Robert Schumann a trop voulu pousser son corps

Proposé par
le

Pour augmenter l’amplitude de sa main au piano, Robert Schumann fabriqua un écarteur dans lequel il mit ses doigts plusieurs jours. Le résultat fut loin d’être celui espéré : il ressortit paralysé de cette expérience, ce qui l’empêcha de jouer de son instrument., et il se consacra à sa carrière de compositeur.

Musicien virtuose et compositeur tout autant virtuose, Robert Schumann a toujours recherché tant dans ses œuvres que dans sa propre technique pianistique à repousser les limites. Génie visionnaire et jusqu’au-boutiste, il fut d’ailleurs celui qui découvrit le talent immense de Johannes Brahms.


Commentaires préférés (3)

Oui, contrairement à ce qu'on pense souvent, "les mains de pianiste" ne sont pas des mains longues et fines, (il n'y a aucun intérêt à atteindre le fond des touches) mais plutôt des mains larges aux grandes capacités d'écartement de doigts.

Je crois que des mains longues et fines ça s'appelle des "mains de gynéco", mais je ne suis pas sûr.

a écrit : Ma grand mère, ma mère et moi aussi!
Ce dicton est très vrai et se vérifie bien souvent.
Maintenant faut pas en faire une religion sinon on n’avance plus…
Moi, ma mère, avec toute cette poésie et cette classe naturelle qui caractérisent les gens du Nord, me disait souvent:
"C'est bien fait pour ta gue*le, tu recommenceras plus !"

Ce qui veut dire, je traduis pour ceux qui ne sont pas familiers avec tous ces parlers du Nord:
"Tu sais mon chéri, l'erreur est formatrice !"

a écrit : Moi, ma mère, avec toute cette poésie et cette classe naturelle qui caractérisent les gens du Nord, me disait souvent:
"C'est bien fait pour ta gue*le, tu recommenceras plus !"

Ce qui veut dire, je traduis pour ceux qui ne sont pas familiers avec tous ces parlers du Nord:
&qu
ot;Tu sais mon chéri, l'erreur est formatrice !" Afficher tout
J’ai une traduction bucolique pour celle là:
« Quand on se plante, on pousse »


Tous les commentaires (29)

Oui, contrairement à ce qu'on pense souvent, "les mains de pianiste" ne sont pas des mains longues et fines, (il n'y a aucun intérêt à atteindre le fond des touches) mais plutôt des mains larges aux grandes capacités d'écartement de doigts.

Je crois que des mains longues et fines ça s'appelle des "mains de gynéco", mais je ne suis pas sûr.

a écrit : Ma grand-mère disait : " Le mieux est l'ennemi du bien" On va créer une nouvelle maxime "Qui pianote bien, bricole mal"

a écrit : Ma grand-mère disait : " Le mieux est l'ennemi du bien" Ma grand mère, ma mère et moi aussi!
Ce dicton est très vrai et se vérifie bien souvent.
Maintenant faut pas en faire une religion sinon on n’avance plus…

a écrit : Ma grand-mère disait : " Le mieux est l'ennemi du bien" Ou même « l’enfer est pavé de bonnes intentions » diraient d’autres grand-mères

a écrit : Ma grand mère, ma mère et moi aussi!
Ce dicton est très vrai et se vérifie bien souvent.
Maintenant faut pas en faire une religion sinon on n’avance plus…
As-tu remarquer qu'on ne cite cette maxime qu'une fois que "c'est trop tard"?

De mémoire Frantz Listz possédait des mains à la taille particulière. Il était capable de réaliser une douzième soit un écart de presque 28 cm. Je crois qu’il y a une anecdote sur le sujet.
Il utilisa cette particularité pour réaliser des compositions très complexes comme la Campenella qui est extrêmement difficile à réaliser même par des pianistes expérimentés.

a écrit : Ma grand mère, ma mère et moi aussi!
Ce dicton est très vrai et se vérifie bien souvent.
Maintenant faut pas en faire une religion sinon on n’avance plus…
Moi, ma mère, avec toute cette poésie et cette classe naturelle qui caractérisent les gens du Nord, me disait souvent:
"C'est bien fait pour ta gue*le, tu recommenceras plus !"

Ce qui veut dire, je traduis pour ceux qui ne sont pas familiers avec tous ces parlers du Nord:
"Tu sais mon chéri, l'erreur est formatrice !"

a écrit : Moi, ma mère, avec toute cette poésie et cette classe naturelle qui caractérisent les gens du Nord, me disait souvent:
"C'est bien fait pour ta gue*le, tu recommenceras plus !"

Ce qui veut dire, je traduis pour ceux qui ne sont pas familiers avec tous ces parlers du Nord:
&qu
ot;Tu sais mon chéri, l'erreur est formatrice !" Afficher tout
Autre remix : "Parfois on gagne, parfois on apprend".

(Personnellement j'ai beaucoup appris...)

a écrit : Oui, contrairement à ce qu'on pense souvent, "les mains de pianiste" ne sont pas des mains longues et fines, (il n'y a aucun intérêt à atteindre le fond des touches) mais plutôt des mains larges aux grandes capacités d'écartement de doigts.

Je crois que des mains longues et fines ç
a s'appelle des "mains de gynéco", mais je ne suis pas sûr. Afficher tout
pourtant des doigts longs permet aussi un plus écartement. à angle d'écartement égal, la distance entre les pointes des doigts sera plus grande avec des longs doigts)

a écrit : Ou même « l’enfer est pavé de bonnes intentions » diraient d’autres grand-mères L'enfer c'est les autres. Un point c'est tout.

a écrit : Moi, ma mère, avec toute cette poésie et cette classe naturelle qui caractérisent les gens du Nord, me disait souvent:
"C'est bien fait pour ta gue*le, tu recommenceras plus !"

Ce qui veut dire, je traduis pour ceux qui ne sont pas familiers avec tous ces parlers du Nord:
&qu
ot;Tu sais mon chéri, l'erreur est formatrice !" Afficher tout
J’ai une traduction bucolique pour celle là:
« Quand on se plante, on pousse »

a écrit : pourtant des doigts longs permet aussi un plus écartement. à angle d'écartement égal, la distance entre les pointes des doigts sera plus grande avec des longs doigts) Et des doigts fins permettent d'éviter d'appuyer sur plusieurs touches à la fois !

a écrit : Autre remix : "Parfois on gagne, parfois on apprend".

(Personnellement j'ai beaucoup appris...)
« Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends » prononcée par Nelson Mandela après son investiture à la présidence de l’Afrique du Sud en 1994

a écrit : pourtant des doigts longs permet aussi un plus écartement. à angle d'écartement égal, la distance entre les pointes des doigts sera plus grande avec des longs doigts) il faut de la force pour toucher un clavier à ce niveau, regarde les jouer, les grands pianistes, regarde leurs mains, leur doigts, c'est loin d'être délicat. Les doigts sont contrôlés par des muscles.

a écrit : Oui, contrairement à ce qu'on pense souvent, "les mains de pianiste" ne sont pas des mains longues et fines, (il n'y a aucun intérêt à atteindre le fond des touches) mais plutôt des mains larges aux grandes capacités d'écartement de doigts.

Je crois que des mains longues et fines ç
a s'appelle des "mains de gynéco", mais je ne suis pas sûr. Afficher tout
Je suis Michel Petrucciani, et j'approuve ce message !

J'ai des petites mains et de plutôt gros doigts (ce qui m'emmerde à la guitare), cela dit je peux faire une octave ce qui est le minimum syndical ^^
Au final c'est pas bien grave. Certains des plus grands musiciens ont des handicaps qui ne les empêche pas d'être des pointures (Petrucciani, Tony Iommy, etc...). Il suffit de trouver son style de jeu et d'adapter (pour ce qui est de jouer à la partition près dans un orchestre phila, c'est mort lol).

a écrit : J'ai des petites mains et de plutôt gros doigts (ce qui m'emmerde à la guitare), cela dit je peux faire une octave ce qui est le minimum syndical ^^
Au final c'est pas bien grave. Certains des plus grands musiciens ont des handicaps qui ne les empêche pas d'être des pointures (Petrucciani, Ton
y Iommy, etc...). Il suffit de trouver son style de jeu et d'adapter (pour ce qui est de jouer à la partition près dans un orchestre phila, c'est mort lol). Afficher tout
J'ai aussi de petites mains, doigts fins et je galère avec une guitare pour atteindre les cordes du haut... Surtout sur les acoustiques avec le manche plus large mais aussi sur les électriques sur la moitié basse du manche... Avec des tendinites au poignet faciles, j'ai vite laissé tomber à cause de ça... en fait il me faudrait une guitare enfant ahahah

D’ailleurs l’anagramme de « Robert Schuman » c’est « Reconnu Brahms ».
Tiré de « Anagrammes renversantes » de Jacques Peri-Salkow et Étienne Klein