Le syndrome de surjustification apparaît quand on introduit des récompenses externes, comme des primes, pour une activité que l'on aime déjà. Ces récompenses peuvent réduire la motivation intrinsèque : être payé pour une tâche qu'on apprécie peut diminuer notre envie naturelle de la faire.
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Très sensible à ce phénomène, je trouve qu'une bonne partie de cette démotivation vient du fait que les exigences deviennent très différentes quand on intègre une récompense.
Exemple : je fais beaucoup de bénévolat, dans des domaines dans lesquels je suis aussi professionnel (dans la culture), et avec un travail que j'essaie toujours équivalent, j'obtiens des réactions parfois radicalement opposées : grosse reconnaissance si bénévol, et insatisfaction chronique une fois salarié.
C’est la raison pour laquelle si vous avez un hobby que vous aimez beaucoup, ça peut parfois être une bonne idée de ne pas en faire votre job, contrairement à ce que l’on entends souvent.
Pour ma part je pense qu'il y a un phénomène de comparaison : si tu le fais bénévolement alors du sais dès le début que tout le monde le fait gratuitement. Si tu es payé il est fort probable que d'autres soient mieux payés pour ne pas forcément faire mieux que toi.
Personnellement ça me dérange d'avoir l'impression d'être payé au rabais pour une tâche. Et c'est pire quand c'est une activité qu'à la base on aime : le fait d'aimer son travail est alors perçu comme un prétexte par l'employeur pour sous payer.
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Peut-être simplement parce que le motivation vient alors de la récompense (et notamment de l'argent), et plus de ce qu'on aime faire.
Cf M'Bappé... On voit bien qu'il semble être beaucoup moins motivé qu'au début de sa carrière, alors qu'il gagne maintenant beaucoup plus d'argent.
Très sensible à ce phénomène, je trouve qu'une bonne partie de cette démotivation vient du fait que les exigences deviennent très différentes quand on intègre une récompense.
Exemple : je fais beaucoup de bénévolat, dans des domaines dans lesquels je suis aussi professionnel (dans la culture), et avec un travail que j'essaie toujours équivalent, j'obtiens des réactions parfois radicalement opposées : grosse reconnaissance si bénévol, et insatisfaction chronique une fois salarié.
C’est la raison pour laquelle si vous avez un hobby que vous aimez beaucoup, ça peut parfois être une bonne idée de ne pas en faire votre job, contrairement à ce que l’on entends souvent.
Moi, j'adore l'argent, j'adore les pièces et les billets, à tel point que mon métier c'est d'en fabriquer.
On pourrait citer des tas d'autres joueurs au palmarès bien plus étoffé que celui de Mbappe qui continuent au bout de 10, 12 ou 15 ans au plus haut niveau d'avoir toujours autant de talent et se donner à fond. Question de mentalité.
Pour ma part je pense qu'il y a un phénomène de comparaison : si tu le fais bénévolement alors du sais dès le début que tout le monde le fait gratuitement. Si tu es payé il est fort probable que d'autres soient mieux payés pour ne pas forcément faire mieux que toi.
Personnellement ça me dérange d'avoir l'impression d'être payé au rabais pour une tâche. Et c'est pire quand c'est une activité qu'à la base on aime : le fait d'aimer son travail est alors perçu comme un prétexte par l'employeur pour sous payer.
Son poste de latéral gauche demande beaucoup d’explosivité pour prendre les adversaires de vitesse comme il le faisait au début de sa carrière, hors avec l’âge elle baisse, pour plusieurs raisons physiologiques.
Il à toujours beaucoup de qualités mais il faut qu’il puisse s’adapter.
Messi et Ronaldo l’ont fait par exemple, d’autres non (ex Gareth Bâle)
Tiens, quelqu'un a regardé la très bonne série d'Arte Dopamine, on dirait :-)