Dans la Grèce antique, on jurait sur ses testicules

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a écrit : Du coup pour les femmes ? Elles plaçaient leur mains sur les testicules les plus proches?

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Certains (ex)candidats à la mairie de Paris ont peut être voulu nous montrer à quel point ils étaient honnêtes

a écrit : Du coup dans la Grèce antique ils jurent en disant "sur mes couilles" ?? Ah bah du coup, je mentirais pas à leur place

Ils faisaient comme les footballeurs dans les murs quand il y des coups franc

À ne pas essayer dans un tribunal moderne, gardez vos mains dans vos poches

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a écrit : Ce n'est pas totalement une bêtise à part le fait de dire "Grèce antique"... Car bien loin d'être unifiée, la Grèce était une myriade de cités qui passaient leur temps à guerroyer avec leurs voisines et avaient des systèmes juridiques très différents.

La place des femmes n'était pa
s la même partout, mais elle n'était généralement pas très enviable, car elles étaient souvent placées sous la tutelle de leur mari et n'étaient pas reconnues comme citoyennes, et donc n'avaient pas de pouvoir politique formel. Cependant dans certains cas, des femmes se sont arrangées pour s'accaparer un grand pouvoir de manière informelle.

L'exemple le plus intéressant est sans doute celui des veuves spartiates. En effet, si elles ne pouvaient participer de manière officielle à la vie politique de la cité, une particularité (qui comme tant d'autres faisait que les spartiates étaient considérés comme de grands tarés par le reste des Grecs) était qu'elles pouvaient hériter... Et comme Sparte était une cité de guerriers, figurez-vous que les hommes avaient tendance à mourir plus jeunes que les femmes. Au fil des générations, certaines femmes ont ainsi accumulé des fortunes inimaginables, au point d'être des dizaines de fois plus riches que les rois de Sparte. Et lorsque ceux-ci avaient besoin d'argent pour leurs campagnes militaires ou politiques, ils étaient bien obligés de se tourner vers ces riches héritières... Qui pouvaient alors en profiter pour faire avancer leurs propres agendas politiques. C'est donc paradoxalement dans cette cité tournée à 100% vers la guerre que les femmes étaient souvent les mieux traitées et avaient le plus d'influence.
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De plus à sparte les femmes s’entraînaient également à la guerre. Et recevaient les honneurs des guerriers tombés au combat si elles mourraient en couches.

Ça donnerait presque envie de tirer un coup franc..

a écrit : Je le jure sur mes couilles peut être une autre façon de dire : "Je le jure sur mes gosses" ...' gones' ressemble étrangement à 'gonades'

a écrit : Dans la Grèce antique, les femmes n'avaient quasiment pas d'existence légale, alors, témoigner, fallait pas réer. ... Dit le cerf au chevreuil

a écrit : Et la conquête de l'Amérique par les Espagnols a entré dans notre vocabulaire un autre mot «(pseudo)juridique» : «avocat» provient de l'espagnol «aguacate», qui dérive du mot Aztèque ahuacatl qui signifie "testicule", par comparaison à la forme de cet organe Faux mais drôle

Culus ne veut pas dire chose. C est un diminutif. Les testicules étant les témoins de la virilité selon l'étymologie du mot.

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"Testis unus, testis nullus" (principe latin de droit qui déclare sans valeur un témoignage isolé) est traduit par Desproges en "avec une couille, on ne va pas loin" (Dictionnaire superflu, pages roses)

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Je suppose que ça a donné testimonial, qui a lui même donné témoignage !

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