon avis, nous aurons des pancréas artificielles avant d'avoir des pancréas de cochons. Sinon il existe déjà des tests pour des greffes d'ilots de Langherans.

www.revmed.ch/RMS/2006/RMS-68/31407

a écrit : A priori le process de la greffe de cerveau de pigon et de mouton sur l'être humain est déjà connu depuis très longtemps ! Le progrès est peut être là où on l'attend le moins. Personnellement, je vous aurais bien mis 250 pouces levés, mais je n'ai pas la patience de créer autant de comptes sous des noms différents. Malheureusement, ce sont le plus souvent les commentaires dégoulinants de consensus riche en glucose, de bon sens près de chez vous et de foi dans l'humanité (on est prié de ne pas rire) qui emportent le plus de suffrages

a écrit : Ça revient au même au final sans l’intention. Vous jouez au plus idiot ou comment ça marche là ? Bien sûr que non ça revient pas à la même chose.

Enfin bref je vais conclure en répétant la même chose non l'eugénisme n'est pas une chose valable ni normal.

Bonne continuation.

a écrit : Vous jouez au plus idiot ou comment ça marche là ? Bien sûr que non ça revient pas à la même chose.

Enfin bref je vais conclure en répétant la même chose non l'eugénisme n'est pas une chose valable ni normal.

Bonne continuation.
Premièrement, calme toi. C’est seulement un débat et je met la question sur la table. Je ne défend ni les nazis ni l’eugénisme de masse.

La question médicale se pose car la médecine fait des progrès bien plus rapides que les débats sur l’éthique n’apporte de réponses et c’est là tout le problème.
acces.ens-lyon.fr/acces/thematiques/sante/epidemiologie/depistage_trisomie21/Points/depistage_t21_eugenisme