Pourquoi a-t-on toujours de la place pour le dessert ?

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Le rassasiement sensoriel spécifique est un mécanisme qui permet d'équilibrer et diversifier nos apports alimentaires, en déclenchant une sensation de satiété spécifique à des catégories d'aliments. Ce mécanisme explique pourquoi on peut encore "avoir de la place" pour le dessert après un bon repas.


Tous les commentaires (24)

a écrit : Oui tu as raison, je ne veux pas que mes enfants aient de problèmes de santé et des carences quand ils seront adultes. Étrange non ? ;)

Il y a « forcer » et « forcer », je force mes enfants à goûter ce qu’ils ne connaissent pas et à en manger au moins 3 cuillères pour être sûr. Je ne les forcerais jamais
à manger une plâtrée de brocolis. De toute manière, un légume cuisiné est souvent meilleur qu’un légume surgelé. Il faut trouver le bon moyen pour que les enfants aiment le produit (selon la cuisson, la présentation, la découpe, etc). Et bien entendu mes enfants ont droit à une chose qu’ils détestent et n’ont pas besoin de manger. Cela donne une échelle de valeur car mon fils va se dire : « aujourd’hui c’est petit pois mais ça pourrait être pire si c’était des champignons et je déteste les champignons »

Et oui je trouve que les enfants aujourd’hui sont très mal éduqués et on leur laisse tout faire. Éduquer et forcer n’est pas du tout quelquechose de facile comme tu sembles le dire. Ce qui est facile c’est de tout faire comme souhaite l’enfant. De cette façon pas de cris, pas de pleurs et des enfants sans limites ni repères.

J’ai eu une éducation sévère et difficile et je ne la reproduis pas mais certains de ces aspects n’étaient pas dénués d’intérêt.
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Je suis d'accord avec toi pour quasiment tout, je ne mets une nuance que sur le surgelé. Les légumes sont surgelés dès leur récolte, ce qui permet de conserver toutes les vitamines, la valeur nutrivite et tous les bienfaits de ces légumes...tandis que si tu achètes des légumes "frais", entre le temps de la récolte et le jour où tu vas le cuisiner, tu auras perdu pas mal de "fraîcheur".
Quant au goût, c'est bien meilleur que les conserves ! Et si tu compares avec le frais...tout dépend de comment tu consommés le légume en question mais la plupart du temps tu ne vois pas de différence entre un plat cuisiné avec des légumes frais ou un plat cuisiné avec des légumes surgelés. (j'ai fait plusieurs fois le test)

Et vivent les oignons surgelés. Plus de larme, plus d'œil qui pique...Nous achetons environ 3 kg d'oignons surgelés par mois, c'est génial ! Pour préparer un petit guacamole...tu prends les oignons coupés en dès surgelés, tu le mélanges avec ton avocat écrasé...des tomates (fraîches) coupées en petits dès, un filet de citron,...c'est déjà prêt et frais !

a écrit : Forcer un enfant à manger quelque chose qu'il ne veut pas (pour diverses raisons : goûts, textures, phobie alimentaire, inconfort, allergies...) peut surtout créer un rejet de toute une palette d'aliments, un peu comme forcer un enfant à aller sur le pot, c'est contre productif.

On n'é
levait pas les enfants de la même façon à l'époque, n'oublions pas que les enfants rois et "capricieux" d'aujourd'hui ont les parents élevés à la dur et obligés à... d'avant. C'est qu'il y a bien un rejet de ce type d'éducation.
Je veux bien que les parents doivent guider les enfants et ne pas les laisser décider de tout mais ils ont quand même des envies et le droit de ne pas vouloir certaine chose même si ça nous depasse à un moment donné.
Élevé de la même façon mon fils ne veut pas de fruits et ma fille me mange les doigts quand je lui tend une pomme.

C'est clairement plus facile d'obliger mais ce qui est facile est rarement bénéfique.

Et puis en quoi ça peut gêner un adulte qui n'aime pas les légumes ou les fruits dans l'absolu? Sauf pour problème de santé chacun mange ce qu'il veut non?
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Justement, c'est un problème de santé. Je connais une maman qui était incapable de tenir tête à son fils de 2 ans. Il refusait de manger autre chose que des pâtes au jambon. Elle donnait des légumes dans les plats qu'elle préparait à son fils pour le repas chez la nounou (parce qu'avec la nounou, il y avait moins de caprices et il acceptait de manger des légumes. Avec difficulté, mais il le faisait). Et là, le petit se retrouve déjà avec des carences. A 3 ans et demi.

Donc évidemment, on ne va pas forcer un enfant dans la brutalité. On ne va pas le gaver pour le gaver. Mais il faut le forcer à manger des légumes. Et à découvrir de nouvelles saveurs. Et à ne pas faire de caprice.

a écrit : Il parle peut-être de Romuald Rodriguez, qui a survécu deux semaines dans un congélateur dérivant au large du Brésil cet été. C'est intéressant comme anecdote (j'ai trouvé un article en cherchant son nom, avec dérivé et congélateur, car il a beaucoup d'homonymes), mais ce n'est pas de cet homme qu'il parlait car il parlait d'un canot de sauvetage, pas d'un congélateur !

a écrit : Oui tu as raison, je ne veux pas que mes enfants aient de problèmes de santé et des carences quand ils seront adultes. Étrange non ? ;)

Il y a « forcer » et « forcer », je force mes enfants à goûter ce qu’ils ne connaissent pas et à en manger au moins 3 cuillères pour être sûr. Je ne les forcerais jamais
à manger une plâtrée de brocolis. De toute manière, un légume cuisiné est souvent meilleur qu’un légume surgelé. Il faut trouver le bon moyen pour que les enfants aiment le produit (selon la cuisson, la présentation, la découpe, etc). Et bien entendu mes enfants ont droit à une chose qu’ils détestent et n’ont pas besoin de manger. Cela donne une échelle de valeur car mon fils va se dire : « aujourd’hui c’est petit pois mais ça pourrait être pire si c’était des champignons et je déteste les champignons »

Et oui je trouve que les enfants aujourd’hui sont très mal éduqués et on leur laisse tout faire. Éduquer et forcer n’est pas du tout quelquechose de facile comme tu sembles le dire. Ce qui est facile c’est de tout faire comme souhaite l’enfant. De cette façon pas de cris, pas de pleurs et des enfants sans limites ni repères.

J’ai eu une éducation sévère et difficile et je ne la reproduis pas mais certains de ces aspects n’étaient pas dénués d’intérêt.
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Et c'est encore plus difficile quand tu n'es QUE le beau-père et que c'est toi le cuisto...