L'impression 3D sera l'une des technologies les plus utiles pour la conquête de l'espace. Sur la Lune par exemple, il est prévu que la structure externe de la base habitable soit imprimée par de grands robots à partir de la poussière lunaire, le régolithe. Des petites imprimantes permettraient de fabriquer des outils et autres objets.
Pouvoir créer des pièces de rechange, des outils et autres équipements avec des matériaux locaux est essentiel pour minimiser les coûts de transport de fret et accroître l'autonomie des humains travaillant sur d'autres planètes.
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Merci Lbx pour tes commentaires et ton courage quand 99,99% de la population pense le contraire. Certains sujets méritent d'avoir une approche contrariante dont la tienne (vilain complotiste que tu es).
Les prévisions climatiques s'appuient sur 3 piliers : la dynamique des fluides, les mathématiques et enfin l'analyse numérique. Ce dernier pillier consiste à fournir la capacité/puissance des ordinateurs pour résoudre les équations des 2 premiers pilliers, à savoir les équations de Navier-
Stockes qui régissent l'évolution du climat.
Une prévision météo sur 2 semaines ? Allez, c'est relativement jouable au niveau du pays (même si on préfère re-verifier 2-3 jours avant le jour J, juste pour être sûr que c'est toujours OK), nos ordinateurs ont du talents mais restent pourtant très insuffisants pour discrétiser le maillage de calcul sur, non plus un pays mais une planète entière.
Une prevision météo mondiale sur plusieurs dizaines d'années ? Il faut demander au IPCC/GIEC, ils ont fait apparemment les calculs (la courbe en crosse de hoquey qui a frappé les esprits).
Et tous les 6 ans, (la fréquence entre chaque nouveau rapport), la même routine persiste : le GIEC lui même modifie invariablement ses modèles de calculs pour les appliquer aux prévisions futurs, et par ricochet modifie les résultats de ses précédentes prévisions, le tout en se basant sur des données satellites.
Satellites dont le coût qui, rappelons le, aurait permis de construire nombre de refuges pour bébé chats. Ces fichus satellites qui obligent le Giec à revoir leur copie en plus de la station Mona Loa (1958) qui pour la première fois mesure précisément le C02 atmosphérique (je ne connais pas la station qui mesure le CO2 anthropique).
Pourtant les graphiques du giec remontent bien avant 1958. Je vous invite à comparer differentes methodes de mesure par carotte glacière, par titrage chimique pour savoir d'où viennent les donnés qui précède 1958, et par la même occasion de consulter les travaux de scientifiques (experts reconnus dans au moins un des 3 pilliers cités plus haut) comme Robert Bunsen, Konrad Roengten, August Krogh et Otto Warburg (ya peut-être un ou deux prix Nobel dans ce panier de crabes, mais qui?)