L'écrivain et poète irlandais Samuel Beckett s'est engagé dans la résistance française dès 1941. Né en Irlande, mais d'origine française, Beckett se rendit volontairement en France au début de la guerre, préférant servir en tant qu'ambulancier plutôt que de demeurer dans un pays neutre. Sous le pseudonyme "Samson", son rôle dans la résistance fut notamment de traduire les rapports de renseignements afin de les faire parvenir à Londres.
Menacé d'arrestation après la chute d'une partie de son réseau, il se réfugia clandestinement dans le Vaucluse.
Commentaires préférés (3)
En cas d'arrestation les résistants (considérés par des terroristes par les allemands) étaient torturés, déportés, tués, sans oublier que leur proches pouvaient eux aussi se retrouver dans des situations très délicates.
Il fallait une sacrée dose de courage pour s'engager sur cette voie, après de la à collaborer... (d'ailleurs bon nombre de collabos sont entrés en résistance quand ils vu vent tourner).
Au final nombreux sont les français qui ont juste essayer d'avoir une vie normale durant l'occupation, ce que l'on peut aisément comprendre.
Je peux par exemple citer l'exemple de mon grand-père.
Par 2 fois, il a essayé de rejoindre la résistence mais les Allemands on fait savoir à sa famille qu'il y aurait des représailles si il ne revenait pas.
Du coup, il est revenu et s'est tenu à carreau pendant le reste de l'occupation.
Je reste convaincu que de nombreux français(e) avaient, comme lui, trop à perdre pour prendre part activement à la résistence.
Jusqu'à la liberation où il a rejoins l'Armée Française de Libération.
Et bien entendu, j'ai appris cela qu'à son enterrement lorqu'on s'estt aperçu qu'il y avait des anciens combattants....
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Alors que beaucoup bien français, vivant en France, ont préféré détourner le regard. Et collaborer pour certains.
En cas d'arrestation les résistants (considérés par des terroristes par les allemands) étaient torturés, déportés, tués, sans oublier que leur proches pouvaient eux aussi se retrouver dans des situations très délicates.
Il fallait une sacrée dose de courage pour s'engager sur cette voie, après de la à collaborer... (d'ailleurs bon nombre de collabos sont entrés en résistance quand ils vu vent tourner).
Au final nombreux sont les français qui ont juste essayer d'avoir une vie normale durant l'occupation, ce que l'on peut aisément comprendre.
Je peux par exemple citer l'exemple de mon grand-père.
Par 2 fois, il a essayé de rejoindre la résistence mais les Allemands on fait savoir à sa famille qu'il y aurait des représailles si il ne revenait pas.
Du coup, il est revenu et s'est tenu à carreau pendant le reste de l'occupation.
Je reste convaincu que de nombreux français(e) avaient, comme lui, trop à perdre pour prendre part activement à la résistence.
Jusqu'à la liberation où il a rejoins l'Armée Française de Libération.
Et bien entendu, j'ai appris cela qu'à son enterrement lorqu'on s'estt aperçu qu'il y avait des anciens combattants....
Dès le début de la Seconde Guerre Mondiale, plusieurs pays d'Europe Occidentale - dont la Grande-Bretagne, la France et la Belgique - lancèrent des appels aux jeunes fils d'émigrés situés dans le monde entier, afin de rejoindre les Forces Alliées.
Ceci conduisit autour de 5000 jeunes Argentins (et Argentines !) à s'inscrire auprès des ambassades et consulats, puis de voyager vers l'Europe ou le Canada, afin de recevoir une formation militaire.
Le 06 avril 1942, naissait officiellement le 164eme escadron Anglo-Argentin. Entre ses missions eurent lieues celles relatives aux préparations du Débarquement de Normandie, ainsi qu'à son déroulement.
En juin 1944, l'escadron s'installa en France, puis participa à l'avancée vers le nord de la France et la reconquête de la Belgique.
Parmi tous ces jeunes Argentins d'origine Européenne, se trouvaient beaucoup d'inconnus, fils (et filles ! ) d'immigrants ayant participé, entre autre, au développement du chemin de fer, de la minerie ou de l'Agriculture Argentine, mais aussi presque tous les joueurs de l'équipe de rugby des Pumas.
J'ai agi*
Sans hésiter*
Logique, il allait quand même pas attendre Godot jusqu'à la fin de la guerre...
Ca m'intéresse vraiment hein, je suis sérieux, j'aimerai l'histoire, la vraie SVP.
Oh bravo